Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
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Re: Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
A ceux qui n'ont pas reçu: Le chèque a t-il été débité? (ça aurait dû être fait fin mai je crois)
Sancho Perez- Sergio Sollima
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Re: Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
J’ai essayé de les joindre à plusieurs reprises ce matin, ça ne décroche pas !
Après avoir accablé le peuple si longtemps avec le making of de ses atermoiements, Giré se montre à présent d’une discrétion de violette.
Après avoir accablé le peuple si longtemps avec le making of de ses atermoiements, Giré se montre à présent d’une discrétion de violette.
Flingobis- Joachim Romero Marchent
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Re: Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
Flingobis a écrit:J’ai essayé de les joindre à plusieurs reprises ce matin, ça ne décroche pas !
Après avoir accablé le peuple si longtemps avec le making of de ses atermoiements, Giré se montre à présent d’une discrétion de violette.
Cela sent le règlement de comptes personnel...Quand on tire à boulets rouges sur un livre qui n'est pas encore sorti tout d'abord et qu'ensuite on s'en prend à son auteur alors qu'on n'a pas encore le livre, je me pose des questions.
Personnellement, je ne l'ai pas encore reçu. Je me garde donc bien d'en parler. Cela ne m'empêche pas de l'attendre avec impatience car j'aime le western européen, tout simplement.
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
Il n'y a pas de question à se poser Rex Lee. Flingobis a une dent de plus en plus longue et incompréhensible contre JF Giré. Sur mon blog, j'en suis venu à censurer les commentaires haineux de Flingo et les réponses de JF Giré ou de ses défenseurs. Le mieux est donc de ne pas en tenir compte. La critique argumentée de Jo n'a évidemment rien à voir avec tout ça...
tepepa- Léon Klimosky
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Re: Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
Toujours rien reçu, mais je garde bon espoir.
En revanche, pour ceux qui veulent le trouver en commerce, il est dispo à la boutique Movies 2000, à Paris.^^
En revanche, pour ceux qui veulent le trouver en commerce, il est dispo à la boutique Movies 2000, à Paris.^^
Cimetière- Léon Klimosky
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Re: Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
Si vous êtes 3 à l'avoir reçu, c'est peut être qu'ils n'ont pas tout envoyé d'un coup faute de temps (l'emballage est soigné). Ils ont peut-être commencé par expédier les coffrets.
Tenez-nous au courant.
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Sancho Perez- Sergio Sollima
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Re: Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
toujours rien reçu... En même temps le paiement (tardif certes) paypal de ma souscription n'a toujours pas été encaissé et le message envoyé la semaine dernière est resté sans réponse (même pas reçu l'accusé de lecture)
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Sheb- Joachim Romero Marchent
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Re: Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
Bon ça me rassure, je ne suis pas le seul. Oui, mon chèque a bien été encaissé.
tepepa- Léon Klimosky
- Messages : 166
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Re: Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
Moi aussi également, mon chèque a été encaissé depuis mi-avril...
Cimetière- Léon Klimosky
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Localisation : A l'ouest...
Re: Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
Rex Lee a écrit:Cela sent le règlement de comptes personnel...
Seraient largement dans leur droit tous ceux qui , dans ce livre, paraissent vraisemblablement largement utilisés, comme dans certains Bonus de DVD , sans jamais être cités, ou au détour d'une citation bien trop partielle pour que le lecteur non averti s'aperçoive de l'origine réelle du discours écrit.
Dans ce livre :
L'émission d'Arte sur Winnetou, le livre de Ramonet (cité de quelques lignes cependant avec l'article de Gaston Haustrate Faut-il brûler les westerns italiens, en recours à l'incapacité des auteurs à définir et cerner leur sujet même ), je pense aussi que la partie analytique sur J.R. Marchent pourrait bien être très très intime avec ce qu'a écrit Recacha, dont j'ai donné le lien et que je rappelle ici :
http://www.pasadizo.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1108
On ne peut qu'encourage le lecteur honnête à se référer directement à ces sources, ou tout au moins, quand ce n'est pas du français, à les connaître.
JO- Sergio Leone
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Re: Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
Hormis Jo, je vous sens tous un peu crispés les gars, Tepepa en particulier.
Faut bien se rendre compte que Giré fait tout tout seul avec ses petits bras et ses petits pieds, c’est pour ça que ça prend du temps !
Mais c’est vrai qu’au stade où en sont les choses et après tout le tintouin inutile qu’il a fait sur son blog, il pourrait maintenant au moins se fendre d’une apparition genre Notre-Dame de La Salette, et rassurer la bande de cowboys impatients et dévots que nous sommes…
Faut bien se rendre compte que Giré fait tout tout seul avec ses petits bras et ses petits pieds, c’est pour ça que ça prend du temps !
Mais c’est vrai qu’au stade où en sont les choses et après tout le tintouin inutile qu’il a fait sur son blog, il pourrait maintenant au moins se fendre d’une apparition genre Notre-Dame de La Salette, et rassurer la bande de cowboys impatients et dévots que nous sommes…
Flingobis- Joachim Romero Marchent
- Messages : 63
Date d'inscription : 01/03/2012
il arrive !
Bonjour,
Évidemment, tout les souscripteurs vont recevoir leur exemplaire. Ils partent lentement, mais sûrement.
Mais n'oublions pas que La Poste n'est plus un service de grande fiabilité…
Que monsieur Flingobis ne s'impatiente pas, s'il n'a pas souscrit il peut se procurer le chef-d'œuvre en question chez ex-Album rue Dante.
Un membre du Forum qui semble d'origine hispanique (qui lui aurait reçu son exemplaire, quelle chance !) accuse les auteurs d'avoir consulté des bonus de DVD sans jamais citer leurs sources. Personne n'a travaillé à partir de bonus de DVD. Moi, personnellement je n'apprends jamais rien que je ne sais déjà avec ces bonus bien souvent réalisé et monté avec les pieds. Premier point. Ensuite, les textes se rapportant au western espagnol ne font référence (ou pompage, comme on voudra) à aucune source en provenance d'informations d'origines hispaniques (ni Internet, ni livres dans la langue de Cervantes). Le travail a uniquement été effectué à partir du visionnage des films. Les concordances d'avis ne sont pas chose impossible. Qu'on se le dise.
Évidemment, tout les souscripteurs vont recevoir leur exemplaire. Ils partent lentement, mais sûrement.
Mais n'oublions pas que La Poste n'est plus un service de grande fiabilité…
Que monsieur Flingobis ne s'impatiente pas, s'il n'a pas souscrit il peut se procurer le chef-d'œuvre en question chez ex-Album rue Dante.
Un membre du Forum qui semble d'origine hispanique (qui lui aurait reçu son exemplaire, quelle chance !) accuse les auteurs d'avoir consulté des bonus de DVD sans jamais citer leurs sources. Personne n'a travaillé à partir de bonus de DVD. Moi, personnellement je n'apprends jamais rien que je ne sais déjà avec ces bonus bien souvent réalisé et monté avec les pieds. Premier point. Ensuite, les textes se rapportant au western espagnol ne font référence (ou pompage, comme on voudra) à aucune source en provenance d'informations d'origines hispaniques (ni Internet, ni livres dans la langue de Cervantes). Le travail a uniquement été effectué à partir du visionnage des films. Les concordances d'avis ne sont pas chose impossible. Qu'on se le dise.
Barquero- Messages : 4
Date d'inscription : 04/07/2012
Re: Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
Beaucoup d'Internautes , parce qu'ils sont bien plus jeunes, ne connaissant pas les références utilisées de façon plus ou moins visibles, par les nouveaux livres, qui sortent depuis un certain temps. C'est ce qui fait l'attraction de ces "publications". Le reste ne se trouve plus, ou alors il faut chercher d'occasion.
Toux ceux, qui formés, à la cinéphilie par les revues comme La Revue du cinéma Image et son et les articles de Zimmer, Sabatier, Simsolo, peuvent simplement rappeler que ces sources sont plus qu'actives dans ces nouveaux écrits (je parle de ce qui se fait en France). En fait, on ne les a pas renouvelées.
Finalement les" auteurs" ou intervenants sur Bonus DVD profitent de l'amnésie toute naturelle due au changement des générations.
Et puis aussi, comme le sous-tend le discours de Tepepa (et je pense, qu'il a, ici, raison en un certain sens), c'est que tout un nouveau public s'est formé à la vision (par dérision) de ces films par la 5, puis les VHS et enfin le style Evidis.... avec un goût de plus un plus prononcé du nanar comme objet de culte... dont la survalorisation, pour moi, dévalorise qualitativement le reste (et qui est quantitativement le plus important).
Ce qui est dommage, c'est oublier aussi que les films comme Les ravageurs de l'Ouest ne devaient même pas bénéficier d'une exploitation nationale ( Italie, tout au plus dans les cinéma de province, et les circuits régionaux), faisant bénéfice sur quelques millliers d'entrées seulement, vu le budget ridicule de ces productions, faites entre copains. (Le seul travail de qualité que je connaisse sur ces entreprises, c'est celui fait par William Connolly dans Spaghetti Cinéma, avec par exemple, ce que racontait Gordon Mitchell, revenu aux USA, de la construction de son village près de Rome).
Donc, on finit par prendre des vessies pour de lanternes. Et qui plus est, si l'on veut absolument étudier le trivial et le scatologique dans le cinéma (western) italien, il faut savoir s'y prendre (Cébé le fait très bien pour Leone) avec un peu plus de rigueur et de savoir (pourquoi le cacher ? J'ai le sentiment que les auteurs de ces articles ne maîtrisent pas leur domaine, on y trouverait alors d'autres références et d'autres questions ou concepts (Chaplin, Tati, Pasolini, toute une veine du cinéma italien ne se sont pas privés du scatologique....)
On en reste donc au niveau du "nanarland", seul jeu de dérision potache, que j'ai toujours fui et qui explique ma profonde déception devant ces pages qui se prennent, de plus, très au sérieux...
Toux ceux, qui formés, à la cinéphilie par les revues comme La Revue du cinéma Image et son et les articles de Zimmer, Sabatier, Simsolo, peuvent simplement rappeler que ces sources sont plus qu'actives dans ces nouveaux écrits (je parle de ce qui se fait en France). En fait, on ne les a pas renouvelées.
Finalement les" auteurs" ou intervenants sur Bonus DVD profitent de l'amnésie toute naturelle due au changement des générations.
Et puis aussi, comme le sous-tend le discours de Tepepa (et je pense, qu'il a, ici, raison en un certain sens), c'est que tout un nouveau public s'est formé à la vision (par dérision) de ces films par la 5, puis les VHS et enfin le style Evidis.... avec un goût de plus un plus prononcé du nanar comme objet de culte... dont la survalorisation, pour moi, dévalorise qualitativement le reste (et qui est quantitativement le plus important).
Ce qui est dommage, c'est oublier aussi que les films comme Les ravageurs de l'Ouest ne devaient même pas bénéficier d'une exploitation nationale ( Italie, tout au plus dans les cinéma de province, et les circuits régionaux), faisant bénéfice sur quelques millliers d'entrées seulement, vu le budget ridicule de ces productions, faites entre copains. (Le seul travail de qualité que je connaisse sur ces entreprises, c'est celui fait par William Connolly dans Spaghetti Cinéma, avec par exemple, ce que racontait Gordon Mitchell, revenu aux USA, de la construction de son village près de Rome).
Donc, on finit par prendre des vessies pour de lanternes. Et qui plus est, si l'on veut absolument étudier le trivial et le scatologique dans le cinéma (western) italien, il faut savoir s'y prendre (Cébé le fait très bien pour Leone) avec un peu plus de rigueur et de savoir (pourquoi le cacher ? J'ai le sentiment que les auteurs de ces articles ne maîtrisent pas leur domaine, on y trouverait alors d'autres références et d'autres questions ou concepts (Chaplin, Tati, Pasolini, toute une veine du cinéma italien ne se sont pas privés du scatologique....)
On en reste donc au niveau du "nanarland", seul jeu de dérision potache, que j'ai toujours fui et qui explique ma profonde déception devant ces pages qui se prennent, de plus, très au sérieux...
Dernière édition par JO le Mer 4 Juil - 12:41, édité 1 fois
JO- Sergio Leone
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Re: Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
Barquero a écrit:Bonjour,
Un membre du Forum qui semble d'origine hispanique (qui lui aurait reçu son exemplaire, quelle chance !) accuse les auteurs d'avoir consulté des bonus de DVD sans jamais citer leurs sources. Personne n'a travaillé à partir de bonus de DVD. Moi, personnellement je n'apprends jamais rien que je ne sais déjà avec ces bonus bien souvent réalisé et monté avec les pieds. Premier point. Ensuite, les textes se rapportant au western espagnol ne font référence (ou pompage, comme on voudra) à aucune source en provenance d'informations d'origines hispaniques (ni Internet, ni livres dans la langue de Cervantes). Le travail a uniquement été effectué à partir du visionnage des films. Les concordances d'avis ne sont pas chose impossible. Qu'on se le dise.
Ce sont des Bonus qui récupèrent des sources sans les citer (Le spécialiste sur Simsolo, Chacun pour soi sur l'entretien avec Capitani), pas vous qui utilisez les Bonus.
Pour la concordance des avis, c'est une chose possible, et je vous remercie d'y répondre avec votre point de vue. Dommage quand même de ne pas s'être documenté des recherches récentes pour un ouvrage de 2012, leur citation et exploitation auraient alors permis de mettre en valeur ce qui dans vos écrits pourrait en faire l'originalité.
Sur Winnetou, j'ai vraiment eu l'impression, en vous lisant, de réécouter l'émission d'Arte.
J'avais apprécié votre travail de 2002, bien que très -trop- paraphrastique et globalement proche des Lhassa et autres Sabatier.
Pour ce nouvel opus, je ne puis que remanifester ma profonde déception, et renvoyer à ce que dit Tepepa des changements concernant les mentalités du public.
Je vous souhaite néanmoins une bonne suite.
(Et puis vos avis sur certains films sont vraiment très expéditifs, sans aucun argumentaire Je n'en comprends pas l'intérêt et la portée critique ou historique. )
JO- Sergio Leone
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Re: Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
JO a écrit:
................
Ce qui est dommage, c'est oublier aussi que les films comme Les ravageurs de l'Ouest ne devaient même pas bénéficier d'une exploitation nationale (tout au plus dans les cinéma de province, et les circuits régionaux), faisant bénéfice sur quelques millliers d'entrées
................
Ah bon ???
Les nanards en province... Les bons films à Paris... c'est peut-être tout simplement les hasards
de la distribution ou du marché de l'époque.Je connais un de ces western qui n'est sorti qu'en Belgique,
un autre qu'en Algérie...
Ben mince ! Encore heureux que le western spaghetti ne s'arrête pas aux 3 Sergio !
Et pour mémoire d'un vieux qui les a vu en salles, je rappelle que les nanards ont fait les beau jour
des salles de cinéma de Paris et sa périphérie pendant plus de 10 ans autour des années 75 avec
parfois deux films par séance, et je ne me souviens pas d'avoir vu les salles vide...
Et pour ajouter, je connais des aficionados passionnés de mon âge qui ont découvert
le westerns spaghetti avec les premières projections des "Trinita" avec haricots et les conséquences,
avec "mon nom est personne" et la séquence des pissotières, et qui depuis se passionnent pour tout
ce qui concerne le sujet !
Et quoiqu'on en pense, il est des sujets qui aujourd'hui font toujours rire les jeunes...
... et les moins jeunes !!!
Ah, au fait, reçu ce jour mon exemplaire !
Dernière édition par Edocle le Mer 4 Juil - 12:23, édité 2 fois
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Re: Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
Barquero a écrit:Bonjour,
Évidemment, tout les souscripteurs vont recevoir leur exemplaire. Ils partent lentement, mais sûrement.
Ca serait cool de jeter un oeil aux mails... et d'y répondre
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Sheb- Joachim Romero Marchent
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Re: Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
Tiens revoilà Gondolo qui veut fourguer sa camelote ! J’habite plus Paris tu sais. Mais dis donc, ça fait des années que tu prenais ce blaze pour venir m’insulter sur mon blog ! Tu te renouvèles pas des masses, c’est comme tes bouquins, sauf que là t’as pompé un peu fort (tu pensais que ça se verrait pas peut-être ?)Barquero a écrit:
Que monsieur Flingobis ne s'impatiente pas, s'il n'a pas souscrit il peut se procurer le chef-d'œuvre en question chez ex-Album rue Dante.
Les plagiaires le sais-tu turlututu ça s’assigne en justice. Tu vas finir dans la boîte à biscuits, gondolo !
Flingobis- Joachim Romero Marchent
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Re: Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
Edocle a écrit:JO a écrit:
................
Ce qui est dommage, c'est oublier aussi que les films comme Les ravageurs de l'Ouest ne devaient même pas bénéficier d'une exploitation nationale (tout au plus dans les cinéma de province, et les circuits régionaux), faisant bénéfice sur quelques millliers d'entrées
................
Ah bon ???
Les nanards en province... Les bons films à Paris... c'est peut-être tout simplement les hasards
de la distribution ou du marché de l'époque.Je connais un de ces western qui n'est sorti qu'en Belgique,
un autre qu'en Algérie...
Ben mince ! Encore heureux que le western spaghetti ne s'arrête pas aux 3 Sergio !
Et pour mémoire d'un vieux qui les a vu en salles, je rappelle que les nanards ont fait les beau jour
des salles de cinéma de Paris et sa périphérie pendant plus de 10 ans autour des années 75 avec
parfois deux films par séance, et je ne me souviens pas d'avoir vu les salles vide...
Et pour ajouter, je connais des aficionados passionnés de mon âge qui ont découvert
le westerns spaghetti avec les premières projections des "Trinita" avec haricots et les conséquences,
avec "mon nom est personne" et la séquence des pissotières, et qui depuis se passionnent pour tout
ce qui concerne le sujet !
Et quoiqu'on en pense, il est des sujets qui aujourd'hui font toujours rire les jeunes...
Ah, au fait, reçu ce jour mon exemplaire !
Edocle, je précise : je parle des circuits d'exploitation italiens (j'ai rectifié sur le message précédent), et puis étant un provincial pur jus... pas de problème ici .
Les exemples de Trinita et Mon Nom est Personne sont intéressants, parce qu'est-ce qui rend ici la vulgarité recevable (et particulièrement chez Leone) ?
Je me souviens d'avoir eu une conversation ailleurs qu'ici, avec Tepepa, sur Il était une fois la Révolution , et qui conduisait à la question du dispositif (de mise en scène, du cadrage) du sens et du spectateur.
Grosso modo : pour Il était une fois Révolution, Leone nous dit : ces bourgeois sont des culs. (la métaphore est aussi politique, comme celle du viol).
Et dans Mon Nom est Personne (flatulences censurées en Espagne et en Angleterre, entre autres, présentes en Allemagne, France, Italie) , Leone a tourné la séquence contre son metteur en scène, son rival -Barboni- et son acteur vedette, dans une adresse au public (une disposition frontale), . Il semble nous dire : "En veux-tu? en voilà!". Une façon avec laquelle, Bedos, sur scène, de mémoire, prenait à partie le public. C'est là que c'est très drôle parce qu'il y a discours et jeu avec le cinéma, le spectacle, son spectateur, la critique, le goût du trivial... Comme le rappelle Jean Martin, c'est une séquence à hurler de rire. Le génie, c'est qu'il piège son spectateur (et son acteur, mais ici l'intervention de Terence Hill serait des plus intéressantes, lui si réservé.), le prend à revers dans un ensemble globalement nostalgique et lyrique (on peut aussi quand même préférer la séquence du cimetière indien...)
Pour les Trinita, il y a tout un sens du spectacle qui fait passer la sauce (c'est très bien analysé, niveau montage pour une séquence, par un intervenant allemand dans le reportage du Bud Spencer qui a été récemment diffusé sur nos chaînes, ou sur le Bonus italiens des DVD Medusa). Bref, il y a du cinéma, et beaucoup, dans Trinita. Le tout accompagné de moments poétiques ou de silence, coupés du montage "international" de 2000 (le plan sur la fleur, Trinita qui joue avec l'étoile de shérif et sa conscience). La présence de Hill et Spencer fait aussi beaucoup passer les choses.
Rien à voir avec le goût prononcé et branché du nanar (d'ailleurs très parisien ou "festivalier", à la mode, avec un net sentiment de supériorité de jouir de seconds degrés à l'infini... l'autre face du mépris critique auquel nous avons été partiellement habitué -côté presse cinéma populaire, c'est bien moins évident d'après ce que je peux voir et montrer).
C'est le spectateur de province -je n'ai jamais été parisien-, illuminé par ces films en salles (la puissance visuelle des Sabata et autres Spécialistes) ,allant voir et revoir les Trinita , qui parle ici et ne peut que dire sa déception devant ce sabordage critique.
Et puis vous trouverez courant l'année prochaine disponible sur un certain blog, un article (italien, 1974) sur l'invention et les implications spectaculaires de Trinita qui laisse à mille lieux derrière lui ces dernières chevauchées du western européen. Certains savaient de quoi ils parlaient Vous trouverez aussi un assez long article espagnol -1974- sur la descendance des Trinita (en Espagne). De quoi étoffer le dossier.
JO- Sergio Leone
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Re: Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
Merci JO pour toutes ces précisions !
Tiens en parlant de précisions, dans le tome 2 du Giré, à propos des noms des héros :
Pour l'ami qui a écrit ce texte :
"Tressette" avec 2 "s" est bien un jeu de cartes que l'on pratique en Italie et principalement
dans le sud du côté de Naples ! Il fût introduit en Italie par les conquérant Espagnol qui ont
occupé Naples !
Je trouve cette anecdote amusante : un jeu de carte espagnol, introduit en Italie pour finir
en nom de héros d'un western à fonds italo-espagnols....
Je m'y replonge...
Le listings de VHS éditées est déjà réduit dans mon smartphone au cas ou dans un vide-grenier....
Tiens en parlant de précisions, dans le tome 2 du Giré, à propos des noms des héros :
Pour l'ami qui a écrit ce texte :
"Tressette" avec 2 "s" est bien un jeu de cartes que l'on pratique en Italie et principalement
dans le sud du côté de Naples ! Il fût introduit en Italie par les conquérant Espagnol qui ont
occupé Naples !
Je trouve cette anecdote amusante : un jeu de carte espagnol, introduit en Italie pour finir
en nom de héros d'un western à fonds italo-espagnols....
Je m'y replonge...
Le listings de VHS éditées est déjà réduit dans mon smartphone au cas ou dans un vide-grenier....
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Edocle- Sergio Leone
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Re: Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
Edocle a écrit:
Pour l'ami qui a écrit ce texte :
Que les auteurs viennent s'expliquer ici en détail
Ex:
-Je ne vois pas trop d'où Gire tire aussi ses assertions définitives sur Une corde un colt... , contestant Frayling à juste titre (qui y reconnaît Leone sur une vieille VHS, ou peut-être confond-il plus probablement un rôle monté dans le film avec un rôle tenu par Leone mais coupé du montage : cf. presse d'époque italienne que Frayling s'est fait peut-être mal traduire où n'a pas compris) , et qui viennent aussi contredire ce qu'explique Hossein sur le DVD allemand (on est dans la confrontation entre des témoignages, on ne peut être dans la certitude absolue): Leone, en repérage de Il était une fois dans l'Ouest , à Almeria, au moment où Hossein y tourne son film a pu très bien s'amuser à en tourner un petit bout -le repas- ... (version Hossein)... Donc, tout ceci est à prendre avec beaucoup de précaution... dommage, FOTOGRAMAS, dont j'ai tous les numéros de 1968, excepté un ou deux de la fin d'année, ne suit que de très loin de tournage du Hossein et du Leone (mais avec des images venues de Cinecitta pour ce dernier).
Quand au texte sur les noms, j'avoue aussi ne rien avoir compris aux intentions de l'auteur, qui, avec beaucoup d'honnêteté d'ailleurs, nous dit régulièrement que l'on ne peut rien retirer ou conclure de pertinent de ses observations. Peut-être aurait-il fallu tirer le trait, au delà des références aux cartes ou quelques autres, sur cette fétichisation des figures par et dans leur nom. Gili remarquait que les héros de western italien sont des types très beaux, on pourrait ajouter très jeunes (on trouve beaucoup sur eux dans la presse pour jeune en Italie, dans les années 60) : Nero a juste 28 ans quand il tourne El Mercenario., les raisons qu'a exposées Milian, encore jeune de tourner dans le western spaghetti sont aussi très révélatrices et donnent une idée bien différente de ce qu'on a pu lire, du moins en France sur l'acteur et le western "politique" (je fais allusion à l'article fait sur le tournage de Colorado, et que je montrerai prochainement vers 2013.) Peu importe ici que ce soit vrai ou moins, c'est son image qu'il travaille, et donc son rapport au public. , ce qu'il souhaite que l'on comprenne de lui dans et au delà de ses rôles (Toujours avec les réserves d'usage, en ce sens le DVD de Mon Nom est Personne, par Gans, est magistral. Voilà ce que j'attendais et continue d'attendre, pour d'autres films. )
JO- Sergio Leone
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Re: Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
Flingobis a écrit:Tiens revoilà Gondolo qui veut fourguer sa camelote ! J’habite plus Paris tu sais. Mais dis donc, ça fait des années que tu prenais ce blaze pour venir m’insulter sur mon blog ! Tu te renouvèles pas des masses, c’est comme tes bouquins, sauf que là t’as pompé un peu fort (tu pensais que ça se verrait pas peut-être ?)Barquero a écrit:
Que monsieur Flingobis ne s'impatiente pas, s'il n'a pas souscrit il peut se procurer le chef-d'œuvre en question chez ex-Album rue Dante.
Les plagiaires le sais-tu turlututu ça s’assigne en justice. Tu vas finir dans la boîte à biscuits, gondolo !
Flingobis, respecte STP l'auteur qui a l'amabilité de venir nous informer du suivi de son livre. Merci.
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Personne- Sergio Leone
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Re: Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
Voilà, voilà, on arrive !JO a écrit:
Que les auteurs viennent s'expliquer ici en détail
(...)
Quand au texte sur les noms, j'avoue aussi ne rien avoir compris aux intentions de l'auteur, qui, avec beaucoup d'honnêteté d'ailleurs, nous dit régulièrement que l'on ne peut rien retirer ou conclure de pertinent de ses observations.
Il faut savoir que cet article, comme beaucoup d'autres du vol 2, n'ont aucune prétention à être "ce qu'il faut écrire sur le western européen" et "les thèmes impératifs à étudier lorsque l'on parle de western européen". Ces thèmes ont été choisi à l'envie, et à la motivation des rédacteurs.
Les intentions sur cet article étaient modestes : dans un article restreint (15 pages avec illustrations, ça va très très vite), donner un panorama le plus détaillé possible des noms des héros du western italien, en essayant de remonter à leur origine, s'il en existe une et si cela est possible. Parfois, cette recherche des origines d'un nom était rendue difficile ou aboutissait à une impasse, et je l'ai indiqué. C'est un article qui donne aussi des pistes sur les influences des auteurs du western européen, leur approche du nom de leurs héros. Et l'aboutissement de la réflexion est d'arriver sur le fait que ces choix d'auteurs ont de toute façon été saccagé lors de l'exploitation en salles ou sur support vidéo. Ce qui n'enlève rien au plaisir cinéphile de retrouver "la VHS perdue" ou de rechercher si le film vendu sous un emballage est bien celui contenu dans le boîtier. Ahhh, les souvenirs de vidéo-clubs...
Enfin et surtout, ce n'est pas un article définitif et figé. Quiconque a des informations pour le compléter, doit les donner, ça fera avancer la cause du western européen, et c'est bien là l'essentiel.
J'ai écrit cet article il y a 4 ans, et je ne l'écrirais plus comme cela aujourd'hui, je ferais peut-être moins de "liste", ce qui peut gêner la lecture. Néanmoins, je trouve qu'il remplit correctement sa mission de départ.
Sartana- Enzo G. Castellari
- Messages : 239
Date d'inscription : 06/04/2010
Re: Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
Sartana a écrit:Voilà, voilà, on arrive !JO a écrit:
Que les auteurs viennent s'expliquer ici en détail
(...)
Quand au texte sur les noms, j'avoue aussi ne rien avoir compris aux intentions de l'auteur, qui, avec beaucoup d'honnêteté d'ailleurs, nous dit régulièrement que l'on ne peut rien retirer ou conclure de pertinent de ses observations.
Il faut savoir que cet article, comme beaucoup d'autres du vol 2, n'ont aucune prétention à être "ce qu'il faut écrire sur le western européen" et "les thèmes impératifs à étudier lorsque l'on parle de western européen". Ces thèmes ont été choisi à l'envie, et à la motivation des rédacteurs.
Les intentions sur cet article étaient modestes : dans un article restreint (15 pages avec illustrations, ça va très très vite), donner un panorama le plus détaillé possible des noms des héros du western italien, en essayant de remonter à leur origine, s'il en existe une et si cela est possible. Parfois, cette recherche des origines d'un nom était rendue difficile ou aboutissait à une impasse, et je l'ai indiqué. C'est un article qui donne aussi des pistes sur les influences des auteurs du western européen, leur approche du nom de leurs héros. Et l'aboutissement de la réflexion est d'arriver sur le fait que ces choix d'auteurs ont de toute façon été saccagé lors de l'exploitation en salles ou sur support vidéo. Ce qui n'enlève rien au plaisir cinéphile de retrouver "la VHS perdue" ou de rechercher si le film vendu sous un emballage est bien celui contenu dans le boîtier. Ahhh, les souvenirs de vidéo-clubs...
Enfin et surtout, ce n'est pas un article définitif et figé. Quiconque a des informations pour le compléter, doit les donner, ça fera avancer la cause du western européen, et c'est bien là l'essentiel.
J'ai écrit cet article il y a 4 ans, et je ne l'écrirais plus comme cela aujourd'hui, je ferais peut-être moins de "liste", ce qui peut gêner la lecture. Néanmoins, je trouve qu'il remplit correctement sa mission de départ.
Merci, Sartana, de votre scrupuleuse honnêteté.
J'ai quand même dans l'idée que tout ceci aurait dû être précisé sur la quatrième de couverture ( work in progress.... cela aurait évité bien des désillusions.... )
JO- Sergio Leone
- Messages : 4203
Date d'inscription : 10/05/2010
Une corde… Un colt…
Que Sergio Leone se soit rendu sur le tournage de son ami Robert Hossein est tout a fait probable. D'ailleurs, ce dernier devait interpréter le rôle de Morton (un catalogue, avec photos, de la Paramount annonçait la présence du comédien français dans la distribution d'Il était une fois dans l'Ouest). À un moment, il y a même eu Enrico Maria Salerno pressenti pour ce personnage.
Que Leone ait donné des conseils à Robert ne me semble pas non plus impossible, mais qu'il soit passé à la réalisation de séquences est assez peu crédible. Un attaché de presse sérieux qui exerçait à l'époque m'a confirmé dans cette idée.
Des mauvaises langues ont même prétendu que tandis que Leone suait à sauver les meubles, Robert lutinait des jeunes femmes !!!
Qu'aujourd'hui Robert Hossein prétende à la participation de Leone est une coquetterie pour se faire mousser et inscrire son film dans la lignée des grands westerns européens. Une corde… Un colt… avait été fraîchement accueilli lors d'une projection privée avant la sortie en salles où se trouvait l'attaché de presse en question, il était accompagné d'un autre attaché de presse devenu depuis un cinéaste connu. Ce dernier, qui détestait le film de Robert, aurait dit à celui-ci qu'il avait "réalisé un western japonais" ! Robert, tout émoustillé, n'a pas compris l'ironie.
Au final, tout ceci n'est pas très important, Une corde… Un colt n'est pas un film inoubliable.
J. F. Giré
Que Leone ait donné des conseils à Robert ne me semble pas non plus impossible, mais qu'il soit passé à la réalisation de séquences est assez peu crédible. Un attaché de presse sérieux qui exerçait à l'époque m'a confirmé dans cette idée.
Des mauvaises langues ont même prétendu que tandis que Leone suait à sauver les meubles, Robert lutinait des jeunes femmes !!!
Qu'aujourd'hui Robert Hossein prétende à la participation de Leone est une coquetterie pour se faire mousser et inscrire son film dans la lignée des grands westerns européens. Une corde… Un colt… avait été fraîchement accueilli lors d'une projection privée avant la sortie en salles où se trouvait l'attaché de presse en question, il était accompagné d'un autre attaché de presse devenu depuis un cinéaste connu. Ce dernier, qui détestait le film de Robert, aurait dit à celui-ci qu'il avait "réalisé un western japonais" ! Robert, tout émoustillé, n'a pas compris l'ironie.
Au final, tout ceci n'est pas très important, Une corde… Un colt n'est pas un film inoubliable.
J. F. Giré
Barquero- Messages : 4
Date d'inscription : 04/07/2012
Re: Il était une fois... le western européen, vol. 2 -- Jean-François Giré -- Bazaar & Co, octobre 2011
https://western-maniac.forum-pro.fr/t1072p75-il-etait-une-fois-dans-l-ouest-c-era-una-volta-il-west-1969-sergio-leone
On entre dans les "on dit", "il se fait mousser" (Hossein en a-t-il d'ailleurs besoin?), les querelles et les jugements de goût, le voisin de ma voisine... certes... mais qui y était réellement, sur le tournage ? Entre conseiller et diriger, quel arbitrage choisir ?
Je pense qu'il faut laisser les témoignages faire leur travail et le lecteur (informé des sources) construire sa propre réflexion . C'est ce qu'a fait Gans pour Mon Nom est Personne et à sa façon , Giusti quand il crédite des sources non convergentes.
Après, vous n'aimez pas beaucoup Robert Hossein, ou du moins cela semble être le cas... bon.
Des tas de gens, ici et ailleurs , pensent des choses différentes des films...
On entre dans les "on dit", "il se fait mousser" (Hossein en a-t-il d'ailleurs besoin?), les querelles et les jugements de goût, le voisin de ma voisine... certes... mais qui y était réellement, sur le tournage ? Entre conseiller et diriger, quel arbitrage choisir ?
Je pense qu'il faut laisser les témoignages faire leur travail et le lecteur (informé des sources) construire sa propre réflexion . C'est ce qu'a fait Gans pour Mon Nom est Personne et à sa façon , Giusti quand il crédite des sources non convergentes.
Après, vous n'aimez pas beaucoup Robert Hossein, ou du moins cela semble être le cas... bon.
Des tas de gens, ici et ailleurs , pensent des choses différentes des films...
JO- Sergio Leone
- Messages : 4203
Date d'inscription : 10/05/2010
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