Re: Django unchained - Quentin Tarantino - 2013

[JO]

Un film d'une affligeante banalité et très bavard.

Toute l'invention visuelle de l'auteur de Pulp Fiction ou Kill Bill a disparue.

Surnagent :

-un interprète exceptionnel, Christopher Waltz, qui arrive à prendre ses distances avec le moule imposé par Tarantino : collage des personnages joués par Franco Nero -une ressemblance physique frappante, Nero n'aurait pas pu le jouer, à cause de l'âge probablement- mâtiné de Providence -le chariot-. Les autres, dont Django et sa femme, sont -complètement- inconsistants; Di Caprio n'est pas mal mais finit par en faire trop. Une fois Waltz disparu, le film perd tout espèce d'intérêt.

-une belle séquence dans la plantation: la préparation du repas et le repas lui-même , qui développent une séquence de Requiescant; là, Tarantino n'a pas su saisir son film qui le sortait d' un simple copier-coller. (Je n'ai pas vu Mandingo, donc je suis incapable de voir ce qu' y récupère Q.T.)

Chaque plan ou détail est moulé , voire figé, dans le calque d'un western italien, de la prostituée unijambiste de El Magnifico à la mort de Di Caprio (Palance dans El Mercenario), on a même un plan éclairé comme une séquence de neige du Grand Silence. Le générique est rouge, comme celui du Django de Corbucci et Q.T. a même trouvé un décor ressemblant aux rochers de Manzanares El Real. On y trouve pêle-mêle, des décors construits sur les modèles des villages westerns italiens (De Laurentiis, Elios), un semblant de Villa Mussolini, des trucs piqués à Fulci , spécifiquement dans le gore, que je n'aime pas.

Pathétique est la récupération des musiques, loin de la réussite de Kill Bill. Ici, cela ressemble à un mixage de débutant qui sait qu'une bonne musique va "rattraper" ce qui n'existe pas (plus) à l'image. Pathétique, l'intervention de Nero, dans une scène sadique et inutile.

Le film fait donc débat aux USA, d'après ce que j'ai compris, sur l'image qu'il donne des Noirs (je n'interviens pas ici, il faudrait être spécialiste de la question et du moment actuel aux USA, Spike Lee n'a semble-t-il pas du tout apprécié). S'il laisse une trace, ce sera là, un Lincoln de Spielberg sort d'ailleurs ici à la fin du mois.

[Edocle]

ça cartonne fort !!!
Première :
"Le western a déjà cumulé 130 millions de dollars aux USA, et a dépassé les recettes d'Inglourious Basterds.

Le dernier film de Quentin Tarantino a la cote ! Malgré les polémiques qui l'ont frappé durant sa promotion (sur son contenu très violent et l'utilisation du mot "nègre" dans le film), Django Unchaineda été nommé 5 fois aux Oscars et a reçu deux Golden Globes, un pour son scénario (signé QT) et un pour la performance de Christoph Waltz.

On apprend à présent que le western relatant la quête sanglante de l'esclave affranchi Django (joué par Jamie Foxx) vient de devenir le plus grand succès du réalisateur aux Etats-Unis. Il arrive déjà à 130 millions de dollars là-bas, contre 120 pour Inglourious Basterds, le dernier record de QT. Harvey Weinstein, qui produit le film, se félicite de ces résultats auprès du Hollywood Reporter : "Avec Bob (Weistein, son frère producteur lui aussi) et Quentin, nous entretenons une excellente relation. Nous sommes fiers d'avoir atteint un tel score." Surtout que le carton va continuer, puisque le film sort tout juste en dehors des frontières américaines. Mercredi, il a par exemple enregistré le meilleur démarrage d'un Tarantino en France à 14h, mais était en dessous des chiffres d'Inglourious sur la journée (139 966 entrées contre 165 414). "

[Personne]

Vu! Furieuse envie d'applaudir pendant le générique final!

Le début m'a fait exploser de rire... la dent, les zooms rapides, le dialogue des cagoules... la suite avec Candie beaucoup moins, on rentre dans l'abject, ça m'a bien remué, toute cette tension, le Mandingo etc... Le final, classique, sur le thème de la vengeance. Notons la petite fantaisie du dressage du cheval devant sa belle!

Le générique est tourné dans les Alabama Hills(Lone Pine) en Californie donc, d'autres plans égalements. Hum, c'est sensé être au Texas... Re Hum : D'Artagnan, comment prénommer un enfant né sans doute avant 1840, du nom d'un héros qui sortira des pages des Trois Mousquetaires qu'en 1844? Pour info, nous sommes en 1858-59.

Notons la présence de Russ Tamblyn aussi, il a été le héros d'un Euro-Western : Fils d'un Hors la Loi de Paul Landres.

[keomatouko]

assez jouissif,malgré quelques longueurs effectivement,mais c'est pour mieux nous remettre en selle et continuer à suivre cette TUERIE!! signéé tarantino.le role christophe waltz en chasseur de prime à eté

ecrit spécialement pour lui,c'est evident,jamie fox est vraiment bien dans le role de django,l'humour tarantinesque est bien savoureux meme si la conversation du gang klu klux klan à propos de leur cagoule vire un peux trop à la deconade un peux lourd.

des moment vraiment jubilatoire,et quand en est un fan de westerns européen on jubile deux fois plus,oui c'est un vrai amoureux de western à l'italienne qui à realiser ce film,et qui donnera incontestablement envie à plein de gens de decouvrire le genre.

un western à la sauce sabaghettie? oui, je pense que c'est le bon qualifécatife pour résumer ce film.

de tout les westerns sortie récemment, c'est sans doute le plus sbaghetti que j'ai pu voir,mais pas le meilleur western paradoxlement TRUE GRIT et
au dessus.

je me ferais bien une autre séance en VO..

[Edocle]

Re Hum : D'Artagnan, comment prénommer un enfant né sans doute avant 1840, du nom d'un héros qui sortira des pages des Trois Mousquetaires qu'en 1844? Pour info, nous sommes en 1858-59.

Oui, mais c'étaient les maitres blancs qui donnait un nom a leurs esclaves et aux enfants bien plus tard
que la naissance, au moment de l'achat...
Brunhilde a été baptisée ainsi par sa maitresse blanche de famille allemande !
Faudrait regarder ça de près, mais ça doit coller...

[JO]

Une affaire juteuse , qui se résume ici :

http://cgi.ebay.fr/DJANGO-UNCHAINED-8-INCH-FIGURES-COMPLETE-SET-MISB-SEALED-BROOMHILDA-INCLUDED-/290848607950?pt=US_Action_Figures&hash=item43b7ed8ece#ht_500wt_1414

[Rex Lee]

Photos promotionnelles en libre-service (sans doute):

[cyberpunk]

J'attend la sortie du dvd en espérant qu'il y aura des bonus sympas, peut être une version longue comme les éditeurs ont l'habitude de le faire maintenant

[Personne]

La cariole de dentiste avec la dent qui se 'dent'dine...

[Breccio]

Une affaire juteuse , qui se résume ici :

http://cgi.ebay.fr/DJANGO-UNCHAINED-8-INCH-FIGURES-COMPLETE-SET-MISB-SEALED-BROOMHILDA-INCLUDED-/290848607950?pt=US_Action_Figures&hash=item43b7ed8ece#ht_500wt_1414

Sur amazon, le prix est plus que triplé.
JDB
PS : Je précise, parce que ça risque d'évoluer : aujourd'hui, 22 janvier 2013, à 9h50, la collection complète de ces figurines est proposée à $ 5999,99 sur eBay (lien de JO) et à $ 19999,99 sur amazon.
Ca peut encore augmenter (mais, dans trois ans, on en trouvera partout dans les vide-greniers).

[Edocle]

Une affaire juteuse , qui se résume ici :

http://cgi.ebay.fr/DJANGO-UNCHAINED-8-INCH-FIGURES-COMPLETE-SET-MISB-SEALED-BROOMHILDA-INCLUDED-/290848607950?pt=US_Action_Figures&hash=item43b7ed8ece#ht_500wt_1414

Hé ouais ! Au départ chaque figurine était a 29,99$...
Tout ce n'est pas la faute de Tarantino, si les prix d'occaz flambent....
Mais bien la faute de margoulins qui veulent faire du pognon sur le dos des autres...

A vouloir trop taper sur Tarantino et son film, on se mélange un peut les pinceaux...
N'est-ce pas ???

[Fredge]

Super film, j'ai adoré!!!!

Et j'ai vu moi aussi quelques clins d'oeil au spagh, voulus ou non voulus, je m'en fous, c'est mon regard :

La première bière que boit Django, c'est à 2 mains alors qu'il n'a plus de chaînes. Ca me rappelle Cheyenne qui le boit de la même manière (mais enchaîné, lui).

L'explosion de la maison liée à la BO de Trinita : belle métaphore pour annoncer que le genre avait signé son arrêt de mort avec Trinita.

Le village boueux, comme dans Django.

L'usage abusif du zoom comme chez Fidani.

Django apparaissant lorsque la fumée s'estompe : on a vu ça dans Django le batard.

Le fouet et les chiens renvoient au "Temps du massacre".

Et la cariolle, et bien ça me renvoie à Providence, il y a aussi un côté emprunté chez Waltz que Milian adopte également.

Les reflets de caméra avec le soleil, ça m'a marqué mais je ne sais plus dans quel western il y a ça aussi.

L'utilisation du flash back, récurrent dans le western spaghetti.

Les cagoules, chez Corbucci et Fulci.

....


Par contre , cette histoire d'argumentation sur le port des cagoules a un côté Monty Pytonesque, vous ne trouvez pas?

Fredge

[Blondin]

Explication pourquoi ces figurines sont aussi cher:

http://fr.cinema.yahoo.com/actualite/jouets-django-unchained-font-scandale-etats-unis-065800666.html

[JO]

[quote="Edocle"]

Une affaire juteuse , qui se résume ici :


A vouloir trop taper sur Tarantino et son film, on se mélange un peut les pinceaux...
N'est-ce pas ???

Ces pauvres figurines sont à l'image de ce pauvre film, dans la droite ligne de ce que fait en majorité le cinéma appauvri US de nos jours, et qui n'y déroge en rien.

Inutile de s' y attarder.

Je préfère garder en mémoire Pulp Fiction et Kill Bill, le reste, je m'en tape , autant emporte le vent

[keomatouko]

une affaire juteuse!!!bien possible, va savoir, en tous cas tarantino n'as pas du attendre la realisation de django pour se remplir les poches,mais depuis le succés de pulp fiction.et il est claire qu'au niveaux de sa popularité au jour daujourd'hui, l'aspect commercial est bien des plus important,ou disons vraiment pas négligeable..en allant voir ce film,j'ai decouvert la tarantinomania, y'avait meme des ciné qui affichait complet.j'avoue que ça ma quelques peux agacer, entendre toutes les deux minutes le nom de django,choses plutot rare,et ça vaut aussi bien pour le musicien manouche,
excusez mon ignorance,mais combien sont ils dans le monde du cinéma à prendre tout le temps des risque,je sais que carpenter,oliver stone en font parti,je crois meme savoir que kirk douglas a eté un producteur courageux..enfin! à part jean pierre mocky bien sur.

et puis il ya cette phrase de coluche qui disait!!nom de dieu, c'est pas de ma faute si j'ai fais une chanson,et qu'il y'a deux millions de gens qui sautent dessus..

Une affaire juteuse , qui se résume ici :

http://cgi.ebay.fr/DJANGO-UNCHAINED-8-INCH-FIGURES-COMPLETE-SET-MISB-SEALED-BROOMHILDA-INCLUDED-/290848607950?pt=US_Action_Figures&hash=item43b7ed8ece#ht_500wt_1414

[Edocle]

Dès sa première semaine d'exploitation, "Django Unchained",
s'est imposé largement en tête du box office français avec déjà
près de 1,2 million de spectateurs, selon les chiffres CBO.

[nazarin]

Un très bon Tarantino.

On ne s'ennuie pas une minute.

Saluons la performance de Samuel L Jackson qui campe Stephen, de loin le plus effrayant des personnages.

S'il fallait rattacher ce film au genre western, je dirais qu'il est plus proche du western US post-spaghetti (le costume de "négrier" de Django est inspiré de celui que porte Fred Williamson dans Boss nigger (1975) de Jack Arnold) que du western spaghetti (en dehors des références déjà signalées Au temps du massacre, etc).

À mon avis, la parenté italienne du film est à rechercher du côté du cinéma d'exploitation et du cinéma bis de Lenzi et Fulci dans leurs période américaine.

Conclusion: comme toujours chez Tarantino, son inspiration provient de toutes les vhs qu'il a ingurgité dans les années 80 quand il travaillait dans un video-club.

[JO]

Conclusion: comme toujours chez Tarantino, son inspiration provient de toutes les vhs qu'il a ingurgité dans les années 80 quand il travaillait dans un video-club.

Hé oui, dans ce film, il n'invente rien. Et le point positif, un peu créatif, il l'élimine en cours de route (le chasseur de primes, quand il commence à avoir des doutes... cela peut en dire long sur l'inconscient de Q.T.). Les italiens ont su inventer un contre-modèle, faire rupture, avec des bonheurs différents :il aura tenu une cinquantaine d'année.

La comparaison avec Fred Williamson n'est pas à l'avantage du film, côté charisme.

On reste dans la dominante du cinéma US actuel, pour public gavé de jeux vidéos. Je m'étonne du déluge d'interprétations auquel a droit ce film convenu, dont le succès commercial , les nominations aux différentes cérémonies et le consensus critique ne veulent rien dire, c'est même inquiétant pour un cinéaste... les enterrements se font aussi à grande pompe.

[Edocle]

On ne s'ennuie pas une minute.

Hé oui, mon Ami, c'est ça le vrai cinéma !
Faire une bonne sortie, allez voir en salle un film et se régaler !
Après, y'en a qui trouveront toujours de la poussière sous l'tapis !

[nazarin]

Tarantino fait du Tarantino.
Et dans le genre en soi que constituent ses films, je trouve celui là très bon.

C'est du cinéma pour "adulescent".
Ça fait du bruit, ça salit, mais ça défoule et ça, c'est agréable.
Mais ça tout le monde le sait et on ses films pour ça.

Je ne suis pas de cette époque mais
il me semble que les westerns italiens
devaient procurer les mêmes sensations au public des années 60.

[Edocle]

Je ne suis pas de cette époque mais
il me semble que les westerns italiens
devaient procurer les mêmes sensations au public des années 60.

Exactement !!!
J'ai toujours dis que le western spaghetti nous avait enchanté
parce qu'il nous changeait des cow-boys bien habillés, bien rasés et gominés
des westerns US ! Pour nous ça bouleversait les genres... on était en plein
dans les années 68 avec notre vigueur de jeunots qui avaient envie de changement !
Et les Django, Ringo et autres tombaient bien !
Rien que la manière de mourir sous les balles qu'avaient les acteurs et cascadeurs
italiens et espagnols était déjà une révolution...
Puis il y a eu Dirty Harry en 71, c'était dans l'air du temps...
Alors oui on avait ces sensations-là... Que certains en vieillissant on perdu !
Mais pas tous ! Oh non !

[JO]

Tarantino fait du Tarantino.

Je ne suis pas de cette époque mais
il me semble que les westerns italiens
devaient procurer les mêmes sensations au public des années 60.

Ce sont les modèles mentaux qui ont évolué, comme les modèles de perception, des modèles de communication bien plus pauvres qui se sont mis en place.

Reservoir Dogs m'avait déjà laissé en salles, un sentiment de dégoût et d'ennui. Dans Pulp Fiction, il y avait une technique inventive (les espaces vus au travers d'un "trip"), dans Kill Bill, Tarantino ancre sa réalisation dans le modèle du feuilleton, du sérial, l'invraisemblable de la violence passe par des personnages qui n'ont aucune vocation autre que d'incarner des caricatures.

En Italie, c' est une toute autre culture, dans tous les sens du terme. Les parcours artistiques et intellectuels des cinéastes n'ont rien à voir avec celui de Quentin Tarantino, comme vous le dites vous-même, un adolescent attardé, dont il ne restera rien probablement, pas grand chose en tout cas, c'est devenu complètement stérile. N'est pas Truffaut, Godard, ou Leone qui veut, eux sont partis d'une culture cinéma mais aussi d'une autre conception du monde, nourrie de littérature et de peinture (Leone). Chez Leone, la violence s'accompagne par exemple d'une réflexion sur l'espace et surtout le temps, qui la rend supportable et finit par faire sens, dans Il était une fois en Amérique, par exemple, son film le plus violent.

Tarantino , lui, arrive même à se prendre pour Lelouch, avec ses travellings circulaires somme dans Un homme une femme . Vous mettez du Bacalov sur n'importe quelle image, la qualité de la musique fait tout le reste, tous les étudiants en cinéma le savent.

Comme pour tout, le temps fera son oeuvre.

[JO]

[quote="Edocle"]

Exactement !!!
J'ai toujours dis que le western spaghetti nous avait enchanté
parce qu'il nous changeait des cow-boys bien habillés, bien rasés et gominés
des westerns US ! Pour nous ça bouleversait les genres... on était en plein
dans les années 68 avec notre vigueur de jeunots qui avaient envie de changement !
Et les Django, Ringo et autres tombaient bien !
Rien que la manière de mourir sous les balles qu'avaient les acteurs et cascadeurs
italiens et espagnols était déjà une révolution...
Puis il y a eu Dirty Harry en 71, c'était dans l'air du temps...
Alors oui on avait ces sensations-là... Que certains en vieillissant on perdu !
Mais pas tous ! Oh non !

Et comme souvent, Edocle, en pleine mythologie . Le western italien et Dirty Harry ont été qualifiés de "fachos", réactionnaires, vous le savez bien , et pour partie parce que largement faits en Espagne sous Franco et avec la Démocratie Chrétienne en Italie, ou alors vous avez tout oublié.... relisez vos classiques, genre Gaston Haustrate, ou certains textes de La Revue du Cinéma Image et Son.

Quant à Clint Eastwood, il a fallu attendre, environ le milieu des années 80, pour voir le discours changer.

[Edocle]

Et comme souvent, Edocle, en pleine mythologie

La mythologie, je m'en tape !
Je ne brasse aucun vieux papiers, je n'ai que mes souvenirs et ça ma suffit !
Et comme je vois qu'après Giré la vindicte porte sur Tarentino,
j'arrête là mes commentaires et je retourne aux films et au cinéma !
Tchao !
FINE

[JO]

Et comme souvent, Edocle, en pleine mythologie

La mythologie, je m'en tape !
Je ne brasse aucun vieux papiers, je n'ai que mes souvenirs et ça ma suffit !
Et comme je vois qu'après Giré la vindicte porte sur Tarentino,
j'arrête là mes commentaires et je retourne aux films et au cinéma !
Tchao !
FINE

Giré déteste Tarantino, d'après ce qu'il en a écrit ici et ailleurs

On parle du film, du metteur en scène, pas de la personne privée. Si on fait de l'analyse, il n'est pas indifférent d'observer que le double de Q.T. dans le film -le chasseur de primes- est envoyé ad patres sitôt une certaine prise de conscience faite.... mais je laisse cela aux successeurs cancaniers de la Revue du Cinéma .... parce qu'effectivement, je ne pense pas que ce film de très grande consommation mérite grand discours...

Ciao

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