Poker d'as pour Django - Le due facce del dollaro - Roberto Bianchi Montero - 1967
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Edocle
Rex Lee
Breccio
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Poker d'as pour Django - Le due facce del dollaro - Roberto Bianchi Montero - 1967
Mathematicus (Jacques Herlin, style petit clerc de notaire lunettu) a un plan : s’emparer de l’or des mineurs (deux quintaux, soit l’équivalent de la journée d'un trader, mais on va pas chipoter), or entreposé à Fort Henderson en attendant son transfert.
Mathematicus est doué pour l’horlogerie, et son plan ressemble à un engrenage.
Les rouages :
— un pistolero fétichiste (Monty Greenwood, alias Maurice Poli), qui n’arrête pas de caresser son revolver, surtout après avoir éliminé un groupe de concurrents (parmi lesquels on reconnaît Spartaco Conversi, candidat au challenge Rick Boyd de l’apparition éclair) dans un monastère en ruine que nous connaissons tous ;
— un militaire déchu style jugulaire-jugulaire (Gerard Herter, qui opère la fusion entre son personnage de Colorado et le colonel Mortimer — au passage, on se dit que Patrick McGoohan s’en est vachement inspiré pour son major Cabot du Génie, deux associés, une cloche.
— et l’obligatoire pulpeuse créature de rêve qui nous met un peu de sensualité dans tout ça — rhââ lovely — c’est une dénommé Gabriella Giorgelli qui s’y colle.
Phase Un : insérer tous ces personnages dans la place.
Phase Deux : actionner les engrenages, genre film de casse, touchez pas aux dollari et tout ça. Là, on confine au jouissif, avec minutage en béton, bricolage itou, et tous les petits obstacles imprévus au plan-parfait-qui-ne-peut-pas-foirer — j’adore !
Au fait, est-ce qu’il foire, le plan ? Non !
Sauf que… évidemment, une fois l’or embarqué, nos lascars commencent à se tirer dans les pattes pour savoir qui partira seul avec le pactole !
Ça commence avec cet enfoiré de Mathematicus, qui se débarrasse de la bellissima Gabriella en la dénonçant aux militaires, puis, une fois que les trois complices restants se sont retrouvés sur la Route blanche, voilà-t-y pas que le colonel veut l’or pour lui tout seul ! À peine a-t-il eu le temps de discuter avec le pistolero pour comparer leurs phallus-revolvers respectifs que Mathematicus file en leur laissant… des sacs pleins de sable !
Bon, je vous raconte pas tout le film, ça vous gâcherait le plaisir. Mais laissez-moi vous dire que la fin est à couper le souffle. Y a que le western all'italiana pour nous mitonner des conclusions au goût de cendres comme celle-ci !
Une excellente série B, au scénario impeccable, à la mise en scène élégante juste ce qu’il faut, mettant en vedette des seconds rôles sympa qui, pour une fois, ont l’occasion et le temps de montrer ce qu’ils savent faire.
Breccio a dit : allez-y voir de plus près !
Comment voir ce petit bijou ? Ben, il est sorti chez Studio Canal, banane ! VF only, image qualité K7, mais on prend ce qu'on a.
B.
Mathematicus est doué pour l’horlogerie, et son plan ressemble à un engrenage.
Les rouages :
— un pistolero fétichiste (Monty Greenwood, alias Maurice Poli), qui n’arrête pas de caresser son revolver, surtout après avoir éliminé un groupe de concurrents (parmi lesquels on reconnaît Spartaco Conversi, candidat au challenge Rick Boyd de l’apparition éclair) dans un monastère en ruine que nous connaissons tous ;
— un militaire déchu style jugulaire-jugulaire (Gerard Herter, qui opère la fusion entre son personnage de Colorado et le colonel Mortimer — au passage, on se dit que Patrick McGoohan s’en est vachement inspiré pour son major Cabot du Génie, deux associés, une cloche.
— et l’obligatoire pulpeuse créature de rêve qui nous met un peu de sensualité dans tout ça — rhââ lovely — c’est une dénommé Gabriella Giorgelli qui s’y colle.
Phase Un : insérer tous ces personnages dans la place.
Phase Deux : actionner les engrenages, genre film de casse, touchez pas aux dollari et tout ça. Là, on confine au jouissif, avec minutage en béton, bricolage itou, et tous les petits obstacles imprévus au plan-parfait-qui-ne-peut-pas-foirer — j’adore !
Au fait, est-ce qu’il foire, le plan ? Non !
Sauf que… évidemment, une fois l’or embarqué, nos lascars commencent à se tirer dans les pattes pour savoir qui partira seul avec le pactole !
Ça commence avec cet enfoiré de Mathematicus, qui se débarrasse de la bellissima Gabriella en la dénonçant aux militaires, puis, une fois que les trois complices restants se sont retrouvés sur la Route blanche, voilà-t-y pas que le colonel veut l’or pour lui tout seul ! À peine a-t-il eu le temps de discuter avec le pistolero pour comparer leurs phallus-revolvers respectifs que Mathematicus file en leur laissant… des sacs pleins de sable !
Bon, je vous raconte pas tout le film, ça vous gâcherait le plaisir. Mais laissez-moi vous dire que la fin est à couper le souffle. Y a que le western all'italiana pour nous mitonner des conclusions au goût de cendres comme celle-ci !
Une excellente série B, au scénario impeccable, à la mise en scène élégante juste ce qu’il faut, mettant en vedette des seconds rôles sympa qui, pour une fois, ont l’occasion et le temps de montrer ce qu’ils savent faire.
Breccio a dit : allez-y voir de plus près !
Comment voir ce petit bijou ? Ben, il est sorti chez Studio Canal, banane ! VF only, image qualité K7, mais on prend ce qu'on a.
B.
Re: Poker d'as pour Django - Le due facce del dollaro - Roberto Bianchi Montero - 1967
Je m'attendais à voir un bon film et je n'ai pas été déçu , bien au contraire.
" Le due facce del dollaro" , puisque tel est le titre original n' a bien sûr rien d'un "Django" et les distributeurs de l' époque l'ont donc affublé d'un titre à la mode ...Une seule fois dans le film , Maurice Poli est appelé ainsi par Gabriella Giogelli. Ce western est sorti à Paris le 9. 10. 1968 et nous est présenté dans ce DVD studio Canal dans une version qui ne souffre d'aucune coupe visible : durée : 1h30 ( IMDb indique pourtant 95 mn ..)
Petit budget mais excellente série B . Le scénario est original,( véritable mécanisme d' horlogerie , à l'image du plan de Mathématcus ! ) la musique est bonne ,les acteurs s'en sortent très bien : mention spéciale à Jacques Herlin et à Gérard Herter qui sont les véritables vedettes de ce western ! Maurice Poli est un peu en retrait ...
Enfin , je rassure ceux qui ne l'ont pas vu : le DVD est de très bonne qualité...on dirait presque du " Seven".
Vivement conseillé , donc.
" Le due facce del dollaro" , puisque tel est le titre original n' a bien sûr rien d'un "Django" et les distributeurs de l' époque l'ont donc affublé d'un titre à la mode ...Une seule fois dans le film , Maurice Poli est appelé ainsi par Gabriella Giogelli. Ce western est sorti à Paris le 9. 10. 1968 et nous est présenté dans ce DVD studio Canal dans une version qui ne souffre d'aucune coupe visible : durée : 1h30 ( IMDb indique pourtant 95 mn ..)
Petit budget mais excellente série B . Le scénario est original,( véritable mécanisme d' horlogerie , à l'image du plan de Mathématcus ! ) la musique est bonne ,les acteurs s'en sortent très bien : mention spéciale à Jacques Herlin et à Gérard Herter qui sont les véritables vedettes de ce western ! Maurice Poli est un peu en retrait ...
Enfin , je rassure ceux qui ne l'ont pas vu : le DVD est de très bonne qualité...on dirait presque du " Seven".
Vivement conseillé , donc.
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Poker d'as pour Django - Le due facce del dollaro - Roberto Bianchi Montero - 1967
En attendant que soit créée une entrée sur lui dans "Ceux qui ont fait la légende..."
Hier, en regardant au journal télé la montée des marches de l'équipe du film Des dieux et des hommes...
"Mais je connais cette tête !"
Oui, c'est bien Jacques Herlin qui joue le doyen des moines. Quelle carrière ! Le jour où il racontera ses mémoires...
B
Hier, en regardant au journal télé la montée des marches de l'équipe du film Des dieux et des hommes...
"Mais je connais cette tête !"
Oui, c'est bien Jacques Herlin qui joue le doyen des moines. Quelle carrière ! Le jour où il racontera ses mémoires...
B
Re: Poker d'as pour Django - Le due facce del dollaro - Roberto Bianchi Montero - 1967
Monsieur Jacques HERLIN
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Edocle- Sergio Leone
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Re: Poker d'as pour Django - Le due facce del dollaro - Roberto Bianchi Montero - 1967
Breccio a écrit:En attendant que soit créée une entrée sur lui dans "Ceux qui ont fait la légende..."
Hier, en regardant au journal télé la montée des marches de l'équipe du film Des dieux et des hommes...
"Mais je connais cette tête !"
Oui, c'est bien Jacques Herlin qui joue le doyen des moines. Quelle carrière ! Le jour où il racontera ses mémoires...
B
L'entrée existe depuis le 3 mai...
Amicalement .
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Poker d'as pour Django - Le due facce del dollaro - Roberto Bianchi Montero - 1967
Zutre. Je l'ai pas vue au répertoire. Bon, je copie/colle mon post ci-dessus.Rex Lee a écrit:L'entrée existe depuis le 3 mai...
Amicalement .
B.
Re: Poker d'as pour Django - Le due facce del dollaro - Roberto Bianchi Montero - 1967
Gabriella Giorgelli / Jacques Herlin
Maurice Poli [ Monty Greenwood ] / Gerard Herter
Rex Lee- Sergio Leone
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stéphane- Michele Lupo
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Re: Poker d'as pour Django - Le due facce del dollaro - Roberto Bianchi Montero - 1967
Vu pour la première fois ce matin, j'ai passé un très bon moment, malgré quelques faiblesses :
- qualité de la copie assez médiocre dans l'ensemble, griffures, variations fréquentes de la colométrie
- format non respecté, il manque une partie de l'image (à droite, si on se fie au générique)
- Vf uniquement et celle-ci n'est pas formidable au niveau du son et du jeu de certains acteurs
- un look globalement assez laid du film, typique du spagh fauché, notamment en ce qui concerne les paysages peu variés et peu photogéniques dans l'ensemble , genre carrière de sable en banlieue ! Dommage.
Néanmoins le film dispense des plaisirs nombreux, et notamment celui de voir enfin Gerard Herter dans un premier rôle, lui qui semblait abonné aux officiers teutons égarés dans le far-west ou le Mexique le temps d'une bobine.
Cependant la grand force du film c'est l'originalité de l'histoire. Je dis ça maintenant à chaque fois que j'en trouve un qui raconte enfin autre chose qu'une histoire de vengeance! Il est vrai que les spaghs de la veine "chasse au trésor" sont moins nombreux et se ressemblent tous un peu. Ici il y a des idées. C'est plutôt l'histoire d'un casse, comme dans un polar. On sait que le "cerveau" de la bande a un plan mais on ne nous en dit rien au départ (sauf que les différents membres de la bande ne se connaissent pas), et on découvre celui-ci au fur et à mesure. Et ça marche !
Contrairement à "Un génie , deux associés une cloche" où Joe Thanks répète sans cesse que "tout se passe comme prévu" alors qu'on ne sait rien de ce qu'il veut faire, ici l'objectif est clair (voler l'or du fort) et il y a des imprévus (des soldats qui déboulent là où on ne les attend pas) , le plaisir est de voir comment les protagonistes vont réussir à les gérer sans casser le timing. Toute cette partie "hold up", bien que faible en action et coups de feu, est assez bien menée malgré un rythme trop nonchalant qui tue le suspense.
Le troisième partie est plus trépidante, fuite, trahisons, règlements de comptes, ça défouraille plein pot,enfin, mais le meilleur reste à venir. Quand l'heure vient enfin du duel longtemps repoussé entre "Django" et le colonel, ni l'un ni l'autre ne souhaite plus tuer l'autre! On comprend qu'au fil des péripéties et malgré les trahisons, une amitié est née, du moins une complicité entre tireurs jumeaux (même arme, même adresse) et bien sûr la mort fait quand même son office. le survivant du coup génial n'a aucune envie de triompher, au contraire... La victoire a un goût amer,elle est d'ailleurs de courte durée.. Cette fin noire, pessimiste est assez originale dans le contexte du western spaghetti et très émouvante de surcroît: elle laisse le spectateur sur une excellente impression, celle d'avoir vu un très bon film, en dépit des faiblesses (réelles) signalées plus haut.....
- qualité de la copie assez médiocre dans l'ensemble, griffures, variations fréquentes de la colométrie
- format non respecté, il manque une partie de l'image (à droite, si on se fie au générique)
- Vf uniquement et celle-ci n'est pas formidable au niveau du son et du jeu de certains acteurs
- un look globalement assez laid du film, typique du spagh fauché, notamment en ce qui concerne les paysages peu variés et peu photogéniques dans l'ensemble , genre carrière de sable en banlieue ! Dommage.
Néanmoins le film dispense des plaisirs nombreux, et notamment celui de voir enfin Gerard Herter dans un premier rôle, lui qui semblait abonné aux officiers teutons égarés dans le far-west ou le Mexique le temps d'une bobine.
Cependant la grand force du film c'est l'originalité de l'histoire. Je dis ça maintenant à chaque fois que j'en trouve un qui raconte enfin autre chose qu'une histoire de vengeance! Il est vrai que les spaghs de la veine "chasse au trésor" sont moins nombreux et se ressemblent tous un peu. Ici il y a des idées. C'est plutôt l'histoire d'un casse, comme dans un polar. On sait que le "cerveau" de la bande a un plan mais on ne nous en dit rien au départ (sauf que les différents membres de la bande ne se connaissent pas), et on découvre celui-ci au fur et à mesure. Et ça marche !
Contrairement à "Un génie , deux associés une cloche" où Joe Thanks répète sans cesse que "tout se passe comme prévu" alors qu'on ne sait rien de ce qu'il veut faire, ici l'objectif est clair (voler l'or du fort) et il y a des imprévus (des soldats qui déboulent là où on ne les attend pas) , le plaisir est de voir comment les protagonistes vont réussir à les gérer sans casser le timing. Toute cette partie "hold up", bien que faible en action et coups de feu, est assez bien menée malgré un rythme trop nonchalant qui tue le suspense.
Le troisième partie est plus trépidante, fuite, trahisons, règlements de comptes, ça défouraille plein pot,enfin, mais le meilleur reste à venir. Quand l'heure vient enfin du duel longtemps repoussé entre "Django" et le colonel, ni l'un ni l'autre ne souhaite plus tuer l'autre! On comprend qu'au fil des péripéties et malgré les trahisons, une amitié est née, du moins une complicité entre tireurs jumeaux (même arme, même adresse) et bien sûr la mort fait quand même son office. le survivant du coup génial n'a aucune envie de triompher, au contraire... La victoire a un goût amer,elle est d'ailleurs de courte durée.. Cette fin noire, pessimiste est assez originale dans le contexte du western spaghetti et très émouvante de surcroît: elle laisse le spectateur sur une excellente impression, celle d'avoir vu un très bon film, en dépit des faiblesses (réelles) signalées plus haut.....
old timer- Sergio Leone
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Re: Poker d'as pour Django - Le due facce del dollaro - Roberto Bianchi Montero - 1967
Excellente critique, old timer !
C'est exactement ce qu'on appelle un bon petit film (pas beaucoup de moyens, quelques raccourcis, mais fait par des artisans qui aiment leur métier).
Et un brin d'originalité en plus.
B.
C'est exactement ce qu'on appelle un bon petit film (pas beaucoup de moyens, quelques raccourcis, mais fait par des artisans qui aiment leur métier).
Et un brin d'originalité en plus.
B.
Re: Poker d'as pour Django - Le due facce del dollaro - Roberto Bianchi Montero - 1967
Captures du DVD Studio Canal qu'il faut vous procurer si vous ne l'avez pas:
Jacques Herlin
Maurice Poli
Gerard Herter
Gabriella Giorgelli
Jacques Herlin
Maurice Poli
Gerard Herter
Gabriella Giorgelli
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Poker d'as pour Django - Le due facce del dollaro - Roberto Bianchi Montero - 1967
Revu et ce film mérite d'être plus reconnu car c'est une réussite du genre avec un scénario habile, des acteurs impec (Herter surtout) et de belles scènes. J'adore la scène où Maurice Poli est habillé en moine.
Par contre les distributeurs français ont abusé car Django est cité qu'une fois et en plus durant le film ont ne sais même pas comment s'appel le personnage joué par Maurice Poli. Bref encore un moyen détourner pour flirter sur la vague du Django de Corbucci.
Ah et Stelvio Massi à la photo fait encore du bon boulot (la scène de nuit dans le refuge par exemple)
Bref comme dis Breccio allez y voir de plus près.
Par contre les distributeurs français ont abusé car Django est cité qu'une fois et en plus durant le film ont ne sais même pas comment s'appel le personnage joué par Maurice Poli. Bref encore un moyen détourner pour flirter sur la vague du Django de Corbucci.
Ah et Stelvio Massi à la photo fait encore du bon boulot (la scène de nuit dans le refuge par exemple)
Bref comme dis Breccio allez y voir de plus près.
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Trinita- Sergio Leone
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Re: Poker d'as pour Django - Le due facce del dollaro - Roberto Bianchi Montero - 1967
Vu hier, un film sympathique. Effectivement, Herter et Herlin sont irréprochables.
Certes, je lui ai trouvé quelques petits défauts: le vol de l'or ne m'a pas semblé très crédible (organiser toute cette opération avec juste un plan du fort est un peu gros, personne ne s'étonne de l'absence de soldats pendant l'inspection, la déduction que Mathematicus est parti vers l'ouest après une ridicule démonstration...) et le doublage français est plutôt médiocre.
La musique est agréable à écouter, mais elle me rappelle vraiment celle de Pour une poignée de dollars lors de ses premières notes. Et malgré un petit budget, le film s'en sort très bien! Enfin, Gabriella Giorgelli nous en met plein la vue à chaque apparition
Certes, je lui ai trouvé quelques petits défauts: le vol de l'or ne m'a pas semblé très crédible (organiser toute cette opération avec juste un plan du fort est un peu gros, personne ne s'étonne de l'absence de soldats pendant l'inspection, la déduction que Mathematicus est parti vers l'ouest après une ridicule démonstration...) et le doublage français est plutôt médiocre.
La musique est agréable à écouter, mais elle me rappelle vraiment celle de Pour une poignée de dollars lors de ses premières notes. Et malgré un petit budget, le film s'en sort très bien! Enfin, Gabriella Giorgelli nous en met plein la vue à chaque apparition
Sancho Perez- Sergio Sollima
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Re: Poker d'as pour Django - Le due facce del dollaro - Roberto Bianchi Montero - 1967
Vu hier à la FNAC (sur la table des DVD à bas prix), une nouvelle édition, avec une jaquette retravaillée dans le noir et blanc, plus un peu de rouge, assortie à celle de Django tire le premier. Pour ceux qui ne l'auraient pas encore.
B.
B.
Re: Poker d'as pour Django - Le due facce del dollaro - Roberto Bianchi Montero - 1967
Du matériel d'exploitation:
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Poker d'as pour Django - Le due facce del dollaro - Roberto Bianchi Montero - 1967
La Stampa, Turin, le 6 juin 1968.
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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