Il était une fois à El Paso - I senza Dio - Roberto Bianchi Montero - 1972
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Il était une fois à El Paso - I senza Dio - Roberto Bianchi Montero - 1972
Boudu ! il s’en passe des choses à El Paso ! Voyons si votre tonton Breccio peut vous résumer tout ça.
D’abord, y a le méchant, Carbancho (José Jaspe, titulaire d’un doctorat de l’École Fernando Sancho des bandidos mexicains velus, avec félicitations du jury et mention spéciale pour le coup de la montre à gousset des cinq secondes qui tuent) ; il est bête, il est méchant, il est crasseux, il est inventif, il est flanqué de la bande qui va bien, cicatrices, barbes de trois jours et paris stupides à foison – on en redemande.
Ensuite, y a Minnesota Killer (Chris Avram, un acteur roumain que Marina Vlady a ramené dans ses bagages après un petit séjour derrière le Rideau de fer – du moins s’y j’en crois sa fiche imdb), chasseur de primes genre colonel Mortimer, costard noir et expressivité aux abonnés absents, tueur glacial de derrière le congélo. Impeccable dans son registre.
Pis y a El Santo (Antonio Sabato), genre chien fou, velu lui aussi, mais sur le torse pour faire pâmer ces dames, qui a un compte à régler avec Carbancho et dont Minnesota Killer fait son associé – on devine que ça va pas bien se passer et on n’est pas déçu.
Plus tous les personnages secondaires de rigueur, qui tous répondent présent : le shérif tourmenté (Paolo Gozlino), qui veut la peau de Carbancho mais qui est handicapé par ses migraines ; le curé-barbier excentrique (Enzo La Torre), surtout là pour faire couleur locale ; la femme du banquier (Erika Blanc), troublante et pulpeuse créature de rêve ; la madone innocente (Pilar Velasquez), troublante et pulpeuse créature de rêve itou, mais dans un autre registre…
Plus la galerie habituelle de troisièmes couteaux qu’on aime tant, avec mention spéciale à José Canalejas, qui prend son pied comme pas un, et à Victor Israel, au strabisme impérial. Certaines sources font figurer Ken Wood (Giovanni Cianfriglia) au générique, mais je l’ai pô vu. Remboursez !
Bon, de quoi-t’est-ce-qu’est-il question au juste ?
Carbancho et/ou ses complices ont fait des coups fumants, préjudiciables à la banque d’El Paso, le banquier est furax, le shérif est impuissant et Minnesota Killer flaire la bonne affaire. Il s’associe avec El Santo, et tous deux démêlent l’écheveau, car, bien évidemment, Carbancho a bénéficié de complicités haut placées pour monter tous ses coups fumants.
Je vous raconte pas tout, ça vous gâcherait le plaisir de la découverte de ce western spaghetti qui ressemble à une pièce montée : y a de tout là-dedans, et en quantités pléthoriques – gare à l’indigestion.
Vu la date de sortie, on subodore une production tardive, et on n’a pas tort. Sauf qu’ici, pas de décadence trinitesque mais une volonté de jouer le jeu du western all’italiana classique, avec tous les ingrédients de base. Bon, le scénariste en fait un poil trop – c’est sans doute ce qui explique les migraines du shérif : il a lu le script, lui –, la caméra s’attarde avec amour sur des décors familiers – ah ! ce monastère en ruine… –, mais, personnellement, ça ne me dérange pas, bien au contraire !
Un film sympa, grâce auquel l’amateur jubilera de pas mal d’astuces de scénar et de mise en scène !
Breccio a dit : allez-y voir de plus près !
Bon, cela dit, pour voir cette toile, faudra vous contenter d’un DVD-R bricolé par ces aficionados qu’on aime tant, avec image délavée où l’ocre clair se mêle au beige foncé, sautes fréquentes et dialogues parfois coupés en pleine tirade. On prend ce qu’on a, et on le prend avec joie tant que les éditeurs préfèrent nous servir des daubes récentes avec bonus détaillant la commande du metteur en scène à Domino Pizza le jour où il a fallu tourner la séquence de la crucifixion du héros, alors que ledit héros était en désintox (quinze pages dans Gala – mais je m’égare, et pas seulement Saint-Lazare).
Qu’essse vous faites à me lire ? Vous devriez déjà être en train de vous démouniquer pour dégoter un DVD de ce film, bande de nazes !
B
D’abord, y a le méchant, Carbancho (José Jaspe, titulaire d’un doctorat de l’École Fernando Sancho des bandidos mexicains velus, avec félicitations du jury et mention spéciale pour le coup de la montre à gousset des cinq secondes qui tuent) ; il est bête, il est méchant, il est crasseux, il est inventif, il est flanqué de la bande qui va bien, cicatrices, barbes de trois jours et paris stupides à foison – on en redemande.
Ensuite, y a Minnesota Killer (Chris Avram, un acteur roumain que Marina Vlady a ramené dans ses bagages après un petit séjour derrière le Rideau de fer – du moins s’y j’en crois sa fiche imdb), chasseur de primes genre colonel Mortimer, costard noir et expressivité aux abonnés absents, tueur glacial de derrière le congélo. Impeccable dans son registre.
Pis y a El Santo (Antonio Sabato), genre chien fou, velu lui aussi, mais sur le torse pour faire pâmer ces dames, qui a un compte à régler avec Carbancho et dont Minnesota Killer fait son associé – on devine que ça va pas bien se passer et on n’est pas déçu.
Plus tous les personnages secondaires de rigueur, qui tous répondent présent : le shérif tourmenté (Paolo Gozlino), qui veut la peau de Carbancho mais qui est handicapé par ses migraines ; le curé-barbier excentrique (Enzo La Torre), surtout là pour faire couleur locale ; la femme du banquier (Erika Blanc), troublante et pulpeuse créature de rêve ; la madone innocente (Pilar Velasquez), troublante et pulpeuse créature de rêve itou, mais dans un autre registre…
Plus la galerie habituelle de troisièmes couteaux qu’on aime tant, avec mention spéciale à José Canalejas, qui prend son pied comme pas un, et à Victor Israel, au strabisme impérial. Certaines sources font figurer Ken Wood (Giovanni Cianfriglia) au générique, mais je l’ai pô vu. Remboursez !
Bon, de quoi-t’est-ce-qu’est-il question au juste ?
Carbancho et/ou ses complices ont fait des coups fumants, préjudiciables à la banque d’El Paso, le banquier est furax, le shérif est impuissant et Minnesota Killer flaire la bonne affaire. Il s’associe avec El Santo, et tous deux démêlent l’écheveau, car, bien évidemment, Carbancho a bénéficié de complicités haut placées pour monter tous ses coups fumants.
Je vous raconte pas tout, ça vous gâcherait le plaisir de la découverte de ce western spaghetti qui ressemble à une pièce montée : y a de tout là-dedans, et en quantités pléthoriques – gare à l’indigestion.
Vu la date de sortie, on subodore une production tardive, et on n’a pas tort. Sauf qu’ici, pas de décadence trinitesque mais une volonté de jouer le jeu du western all’italiana classique, avec tous les ingrédients de base. Bon, le scénariste en fait un poil trop – c’est sans doute ce qui explique les migraines du shérif : il a lu le script, lui –, la caméra s’attarde avec amour sur des décors familiers – ah ! ce monastère en ruine… –, mais, personnellement, ça ne me dérange pas, bien au contraire !
Un film sympa, grâce auquel l’amateur jubilera de pas mal d’astuces de scénar et de mise en scène !
Breccio a dit : allez-y voir de plus près !
Bon, cela dit, pour voir cette toile, faudra vous contenter d’un DVD-R bricolé par ces aficionados qu’on aime tant, avec image délavée où l’ocre clair se mêle au beige foncé, sautes fréquentes et dialogues parfois coupés en pleine tirade. On prend ce qu’on a, et on le prend avec joie tant que les éditeurs préfèrent nous servir des daubes récentes avec bonus détaillant la commande du metteur en scène à Domino Pizza le jour où il a fallu tourner la séquence de la crucifixion du héros, alors que ledit héros était en désintox (quinze pages dans Gala – mais je m’égare, et pas seulement Saint-Lazare).
Qu’essse vous faites à me lire ? Vous devriez déjà être en train de vous démouniquer pour dégoter un DVD de ce film, bande de nazes !
B
Re: Il était une fois à El Paso - I senza Dio - Roberto Bianchi Montero - 1972
Une critique excellente pour un très bon western...
Que dire de plus?
Peut-être compléter la distribution?
D'abord, je confirme ce qu'a dit Breccio: Ken Wood n'est pas dans le film.
En revanche, qui d'autre avons-nous?
Eh, bien voilà:
Jose Canalejas et Simon Arriaga sont des bandidos. Des habitués.
Antonio Padilla est le prisonnier avec lequel s'évade El Santo/Roy et Victor Israel, le gardien.
Beni Deus est le banquier. Franco Marletta est l'assistant du shérif. Et Lorenzo Robledo remporte le challenge Rick Boyd.
Antonio Sabato
Chris Avram
Pilar Velazquez
Erika Blanc
Bon, c'est vrai que la VHS est un peu fatiguée. Un tel film, injustement méconnu, mérite mieux.
Que dire de plus?
Peut-être compléter la distribution?
D'abord, je confirme ce qu'a dit Breccio: Ken Wood n'est pas dans le film.
En revanche, qui d'autre avons-nous?
Eh, bien voilà:
Jose Canalejas et Simon Arriaga sont des bandidos. Des habitués.
Antonio Padilla est le prisonnier avec lequel s'évade El Santo/Roy et Victor Israel, le gardien.
Beni Deus est le banquier. Franco Marletta est l'assistant du shérif. Et Lorenzo Robledo remporte le challenge Rick Boyd.
Antonio Sabato
Chris Avram
Pilar Velazquez
Erika Blanc
Bon, c'est vrai que la VHS est un peu fatiguée. Un tel film, injustement méconnu, mérite mieux.
Rex Lee- Sergio Leone
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Date d'inscription : 06/04/2010
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Localisation : 19
Re: Il était une fois à El Paso - I senza Dio - Roberto Bianchi Montero - 1972
Rex Lee a écrit:
Bon, c'est vrai que la VHS est un peu fatiguée. Un tel film, injustement méconnu, mérite mieux.
C'est fait !!!
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Edocle- Sergio Leone
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Localisation : 92 Spaghetti Ville
Re: Il était une fois à El Paso - I senza Dio - Roberto Bianchi Montero - 1972
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
- Messages : 6429
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Age : 68
Localisation : 19
Re: Il était une fois à El Paso - I senza Dio - Roberto Bianchi Montero - 1972
Je l'ai revu hier soir et je me suis régalé. Merci à qui de droit!
Mais ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit. Ce film n'est pas un chef-d’œuvre...c'est simplement un bon western tourné en Espagne (détail important). Je vous renvoie à l'excellente critique de Breccio.
Les seconds rôles:
Alessandro Perrella est l'homme que Minnesota abat au tout début du film.
José Jaspe est Corbancho.
Beni Deus est le banquier.
Enzo La Torre est le prêtre qui fait aussi office de barbier. Il ponctue ses phrases par une série de "Oh, Mamma mia!"(C'est là le seul western de cet acteur qui a une dizaine de films à son actif, tournés entre 1964 et 1977.)
José Canalejas est l'homme à la cicatrice, complice de Corbancho.
Nino Musco est le gérant de l'hôtel.
Simon Arriaga est l'homme de Corbancho qui parie toujours sur le 5.
Paolo Gozlino, alias Paul Stevens / Franco Marletta : le shérif et son adjoint.
Victor Israel: le gardien.
Antonio Padilla: le prisonnier avec lequel El Santo s'évade.
Lorenzo Robledo: l'homme dans le cimetière. Son rôle est très court.
Mais ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit. Ce film n'est pas un chef-d’œuvre...c'est simplement un bon western tourné en Espagne (détail important). Je vous renvoie à l'excellente critique de Breccio.
Les seconds rôles:
Alessandro Perrella est l'homme que Minnesota abat au tout début du film.
José Jaspe est Corbancho.
Beni Deus est le banquier.
Enzo La Torre est le prêtre qui fait aussi office de barbier. Il ponctue ses phrases par une série de "Oh, Mamma mia!"(C'est là le seul western de cet acteur qui a une dizaine de films à son actif, tournés entre 1964 et 1977.)
José Canalejas est l'homme à la cicatrice, complice de Corbancho.
Nino Musco est le gérant de l'hôtel.
Simon Arriaga est l'homme de Corbancho qui parie toujours sur le 5.
Paolo Gozlino, alias Paul Stevens / Franco Marletta : le shérif et son adjoint.
Victor Israel: le gardien.
Antonio Padilla: le prisonnier avec lequel El Santo s'évade.
Lorenzo Robledo: l'homme dans le cimetière. Son rôle est très court.
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Localisation : 19
Re: Il était une fois à El Paso - I senza Dio - Roberto Bianchi Montero - 1972
A mon ami Rex Lee : Tu mets Corbancho dans les seconds rôles
Pour moi, c'est le personnage central sans être la vedette du film, mais sans lui pas d'histoire !
Et le petit rapporteur, c'est qui ?
Dans l'ensemble j'ai bien aimé, malgré dénouement un peu bizarre.
Quant à aller faire sa lessive à la sortie des égouts....
Pour moi, c'est le personnage central sans être la vedette du film, mais sans lui pas d'histoire !
Et le petit rapporteur, c'est qui ?
Dans l'ensemble j'ai bien aimé, malgré dénouement un peu bizarre.
Quant à aller faire sa lessive à la sortie des égouts....
Sitting Bull- Sergio Leone
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Localisation : La forêt landaise
Re: Il était une fois à El Paso - I senza Dio - Roberto Bianchi Montero - 1972
Comme tu le dis fort justement, ami Sitting Bull, Corbancho à un rôle essentiel mais il n'est pas la vedette...tout comme le shérif, d'ailleurs.
J'ignore qui est petit rapporteur. Un figurant local?
Rien trouvé non plus sur la sœur et l'oncle d'El Santos que l'on peut voir sur la capture de Simon Arriaga.
J'ignore qui est petit rapporteur. Un figurant local?
Rien trouvé non plus sur la sœur et l'oncle d'El Santos que l'on peut voir sur la capture de Simon Arriaga.
_________________
Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Localisation : 19
Re: Il était une fois à El Paso - I senza Dio - Roberto Bianchi Montero - 1972
Bon petit programme que ce El Paso.
Histoire de primes et d'or à références multiples, en passant de la banque d'El Paso, jusqu'au jeu du pendu.
On ne s'ennuie pas 5 secondes...heu, 1 seconde. Sinon Corbancho va m'trouer la peau!
Erika Blanc, avec son cigarillo et sa chevelure de feu me fait penser à Chihuahua Pearl, de Charlier et Gir.
Merci à tous ces desperados qui nous font découvrir ce genre de pépites...
Histoire de primes et d'or à références multiples, en passant de la banque d'El Paso, jusqu'au jeu du pendu.
On ne s'ennuie pas 5 secondes...heu, 1 seconde. Sinon Corbancho va m'trouer la peau!
Erika Blanc, avec son cigarillo et sa chevelure de feu me fait penser à Chihuahua Pearl, de Charlier et Gir.
Merci à tous ces desperados qui nous font découvrir ce genre de pépites...
Rex Lee a écrit:
Erika Blanc
Re: Il était une fois à El Paso - I senza Dio - Roberto Bianchi Montero - 1972
benito...
_________________
Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Date d'inscription : 06/04/2010
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Re: Il était une fois à El Paso - I senza Dio - Roberto Bianchi Montero - 1972
Rex Lee a écrit:
benito...
Merci Rex, c'est une déformation professionnelle de ma part, mais j'aime bien les affiches illustrées à la main.
Quoique ici je trouve étrange la position du tireur; un problème anatomique sûrement du au pli dans le papier.
Re: Il était une fois à El Paso - I senza Dio - Roberto Bianchi Montero - 1972
Problème anatomique sûrement, mais je ne crois pas qu'il soit dû à la pliure de l'affiche. Voir la jaquette postée supra par Rex Lee. la déformation semble la même.
Petit détail. Tout les dessinateurs ou peintres n'ont pas fait d'études de médecine, comme J.D.Ingres qui s'est bien planté de trois vertèbres (en trop) sur la chute de reins de sa très langoureuse "Grande Odalisque" !
Petit détail. Tout les dessinateurs ou peintres n'ont pas fait d'études de médecine, comme J.D.Ingres qui s'est bien planté de trois vertèbres (en trop) sur la chute de reins de sa très langoureuse "Grande Odalisque" !
Sitting Bull- Sergio Leone
- Messages : 1145
Date d'inscription : 05/10/2010
Age : 87
Localisation : La forêt landaise
Re: Il était une fois à El Paso - I senza Dio - Roberto Bianchi Montero - 1972
Revu le film dernièrement. Et j'ai compris (selon moi) quel était le problème sur lequel devait réfléchir l'illustrateur. Il n'a pas du comprendre que ce personnage porte le révolver sur la hanche gauche avec l'étui à l'envers, mais dégaine de la droite. Une petite frivolité du scénario qui oblige l'acteur à se contorsionner pour saisir son arme. C'est très bien montré dès le début du film.
Et comme je crois que cet illustrateur travaillait à partir de plusieurs photos; il ne sait pas poser de questions. Il a placé l'étui à la droite, et fait dégainer le personnage de la main gauche...comme sur le document de Rex Lee qui montre pourtant l'étui à la hanche gauche:
Et comme je crois que cet illustrateur travaillait à partir de plusieurs photos; il ne sait pas poser de questions. Il a placé l'étui à la droite, et fait dégainer le personnage de la main gauche...comme sur le document de Rex Lee qui montre pourtant l'étui à la hanche gauche:
Donc, la position anatomique est quasiment correcte sur l'affiche.
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