Dieu est avec toi, Gringo - Vaya con Dios, Gringo - 1966 - Edoardo Mulargia
+6
Edocle
Richards
Il Ritardario
stéphane
Rex Lee
Breccio
10 participants
Page 1 sur 2
Page 1 sur 2 • 1, 2
Dieu est avec toi, Gringo - Vaya con Dios, Gringo - 1966 - Edoardo Mulargia
Vient un moment où il faut mettre bas les masques. Renoncer aux faux-semblants. Dire ce qui doit être dit — au risque de passer pour un fou, ou — pire ! — pour un idiot.
Alors, je me lance.
Les westerns all’italiana d’Edoardo Mulargia sont des comédies existentielles, de sublimes fulgurances lancées à l’indifférence du monde, où les figures imposées du genre ne sont que des leurres, des pièges pour le spectateur naïf qui croit voir un banal western — même italien — alors que c’est la vie même, avec ses abysses les plus ténébreux, qui défile sous ses yeux.
Pouf, pouf.
Bon, alors, y a le héros, le pistolero blond aux yeux bleus — Glenn Saxson, ou Saxon, alias Roel Bos, acteur hollandais qui a fini en Gilbert Trigano des Caraïbes, ou alors j’ai rien compris au chef d’accusation —, le bon, donc, qui se retrouve en prison en compagnie de son pote Mexico — Pedro Sanchez, alias Ignazio Spalla, qui joue par tics, et que je te renifle, et que je te chaparde des poulets, et que je te sers le rire homérique de rigueur à la Fernando Sancho
—, parce qu’on leur a mis sur le dos le meurtre du frère de Gringo, encore une sombre histoire de terres arables convoitées par lezuns et par lezautres.
Alors, nos deux z’héros s’évadent, œuf corse, mais ils sont obligés de se coltiner toute une bande de gibiers de potence, parmi lesquels Aldo Berti, la plus belle gueule de psychopathe qu’on ait jamais trouvée, Dino Strano, dit la Souris qui rugissait (cherchez pas — private joke), et quelques seconds couteaux de choix, dont ceux qui, plus tard, joueront les méchants dans Non aspettare, Django, spara ! du même Mulargia, dont on est plusieurs à vous avoir dit tout le bien qu’on en pensait.
Tout ce petit monde se carapate à bord d’une diligence « Walles Fargo » (sic !) et file vers le Mexique. Petite halte chez Don Pedro (Livio Lorenzon), et ça dégénère, passque la danseuse de flamenco locale (Lucrethia Love d’après l’affiche, je déconne pas !) a tapé dans l’œil d’Aldo Berti (qui, dans la vie, était pédé comme un phoque — un rôle de composition, donc). Notre petite bande a tout juste eu le temps de se débarrasser de Dino Strano — qui devra attendre la vague fidanesque pour tenter de se refaire une carrière, on compatit — que l’intrigue se complique encore.
Non seulement y a un shérif honnête et droit qui s’est lancé à leurs trousses, mais voilà-t-y pas qu’ils croisent la route d’un transport de fonds qui passait par là. Pétarade généralisée, et notre bande d’affreux se retrouve avec le trésor, ouais ! Enfin, le trésor, c’est surtout des bâtons de dynamite, genre la réserve cachée de Sean Sean Sean, Sean Sean Sean…
Mais je m’égare, et pas seulement d’Austerlitz.
Le sommet du film, c’est la scène où la diligence des fugitifs — Glenn Saxson est revenu, mais il a dézingué Aldo Berti, dommage — est poursuivie par une armée de Mexicains. Nos héros jouent au poker et, entre deux mises, ils jettent de la dynamite à leurs poursuivants, sous les yeux atterrés de la danseuse de flamenco, qui en pince de plus en plus pour notre Batave de service. Un coup de dés jamais n’abolira le hasard, disait le poète, et un full aux dames par les as non plus.
Tout ça s’achève de la façon la plus classique qui soit, avec bataille rangée à l’aube dans une ville déserte, notre héros et son fidèle companero Mexico face aux ordures réunies, y a même un duel avec musique morriconesque, et le shérif sort comme un lapin de son chapeau pour tirer les marrons du feu.
Rideau.
Moi, Mulargia, je dis : allez-y voir de plus près. Le même souci de suspense, cette attente qui n’en finit pas, le même soin apporté aux décors et à leur texture — ah ! ces murs de pisé photographiés en lumière rasante ! —, le même jeu avec les archétypes.
Oui, d’accord, c’est réservé aux aficionados, mais j’en suis, je le proclame !
Bon, comment voir ce film ? Vous faites comme moi, vous priez saint Sabata — bom, bo-bo-bom, bo-bom, bom ! — et un jour débarquera chez vous un DVD+R pourrave, avec image solarisée grave, qui vous enchantera, passeque les dealers habituels seront plus occupés à baver sur un Tarantino de mes deux qu’à produire des éditions restaurées impec des films qu’on attend tous. On fait avec c’qu’on a, et on est ben content d’avoir c’qu’on a, ma pauvre dame !
Breccio a dit… ah ! mais vous la connaissez déjà.
B
Alors, je me lance.
Les westerns all’italiana d’Edoardo Mulargia sont des comédies existentielles, de sublimes fulgurances lancées à l’indifférence du monde, où les figures imposées du genre ne sont que des leurres, des pièges pour le spectateur naïf qui croit voir un banal western — même italien — alors que c’est la vie même, avec ses abysses les plus ténébreux, qui défile sous ses yeux.
Pouf, pouf.
Bon, alors, y a le héros, le pistolero blond aux yeux bleus — Glenn Saxson, ou Saxon, alias Roel Bos, acteur hollandais qui a fini en Gilbert Trigano des Caraïbes, ou alors j’ai rien compris au chef d’accusation —, le bon, donc, qui se retrouve en prison en compagnie de son pote Mexico — Pedro Sanchez, alias Ignazio Spalla, qui joue par tics, et que je te renifle, et que je te chaparde des poulets, et que je te sers le rire homérique de rigueur à la Fernando Sancho

Alors, nos deux z’héros s’évadent, œuf corse, mais ils sont obligés de se coltiner toute une bande de gibiers de potence, parmi lesquels Aldo Berti, la plus belle gueule de psychopathe qu’on ait jamais trouvée, Dino Strano, dit la Souris qui rugissait (cherchez pas — private joke), et quelques seconds couteaux de choix, dont ceux qui, plus tard, joueront les méchants dans Non aspettare, Django, spara ! du même Mulargia, dont on est plusieurs à vous avoir dit tout le bien qu’on en pensait.
Tout ce petit monde se carapate à bord d’une diligence « Walles Fargo » (sic !) et file vers le Mexique. Petite halte chez Don Pedro (Livio Lorenzon), et ça dégénère, passque la danseuse de flamenco locale (Lucrethia Love d’après l’affiche, je déconne pas !) a tapé dans l’œil d’Aldo Berti (qui, dans la vie, était pédé comme un phoque — un rôle de composition, donc). Notre petite bande a tout juste eu le temps de se débarrasser de Dino Strano — qui devra attendre la vague fidanesque pour tenter de se refaire une carrière, on compatit — que l’intrigue se complique encore.
Non seulement y a un shérif honnête et droit qui s’est lancé à leurs trousses, mais voilà-t-y pas qu’ils croisent la route d’un transport de fonds qui passait par là. Pétarade généralisée, et notre bande d’affreux se retrouve avec le trésor, ouais ! Enfin, le trésor, c’est surtout des bâtons de dynamite, genre la réserve cachée de Sean Sean Sean, Sean Sean Sean…
Mais je m’égare, et pas seulement d’Austerlitz.
Le sommet du film, c’est la scène où la diligence des fugitifs — Glenn Saxson est revenu, mais il a dézingué Aldo Berti, dommage — est poursuivie par une armée de Mexicains. Nos héros jouent au poker et, entre deux mises, ils jettent de la dynamite à leurs poursuivants, sous les yeux atterrés de la danseuse de flamenco, qui en pince de plus en plus pour notre Batave de service. Un coup de dés jamais n’abolira le hasard, disait le poète, et un full aux dames par les as non plus.
Tout ça s’achève de la façon la plus classique qui soit, avec bataille rangée à l’aube dans une ville déserte, notre héros et son fidèle companero Mexico face aux ordures réunies, y a même un duel avec musique morriconesque, et le shérif sort comme un lapin de son chapeau pour tirer les marrons du feu.
Rideau.
Moi, Mulargia, je dis : allez-y voir de plus près. Le même souci de suspense, cette attente qui n’en finit pas, le même soin apporté aux décors et à leur texture — ah ! ces murs de pisé photographiés en lumière rasante ! —, le même jeu avec les archétypes.
Oui, d’accord, c’est réservé aux aficionados, mais j’en suis, je le proclame !
Bon, comment voir ce film ? Vous faites comme moi, vous priez saint Sabata — bom, bo-bo-bom, bo-bom, bom ! — et un jour débarquera chez vous un DVD+R pourrave, avec image solarisée grave, qui vous enchantera, passeque les dealers habituels seront plus occupés à baver sur un Tarantino de mes deux qu’à produire des éditions restaurées impec des films qu’on attend tous. On fait avec c’qu’on a, et on est ben content d’avoir c’qu’on a, ma pauvre dame !
Breccio a dit… ah ! mais vous la connaissez déjà.
B
Shango1970 aime ce message
Re: Dieu est avec toi, Gringo - Vaya con Dios, Gringo - 1966 - Edoardo Mulargia



Glenn Saxson

Glenn Saxson / Lucrethia Love
Rex Lee- Sergio Leone
- Messages : 6189
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 67
Localisation : 19
Shango1970 aime ce message
Re: Dieu est avec toi, gringo - Vaya con Dios, Gringo - Edoardo Mulargia - 1966

Lucrethia Love

Spartaco Battisti

stéphane- Michele Lupo
- Messages : 498
Date d'inscription : 14/04/2010
Age : 63
Localisation : Côte d'Ivoire
Re: Dieu est avec toi, Gringo - Vaya con Dios, Gringo - 1966 - Edoardo Mulargia
Merci Stéphane pour les captures , notamment d'un acteur que je ne connaissais pas .
Dernière édition par Rex Lee le Mer 1 Déc - 18:38, édité 2 fois
Rex Lee- Sergio Leone
- Messages : 6189
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 67
Localisation : 19
Re: Dieu est avec toi, gringo - Vaya con Dios, Gringo - Edoardo Mulargia - 1966
De rien Rex. J'espère que c'est bien lui Spartaco Battisti
stéphane- Michele Lupo
- Messages : 498
Date d'inscription : 14/04/2010
Age : 63
Localisation : Côte d'Ivoire
Re: Dieu est avec toi, Gringo - Vaya con Dios, Gringo - 1966 - Edoardo Mulargia
stéphane a écrit:De rien Rex. J'espère que c'est bien lui Spartaco Battisti
Il s'agit en fait de....

Vincenzo Musolino.
Je ne l'ai reconnu qu'en voyant le film .
Un bon western , sur lequel Breccio a tout dit...
_________________

Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
- Messages : 6189
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 67
Localisation : 19
Shango1970 aime ce message
Re: Dieu est avec toi, gringo - Vaya con Dios, Gringo - Edoardo Mulargia - 1966
Merci pour la correction Rex
stéphane- Michele Lupo
- Messages : 498
Date d'inscription : 14/04/2010
Age : 63
Localisation : Côte d'Ivoire
Re: Dieu est avec toi, gringo - Vaya con Dios, Gringo - Edoardo Mulargia - 1966
Nouvelles captures

Glenn SAXSON

Livio LORENZON
Aldo BERTI Glenn SAXSON

Vincenzo MUSOLINO

Glenn SAXSON

Livio LORENZON

Aldo BERTI Glenn SAXSON

Vincenzo MUSOLINO
stéphane- Michele Lupo
- Messages : 498
Date d'inscription : 14/04/2010
Age : 63
Localisation : Côte d'Ivoire
Re: Dieu est avec toi, Gringo - Vaya con Dios, Gringo - 1966 - Edoardo Mulargia
Ce film a été mis sur le Tube il y a 3 heures, en Espagnol, avec une qualité d'image convenable

Il Ritardario- Sergio Sollima
- Messages : 712
Date d'inscription : 30/07/2010
Shango1970 aime ce message
Re: Dieu est avec toi, Gringo - Vaya con Dios, Gringo - 1966 - Edoardo Mulargia
Merci du tuyau, Ritardario!
Richards- Sergio Corbucci
- Messages : 960
Date d'inscription : 18/03/2012
Re: Dieu est avec toi, Gringo - Vaya con Dios, Gringo - 1966 - Edoardo Mulargia
Avec cette foutue pluie, on reste à la maison et hop, un western.
Celui-ci est tout bon, juste à point, comme je les aime.
C'est de l'espagnol, mais on comprend l'essentiel, juste avec les images.
Celui-ci est tout bon, juste à point, comme je les aime.
C'est de l'espagnol, mais on comprend l'essentiel, juste avec les images.
Richards- Sergio Corbucci
- Messages : 960
Date d'inscription : 18/03/2012
Re: Dieu est avec toi, Gringo - Vaya con Dios, Gringo - 1966 - Edoardo Mulargia
Ce que propose Youtube est de bien meilleure qualité que le DVD+R à l'image "pourrave"dont parle Breccio.
Cela permet de voir cet excellent western dans des conditions très acceptables.
Manque plus qu'une VF ou une VOSTF!
Allez, tenez, tradition oblige, la distribution:

6 têtes mises à prix... (Je vais me servir de ces affiches pour le nom des personnages...)

Glenn Saxson (Ringo)

Aldo Berti / Pedro Sanchez (Bill Jackson / Mexico)

Celso Faria (Jack Stewart)

Pasquale Simeoli, alias Mark Steven -à confirmer...- (Bud Smith)

Lucretia Love (Carmen, la danseuse de flamenco.)

Armando Guarnieri (Le shérif)

Vincenzo Musolino (Ramon)

Livio Lorenzon / Giovanni Sabbatini (Don Pedro / Un invité )

Ivan Scratuglia (L'adjoint du shérif.)

Dino Strano (Al Foster)

Tom Felleghy / Alfredo Rizzo (Inspecteur / Secrétaire)

Pedro Sanchez / Nino Musco (Mexico / L'employé du relais)
Cela permet de voir cet excellent western dans des conditions très acceptables.
Manque plus qu'une VF ou une VOSTF!

Allez, tenez, tradition oblige, la distribution:

6 têtes mises à prix... (Je vais me servir de ces affiches pour le nom des personnages...)

Glenn Saxson (Ringo)

Aldo Berti / Pedro Sanchez (Bill Jackson / Mexico)

Celso Faria (Jack Stewart)

Pasquale Simeoli, alias Mark Steven -à confirmer...- (Bud Smith)

Lucretia Love (Carmen, la danseuse de flamenco.)

Armando Guarnieri (Le shérif)

Vincenzo Musolino (Ramon)

Livio Lorenzon / Giovanni Sabbatini (Don Pedro / Un invité )

Ivan Scratuglia (L'adjoint du shérif.)

Dino Strano (Al Foster)

Tom Felleghy / Alfredo Rizzo (Inspecteur / Secrétaire)

Pedro Sanchez / Nino Musco (Mexico / L'employé du relais)
Dernière édition par Rex Lee le Dim 17 Nov - 8:06, édité 1 fois
_________________

Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
- Messages : 6189
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 67
Localisation : 19
Re: Dieu est avec toi, Gringo - Vaya con Dios, Gringo - 1966 - Edoardo Mulargia
Dommage que tu ne mettes jamais les rôles tenus,Rex Lee a écrit:
Allez, tenez, tradition oblige, la distribution:
tout le monde n'est pas physionomiste comme toi

Alors là, je ne l'avais pas vu,Rex Lee a écrit:
Manque plus qu'une VF ou une VOSTF!![]()
mais j'ai tout ce qu'il faut en magasin !
C'est parti !!!


_________________


Edocle- Sergio Leone
- Messages : 3729
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 76
Localisation : 92 Spaghetti Ville
Re: Dieu est avec toi, Gringo - Vaya con Dios, Gringo - 1966 - Edoardo Mulargia
Bon, ben j'ai essayé de rajouter les noms des personnages...mais je ne garantis rien.Edocle a écrit:Dommage que tu ne mettes jamais les rôles tenus,Rex Lee a écrit:
Allez, tenez, tradition oblige, la distribution:
tout le monde n'est pas physionomiste comme toi![]()
Glenn Saxson est-il Gringo ou Ringo? Je n'en sais rien. Sur l'affiche française , c'est Gringo et sur ma capture, c'est Ringo.

Autre problème (mais je ne sais pas ce que dit le Giusti sur ce personnage): on peut lire un peu partout que le personnage de Jack Stewart est interprété par Spartaco Battisti.
(Je ne connais pas cet acteur.)
Mais je crois pouvoir affirmer que ce Stewart est incarné par un acteur fétiche de Mulargia: Celso Faria.
Voir ici:
https://western-maniac.forum-pro.fr/t810-second-role-celso-faria?highlight=faria
Content que ce soit parti, Edocle!
_________________

Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
- Messages : 6189
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 67
Localisation : 19
Re: Dieu est avec toi, Gringo - Vaya con Dios, Gringo - 1966 - Edoardo Mulargia
Dans les dialogues du film c'est bien "le gringo RINGO" appellé la majeur partie du film "GRINGO" et son copain "MEXICO"...Rex Lee a écrit:
Glenn Saxson est-il Gringo ou Ringo? Je n'en sais rien. Sur l'affiche française , c'est Gringo et sur ma capture, c'est Ringo.
Mieux que la qualité d'image du tube, j'ai ça :
le master image est de haute qualité !!!


_________________


Edocle- Sergio Leone
- Messages : 3729
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 76
Localisation : 92 Spaghetti Ville
Re: Dieu est avec toi, Gringo - Vaya con Dios, Gringo - 1966 - Edoardo Mulargia
J'arrive un peu tard...mais voilà dans le Giusti:Rex Lee a écrit: Bon, ben j'ai essayé de rajouter les noms des personnages...mais je ne garantis rien.
Glenn Saxson est-il Gringo ou Ringo? Je n'en sais rien. Sur l'affiche française , c'est Gringo et sur ma capture, c'est Ringo.
Autre problème (mais je ne sais pas ce que dit le Giusti sur ce personnage): on peut lire un peu partout que le personnage de Jack Stewart est interprété par Spartaco Battisti.
(Je ne connais pas cet acteur.)
Mais je crois pouvoir affirmer que ce Stewart est incarné par un acteur fétiche de Mulargia: Celso Faria.
Spartaco Battisti (Jack)
Glenn Saxson (Gringo), mais on précise plus loin (si mon italien est correct) que Ringo est parfois utilisé aussi, selon d'autres versions.
Mais rien sur Celso Faria.

En tout cas, et d'après les commentaires ici...un autre titre à mettre sur ma liste déjà longue.

Re: Dieu est avec toi, Gringo - Vaya con Dios, Gringo - 1966 - Edoardo Mulargia
Merci Hombre.Hombre a écrit:J'arrive un peu tard...mais voilà dans le Giusti:Rex Lee a écrit: Bon, ben j'ai essayé de rajouter les noms des personnages...mais je ne garantis rien.
Glenn Saxson est-il Gringo ou Ringo? Je n'en sais rien. Sur l'affiche française , c'est Gringo et sur ma capture, c'est Ringo.
Autre problème (mais je ne sais pas ce que dit le Giusti sur ce personnage): on peut lire un peu partout que le personnage de Jack Stewart est interprété par Spartaco Battisti.
(Je ne connais pas cet acteur.)
Mais je crois pouvoir affirmer que ce Stewart est incarné par un acteur fétiche de Mulargia: Celso Faria.
Spartaco Battisti (Jack)
Glenn Saxson (Gringo), mais on précise plus loin (si mon italien est correct) que Ringo est parfois utilisé aussi, selon d'autres versions.
Mais rien sur Celso Faria.
En tout cas, et d'après les commentaires ici...un autre titre à mettre sur ma liste déjà longue.
Et pourtant...
Comparez ces deux captures:

Celso Faria dans Django et Sartana.

Dieu est avec toi, Gringo: si ce n'est pas Faria, c'est son sosie. Mais tout de même, Faria est dans de nombreux westerns de Mulargia. Cela dit, un pseudonyme n'est pas à exclure...
(Cela me rappelle l'affaire Garko-Hudson...)
_________________

Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
- Messages : 6189
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 67
Localisation : 19
Re: Dieu est avec toi, Gringo - Vaya con Dios, Gringo - 1966 - Edoardo Mulargia
Oui, mais c'est net et sans bavure !Breccio a écrit:......
Oui, d’accord, c’est réservé aux aficionados, mais j’en suis, je le proclame !
......
Breccio a dit… ah ! mais vous la connaissez déjà.
Enlevé en 80 minutes pas le temps de souffler surtout avec
un master image de cette qualité, pour le reste ça vient !
En tout cas à la 30 ième minute va faire chaud...


_________________


Edocle- Sergio Leone
- Messages : 3729
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 76
Localisation : 92 Spaghetti Ville
Re: Dieu est avec toi, Gringo - Vaya con Dios, Gringo - 1966 - Edoardo Mulargia
... Et en plus le seul western où le conducteur de la diligence s'arrête pour pisser !




_________________


Edocle- Sergio Leone
- Messages : 3729
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 76
Localisation : 92 Spaghetti Ville
Re: Dieu est avec toi, Gringo - Vaya con Dios, Gringo - 1966 - Edoardo Mulargia
Allez zou !

Y'a plus qu'a r'garder !!!


Y'a plus qu'a r'garder !!!

_________________


Edocle- Sergio Leone
- Messages : 3729
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 76
Localisation : 92 Spaghetti Ville
Re: Dieu est avec toi, Gringo - Vaya con Dios, Gringo - 1966 - Edoardo Mulargia
Revu avec une bonne image. Un bon western spaghetti grâce à une histoire qui tient la route. C'est le cas de le dire, tant la diligence utilisée tout au long du film, tient un rôle important et même inhabituel dans un spaghetti, ce qui en fait l'originalité. Côté interprétation, pas de fausses notes.
Par contre les protagonistes ont la gâchette un peu facile et il manque une sérieuse "torgnolade" à ce film dont le héros s'en sort un peu trop facilement.
Par contre les protagonistes ont la gâchette un peu facile et il manque une sérieuse "torgnolade" à ce film dont le héros s'en sort un peu trop facilement.
MARCHAND- Sergio Leone
- Messages : 5457
Date d'inscription : 06/04/2010
Re: Dieu est avec toi, Gringo - Vaya con Dios, Gringo - 1966 - Edoardo Mulargia

La Stampa, Turin, 1er décembre 1966.
_________________

Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
- Messages : 6189
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 67
Localisation : 19
Shango1970 aime ce message
Re: Dieu est avec toi, Gringo - Vaya con Dios, Gringo - 1966 - Edoardo Mulargia
_________________

Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
- Messages : 6189
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 67
Localisation : 19
Re: Dieu est avec toi, Gringo - Vaya con Dios, Gringo - 1966 - Edoardo Mulargia
Creuse ta fosse, j aurai ta peau avec Steffen,le meilleur EG MULLER,son premier western
Shango1970- Messages : 2
Date d'inscription : 01/08/2020
Re: Dieu est avec toi, Gringo - Vaya con Dios, Gringo - 1966 - Edoardo Mulargia
Un western avec pas mal de bonnes idées comme l'emploi de la diligence à tour de bras, l'évasion de la prison au début et aussi la partie de carte pendant une fusillade.
Et les acteurs font bien le job comme on dit notamment Aldo Berti parfait en brute épaisse. Un rôle qui lui va comme un gant.
Bref un bon Mulargia.
Et les acteurs font bien le job comme on dit notamment Aldo Berti parfait en brute épaisse. Un rôle qui lui va comme un gant.
Bref un bon Mulargia.
_________________
Mieux vos être mort et cool que mort et pas cool (Mickey Rourke dans Harley Davidson & l'homme aux santiags)
Trinita- Sergio Leone
- Messages : 6551
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 40
Localisation : Angers
El Shura aime ce message
Page 1 sur 2 • 1, 2

» Django le taciturne ( Non aspettare Django, Spara !) –1967- Edoardo MULARGIA
» Shango, la pistola infallibile - Edoardo Mulargia - 1970
» Gringo Joue sur le Rouge (7 Dollarisul Rosso) - 1966 - Alberto Cardone
» Creuse ta fosse, j'aurai ta peau - Perche' uccidi ancora - 1965 - José Antonio de la Loma & Edoardo Mulargia
» El Puro, La Rançon est à Toi (El Puro se sienta, espera y dispara) -1969 - Edoardo Mulargia
» Shango, la pistola infallibile - Edoardo Mulargia - 1970
» Gringo Joue sur le Rouge (7 Dollarisul Rosso) - 1966 - Alberto Cardone
» Creuse ta fosse, j'aurai ta peau - Perche' uccidi ancora - 1965 - José Antonio de la Loma & Edoardo Mulargia
» El Puro, La Rançon est à Toi (El Puro se sienta, espera y dispara) -1969 - Edoardo Mulargia
Page 1 sur 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum