Barbarella - 1968 - Roger Vadim

[Personne]

Jane Fonda ... Barbarella
John Phillip Law ... Pygar
Anita Pallenberg ... The Great Tyrant
Milo O'Shea ... Concierge / Durand-Durand
Marcel Marceau ... Professor Ping
Claude Dauphin ... President of Earth
Véronique Vendell ... Captain Moon (as Veronique Vendell)
Giancarlo Cobelli
Serge Marquand ... Captain Sun
Nino Musco
Franco Gulà
Catherine Chevallier ... Stomoxys
Marie Therese Chevallier ... Glossina
Umberto Di Grazia
David Hemmings ... Dildano
Ugo Tognazzi ... Mark Hand

Vita Borg ... La magicienne
Chantal Cachin ... La révolutionnaire
Fabienne Fabre ... La femme arbre
Sergio Ferrero ... Messager de la reine noire
Corinne Fontaine
Judith Matah
Susan Moren ... Esclave de la reine
Robert Rietty ... Professor Ping (voice)
Carla Rousso
Jean Saudray
Romolo Valli
Honey Autumn ... Bald Handmaiden at Sogovian Court (uncredited)
Loriana Bartella ... (uncredited)
Marina Bartella ... (uncredited)
Diane Bond ... (uncredited)
Carla Cassola ... (uncredited)
Tania de Paolis ... (uncredited)
Sadre Girodani ... (uncredited)
Gara Granda ... Girl (uncredited)
Joan Greenwood ... The Great Tyrant (voice) (uncredited)
Beatrice Lanscat ... (uncredited)
Katiuska Lanvin ... (uncredited)
Janet McLeod ... Girl in Sogo (uncredited)
Gabriella Morganti ... (uncredited)
María Teresa Orsini ... Suicide Girl (uncredited)
Talitha Pol ... Pipe-Smoking Girl (uncredited)
Fred Robsahm ... Dildano's Assistant (uncredited)
Antonio Sabato ... Jean-Paul (uncredited)
Kitty Swan ... Girl in Sogo (uncredited)
Silvana Venturelli ... (uncredited)
Barbara Winer ... (uncredited)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Barbarella_(film,_1968)

En l'an 40 000, le monde vit maintenant dans une ère peace and love où les armes sont devenues obsolètes et où les gens font l'amour en absorbant des pilules. L'aventurière Barbarella est envoyée en mission par le président de la Terre pour tenter de retrouver le savant Durand Durand, inventeur d'une arme destructrice, le Positron. L'homme a disparu aux environs de la planète Lithion, il y a déjà quelques années.


Par quoi commencer... Kitch, Psychédélique, c'est sûr, aux effets spéciaux d'un autre âge, mais j'ai finalement bien adhéré et y ai trouvé beaucoup de poésie... C'est peuplé de gens bizarres, de poupées tueuses aux dents de requin d'acier, d'homme oiseau, de sorcière SM, de savants fou, de révolutionnaire maladroit, de chasseur d'enfants aussi poilu que sa fourrure... Et puis le charme de Fonda y fait pour beaucoup...

Mais, mais, je pensais que c'était un film ricain, droit de Paramount à l'international, mais en fait, c'est une co-production Franco Italienne(De Laurentis), tourné à Rome et avec plein de figurants qu'on a vu dans des westerns spaghs, alors sur le casting on a Sabato, Gula, Valli... Mais je crois qu'il y en a beaucoup d'autres non crédités!!! A creuser donc!

P.s : Dans le blu-ray disponible en France, aucun bonus sur le Blu-ray, mais une affiche du film en petit format, du genre 25cm*30cm dans le boitier... C'est à signaler!

[Richards]

Jane Fonda.






Anita Pallenberg.







Les mêmes actrices dans des costumes et un décor très kitch.







John-Philip Law.

[MARCHAND]

[Hombre]

Kitch mais très plaisant pour les raisons citées par Personne. 
Dommage que ce film n'eut jamais droit à un Making of digne de ce nom.
Sorti aussi en Zone A avec un joli fourreau en Carton représentant une des affiches la plus connue.
Mais j'aurai bien aimé un "steelbook" comme en Allemagne. 

[cyberpunk]

faudrait que je le revois, je ne l'ai vu qu'en cassette en version recadrée et trouvant personnellement que Roger Vadim n'était qu'un fumiste opportuniste faussement scandaleux (avis perso)

[MARCHAND]

Vu. Pas loin de penser la même chose que cyberpunk. Un film daté et un hommage à Bardot à peine déguisé, des décors de théâtre, la plastique de Jane Fonda... C'est la première BD adapté au cinéma, paraît-il, on sera donc indulgent.
A noter la participation de Robert Hossein et Jean Louis trintignant , dans le doublage et plus étonnant de Jean Richard.

[MARCHAND]

[old timer]

Je l'ai revu et je n'aurais peut-être pas dû, c'est vrai que c'est quand même très daté et limite série Z parfois, non par manque de moyens mais par manque de goût ou d'ambition artistique... Mais il est vrai qu'il y a aussi de vrais moments poétiques de temps en temps qui méritent le visionnage. (le générique du début en apesanteur)

Et puis on était en 68, la SF était encore balbutiante en cinémascope (évidemment à la même époque sort 2001 mais il ne faut pas comparer, derrière il y a un vrai écrivain de SF (Arthur C Clarke) et là il s'agit d'une BD de pur divertissement.

Un truc qui donne un charme certain au film c'est la VF (au début j'avais mis la version anglaise, puis j'ai changé) car on reconnait effectivement des voix (Robert Hossein doublant Tognazzi en particulier) mais surtout, Jane Fonda s'est doublée elle-même, et son délicieux accent américain sert le personnage et nous replonge dans cette époque où elle fut, pendant quelques années, une française d'adoption présente dans plusieurs films français signés par son mari.

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