Qui veut la peau de Roger Rabbit - Who Framed Roger Rabbit - Robert Zemeckis - 1988
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Qui veut la peau de Roger Rabbit - Who Framed Roger Rabbit - Robert Zemeckis - 1988
Avec : Bob Hoskins, Christopher Lloyd, Joanna Cassidy...
Résumé Wikipedia : À Los Angeles, en 1947, les Toons (personnages de dessins animés) côtoient et vivent avec les humains. Les Toons habitent à Toonville, une zone adjacente à Hollywood, et se déplacent régulièrement chez les humains pour tourner des dessins animés. Roger Rabbit, un lapin acteur et héros de dessins animés des Maroon Cartoons, est accusé du meurtre du producteur Marvin Acme, inventeur délirant et directeur de l'ACME. Il se serait vengé d'une « infidélité » de sa femme, Jessica Rabbit. Poursuivi par les Fouines, agents du juge DeMort, il se précipite chez Eddy Valiant qui était le détective officiel des Toons, avant que son frère ne soit assassiné par l'un d'eux.
Avis : Je n'avais pas revu le film depuis des lustres et cette sortie blu ray a été l'occasion de le revoir et c'est une bonne chose. En effet je trouve que le film n'a pas vieilli. Le scénario tiens bien la route, c'est drôle, émouvant, sexy et le méchant joué par Christopher Lloyd est excellent. Bref du tout bon.
A voir et à revoir pour les petits et les grands !!!!
La première apparition de Jessica Rabbit.
Quel bon morceau.(la musique hein ! )
_________________
Mieux vos être mort et cool que mort et pas cool (Mickey Rourke dans Harley Davidson & l'homme aux santiags)
Trinita- Sergio Leone
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Re: Qui veut la peau de Roger Rabbit - Who Framed Roger Rabbit - Robert Zemeckis - 1988
Ce film a vraiment marqué à sa sortie.
Bien sûr, le mélange humains/dessins animés n'était pas nouveau avec les tentatives sur Koko le Clown des frères Fleischer, Alice de Walt Disney ou de l'italien Bozzetto sur Allegro Non Troppo; ou encore plus évident sur les classiques de Disney comme Peter & Le Dragon, Mary Poppins et L'Apprentie Sorcière. Même le japonais Isao Takahata s'est frotté un court instant à cette technique avec Kié, La Petite Peste.
Mais jamais n'avait-on poussé l'intégration des deux univers/cinéma à un tel niveau démontré dans le film de Zemeckis. En ce sens, le Making Of présenté à la télé à l'époque était presqu'aussi passionnant que l'oeuvre filmée.
Le succès a tôt fait de produire des imitations plus ou moins réussies, tels Cool World de Ralph Bakshi ou l'assez amusant L'Amour Avec Des Gants (Volere Volare) de Guido Manuli et de Maurizio Nichetti.
On tenta de réitérer le succès du personnage Roger Rabbit par des courts métrages; mais n'est pas Bugs Bunny qui veut...même si les moyens mis à la disposition des animateurs de Roger étaient énormes. Bref, l'expérience s'arrêta après quelques épisodes du lapin; présentés d'ailleurs en bonus sur le DVD et Blu-ray.
À ce propos, il est dommage que l'oeuvre soit censurée depuis sa sortie en VHS. On ne voit plus sous la robe de la jeune femme que soulève Bébé Hermann... Il y a eu, il me semble, une autre coupe moins "spectaculaire".
L'effet pervers du revisionisme des bonnes moeurs.
Mais comme dit plus haut: À voir...malgré tout.
Bien sûr, le mélange humains/dessins animés n'était pas nouveau avec les tentatives sur Koko le Clown des frères Fleischer, Alice de Walt Disney ou de l'italien Bozzetto sur Allegro Non Troppo; ou encore plus évident sur les classiques de Disney comme Peter & Le Dragon, Mary Poppins et L'Apprentie Sorcière. Même le japonais Isao Takahata s'est frotté un court instant à cette technique avec Kié, La Petite Peste.
Mais jamais n'avait-on poussé l'intégration des deux univers/cinéma à un tel niveau démontré dans le film de Zemeckis. En ce sens, le Making Of présenté à la télé à l'époque était presqu'aussi passionnant que l'oeuvre filmée.
Le succès a tôt fait de produire des imitations plus ou moins réussies, tels Cool World de Ralph Bakshi ou l'assez amusant L'Amour Avec Des Gants (Volere Volare) de Guido Manuli et de Maurizio Nichetti.
On tenta de réitérer le succès du personnage Roger Rabbit par des courts métrages; mais n'est pas Bugs Bunny qui veut...même si les moyens mis à la disposition des animateurs de Roger étaient énormes. Bref, l'expérience s'arrêta après quelques épisodes du lapin; présentés d'ailleurs en bonus sur le DVD et Blu-ray.
À ce propos, il est dommage que l'oeuvre soit censurée depuis sa sortie en VHS. On ne voit plus sous la robe de la jeune femme que soulève Bébé Hermann... Il y a eu, il me semble, une autre coupe moins "spectaculaire".
L'effet pervers du revisionisme des bonnes moeurs.
Mais comme dit plus haut: À voir...malgré tout.
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