Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
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Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
Une histoire ! Une histoire ! D'accord, d'accord, alors voilà : il était une fois le shérif Gédéon (Eli Wallach), qui en a marre de sa femme qui le trouve inutile et quitte le foyer. Alors qu'il transporte 2000 $, il se fait pigeonner par Blanc de Blanc, un italo-suisse (Gemma). Ce dernier, content de son forfait, se cache dans un train transportant un poney escorté par des japonais. Le train est attaqué, et voilà que le poney sacré est enlevé ! Les ravisseurs en demande un million de dollars. Gédéon, qui surgit après l'attaque du train, se voit confier la mission d'amener l'argent aux bandits et de récupérer l'animal. Il sera accompagné de deux hommes. De son côté, Sakura (Milian), un japonais qui devait protégé le poney, cherche à le retrouver lui aussi. Les deux acolytes de Gédéon lui volent l'or et il est sauvé de la mort par Blanc de blanc. Sakura les retrouve, et ensemble, ils cherchent le poney...
En moins de 30 minutes de film, les personnages sont campés : Gemma est un roublard-arnaqueur qui a la tchatche, Sakura un samouraï raté qui parle un anglais plus qu'approximatif et Gédéon est l'homme de la loi pur et dur qui veut mourir en portant l'étoile. Les pièges que se tendent Gemma et Wallach sont amusants, en revanche, Milian est plus qu'agaçant tant il remue, fais des bruits gonflants, sautille, etc...
La musique des frères De Angelis est assez molle, mais la réalisation est à la hauteur de ce western-comique. Quelques scènes valent le déplacement comme lorsque le trio se costume en danseuses, ou lorsque le shérif se fait trainer par Blanc de Blanc dans un mini-chariot. En revanche, on a droit à Sakura qui reconnait le poney grâce à l'odeur de ses pets (!!!!), mais sinon dans l'ensemble, on évite l'humour gras. À noter la présence d'un officier qui dès qu'il élève la voix, pars dans les aigus, ce qui peine à le faire respecter parmi ses hommes
Détail, il y a dans ce film Lorenzo Robledo, mais je ne l'ai pas vu (ou pas reconnu) car je n'ai pas vu de scène de torture
Quelques détails font qu'on ne peut ignorer que Corbucci réalise : l'argent sera caché dans un cercueil, enterré dans un cimetière, ya une prostituée rousse (voir Django ou Compañeros), Gemma trainera le cercueil dans le sable comme Django dans la boue.
Le thème de la course aux dollars est traité un peu à la Aujourd'hui ma peau demain la tienne pour ceux qui l'ont vu, ce qui fait de ce film un petit Corbucci, mais un bon film comique. On ne peut s'empêcher de penser à Soleil rouge avec Toshiro Mifune, Bronson et Delon qui est ici passablement tourné en ridicule.
Quelques captures (un peu trop grande ) du DVD italien
En moins de 30 minutes de film, les personnages sont campés : Gemma est un roublard-arnaqueur qui a la tchatche, Sakura un samouraï raté qui parle un anglais plus qu'approximatif et Gédéon est l'homme de la loi pur et dur qui veut mourir en portant l'étoile. Les pièges que se tendent Gemma et Wallach sont amusants, en revanche, Milian est plus qu'agaçant tant il remue, fais des bruits gonflants, sautille, etc...
La musique des frères De Angelis est assez molle, mais la réalisation est à la hauteur de ce western-comique. Quelques scènes valent le déplacement comme lorsque le trio se costume en danseuses, ou lorsque le shérif se fait trainer par Blanc de Blanc dans un mini-chariot. En revanche, on a droit à Sakura qui reconnait le poney grâce à l'odeur de ses pets (!!!!), mais sinon dans l'ensemble, on évite l'humour gras. À noter la présence d'un officier qui dès qu'il élève la voix, pars dans les aigus, ce qui peine à le faire respecter parmi ses hommes
Détail, il y a dans ce film Lorenzo Robledo, mais je ne l'ai pas vu (ou pas reconnu) car je n'ai pas vu de scène de torture
Quelques détails font qu'on ne peut ignorer que Corbucci réalise : l'argent sera caché dans un cercueil, enterré dans un cimetière, ya une prostituée rousse (voir Django ou Compañeros), Gemma trainera le cercueil dans le sable comme Django dans la boue.
Le thème de la course aux dollars est traité un peu à la Aujourd'hui ma peau demain la tienne pour ceux qui l'ont vu, ce qui fait de ce film un petit Corbucci, mais un bon film comique. On ne peut s'empêcher de penser à Soleil rouge avec Toshiro Mifune, Bronson et Delon qui est ici passablement tourné en ridicule.
Quelques captures (un peu trop grande ) du DVD italien
Sartana- Enzo G. Castellari
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Date d'inscription : 06/04/2010
Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
Vu hier soir, avec un certain plaisir puisque c'est réalisé avec soin, mais sans enthousiasme excessif: pour un western comique ce n'est pas très drôle dans l'ensemble. Par rapport à un Trinita c'est même plutôt funèbre, malgré un scénario à rebondissements, quelques bons dialogues et les pitreries du japonais de service (la parodie de "Soleil rouge" est impitoyable) !
Il y a de bons moments mais le rythme est un peu trop relâché pour que ça soit efficace. On peut par ailleurs à bon droit estimer que Tomas Milian en fait des tonnes et se rend insupportable, à la longue; question de goût - mais on est dans la tradition de la comedia dell'arte, des déguisements, de la bouffonnerie: vu sous cet angle c'est tout à fait plaisant. On peut regretter que la rencontre de ces grandes figures du spagh aie lieu si tard et dans un contexte aussi atypique: au lieu de jouer des cow-boys américains , comme à la grande époque Gemma est Suisse et Milian Japonais (seul Eli Wallach, authentique acteur US campe un américain) Une manière de nous dire que le western italien est désormais impossible, car il appartient déjà à un passé révolu.
On peut regretter que Corbucci succombe à la tentation du western comique au lieu de nous donner un dernier western crépusculaire bien sombre comme "Keoma" ou "Adios California". Mais après "le grand silence" difficile de faire mieux dans le genre ! Cela dit j'ai préféré "Far West Story" qui sous des dehors légers et humoristiques apportait une vraie émotion entre les personnages - c'était l'histoire d'un couple. Alors que là, rien à signaler, les seules femmes du film sont la matrone du shérif et les putes du saloon - quand à la séquence où nos trois héros se travestissent, je n'en voit pas l'utilité, si ce n'est faire sombrer le film dans l'humour facile du style " cage aux folles" ce dont il n'avait pas forcément besoin. Mais la comedia dell'arte, toujours...
Bref c'est un film qui plaira ou déplaira à chacun en fonction de sa sensibilté à ce genre d'humour.
Vu grâce au DVD allemand (5 euros sur amazon.de!) au format, intitulé "Drei halunken Erste klasse" (trois coquins de première classe) Bande-son allemande, anglaise et italienne (aucun sous-titres): je l'ai regardé en anglais, le son n'était pas terrible, un peu de friture sur la ligne, mais intelligible. la bande-son italienne par contre est nickel.
Il y a de bons moments mais le rythme est un peu trop relâché pour que ça soit efficace. On peut par ailleurs à bon droit estimer que Tomas Milian en fait des tonnes et se rend insupportable, à la longue; question de goût - mais on est dans la tradition de la comedia dell'arte, des déguisements, de la bouffonnerie: vu sous cet angle c'est tout à fait plaisant. On peut regretter que la rencontre de ces grandes figures du spagh aie lieu si tard et dans un contexte aussi atypique: au lieu de jouer des cow-boys américains , comme à la grande époque Gemma est Suisse et Milian Japonais (seul Eli Wallach, authentique acteur US campe un américain) Une manière de nous dire que le western italien est désormais impossible, car il appartient déjà à un passé révolu.
On peut regretter que Corbucci succombe à la tentation du western comique au lieu de nous donner un dernier western crépusculaire bien sombre comme "Keoma" ou "Adios California". Mais après "le grand silence" difficile de faire mieux dans le genre ! Cela dit j'ai préféré "Far West Story" qui sous des dehors légers et humoristiques apportait une vraie émotion entre les personnages - c'était l'histoire d'un couple. Alors que là, rien à signaler, les seules femmes du film sont la matrone du shérif et les putes du saloon - quand à la séquence où nos trois héros se travestissent, je n'en voit pas l'utilité, si ce n'est faire sombrer le film dans l'humour facile du style " cage aux folles" ce dont il n'avait pas forcément besoin. Mais la comedia dell'arte, toujours...
Bref c'est un film qui plaira ou déplaira à chacun en fonction de sa sensibilté à ce genre d'humour.
Vu grâce au DVD allemand (5 euros sur amazon.de!) au format, intitulé "Drei halunken Erste klasse" (trois coquins de première classe) Bande-son allemande, anglaise et italienne (aucun sous-titres): je l'ai regardé en anglais, le son n'était pas terrible, un peu de friture sur la ligne, mais intelligible. la bande-son italienne par contre est nickel.
Dernière édition par old timer le Ven 26 Nov - 9:18, édité 1 fois
old timer- Sergio Leone
- Messages : 1889
Date d'inscription : 20/05/2010
Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
Soleil Rouge avait été un immense succès en Italie, comparable à celui de Leone et autres Terence Hill.
Donc le film vise explicitement à la parodie qui espère récuperer l' impact commercial de ce qu'il tourne en dérision, comme le faisaient déjà Ciccio et Ingrassia avec les Leone.
Je ne suis pas expert de la carrière de cet acteur, mais je pense aussi que ce film permet à Milian d'introduire son personnage directement comique, qu'il développe dans les années suivantes, dans les comédies de Bruno Corbucci, ou du type Manolesta.
Donc le film vise explicitement à la parodie qui espère récuperer l' impact commercial de ce qu'il tourne en dérision, comme le faisaient déjà Ciccio et Ingrassia avec les Leone.
Je ne suis pas expert de la carrière de cet acteur, mais je pense aussi que ce film permet à Milian d'introduire son personnage directement comique, qu'il développe dans les années suivantes, dans les comédies de Bruno Corbucci, ou du type Manolesta.
JO- Sergio Leone
- Messages : 4203
Date d'inscription : 10/05/2010
Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
Revu en VF avec grand plaisir, malgré un format recadré (voire déformé) au 1:85 alors que le film est en cinémascope à l'origine;
Ayant cette fois tout compris, je dois dire que l'histoire tiens bien la route ! En dehors des bouffonneries continuelles de nos trois compères, dont la course au trésor n'est qu'un prétexte, Corbucci dénonce la collusion de la banque et de l'armée pour faire exterminer les indiens qui nuisent au développement du chemin de fer.
Un arrière-fond donc sérieux pour ce western comique très agréable, plein d'action mais presque sans aucune violence, comme un album de Lucky Luke - ou comme un "Trinita" bien sûr - voir la bagarre dans le saloon, homérique, significative du genre !
Allons plus loin, malgré ses faiblesses, ce film me parait bien plus abouti dans sa catégorie que le bien plus célèbre "Un génie deux associés une cloche" au budget autrement plus conséquent, mais au scénario bâclé et confus.
Un film injustement méconnu donc, et à découvrir absolument.
Ayant cette fois tout compris, je dois dire que l'histoire tiens bien la route ! En dehors des bouffonneries continuelles de nos trois compères, dont la course au trésor n'est qu'un prétexte, Corbucci dénonce la collusion de la banque et de l'armée pour faire exterminer les indiens qui nuisent au développement du chemin de fer.
Un arrière-fond donc sérieux pour ce western comique très agréable, plein d'action mais presque sans aucune violence, comme un album de Lucky Luke - ou comme un "Trinita" bien sûr - voir la bagarre dans le saloon, homérique, significative du genre !
Allons plus loin, malgré ses faiblesses, ce film me parait bien plus abouti dans sa catégorie que le bien plus célèbre "Un génie deux associés une cloche" au budget autrement plus conséquent, mais au scénario bâclé et confus.
Un film injustement méconnu donc, et à découvrir absolument.
old timer- Sergio Leone
- Messages : 1889
Date d'inscription : 20/05/2010
Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
Mon cher old timer,un Corbucci n'est jamais méconnu.Oublié a la rigueur avec le temps.Ceci dit,ce titre vaut bien une édition dvd.Allez,je me lache:vive Corbucci.
palance- Léon Klimosky
- Messages : 145
Date d'inscription : 15/03/2012
Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
Ben ça dépend de qui on parle. Il y a toujours une poignée de cinéphiles à qui rien n'échappe. et il y a les participants de ce forum, qui connaissent bien sûr, mais ce n'est pas d'eux que je parleun Corbucci n'est jamais méconnu
Dans le grand public, franchement, qui connait vraiment Corbucci ?
Et ceux qui le connaissent qu'ont-ils vu ? "Le grand silence" (qui est celui qui est le plus passé à la télé jusqu'à récemment) ,"Django", dans le meilleur des cas ! Mais pas celui-là!
"Le blanc, le jaune et le noir", combien de diffusions télé ???
Les gens connaissent les Leone et les films avec Terence Hill parce que ce sont les seuls qui passent très régulièrement à la télé, mais le reste du genre... leur est pratiquement inconnu, forcément.
Dernière édition par old timer le Ven 19 Oct - 9:06, édité 1 fois
old timer- Sergio Leone
- Messages : 1889
Date d'inscription : 20/05/2010
Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
old timer a écrit:un Corbucci n'est jamais méconnu
"Le blanc, le jaune et le noir", combien de diffusions télé ???
Le blanc le jaune et le noir a dû passer à la télévision en juillet 1976 (FR3), soit 2 ans après son tournage. Sud-Ouest (le grand quotidien bordelais) en avait fait un petit papier (dommage, plus dans mes archives).
De nos jours, en France et peut-être ailleurs, il est évident que cela n'intéresse plus personne, je pense même que les films à succès avec Terence Hill et ceux de Sergio Leone sont petit à petit oubliés du plus large public (si le nom de Leone demeure un peu, cela ne veut pas dire que tous ses films aient été vus -en entier, voir même par séquence-, pas question de sortir une nouvelle fois l'argument Tarantino qui ne tient plus debout). L'imagerie perdure un peu plus longtemps (par la musique de Morricone aussi), mais sans que son origine soit nécessairement nette dans les esprits, le renouvellement des connaissances par leur transmission entre générations n'étant plus assuré.
Le chute vertigineuse des chiffres de l'édition DVD (et du film patrimoine en particulier) en est un signe révélateur. Les critiques rapides (rédigées par de jeunes journalistes) des magazines TV sur ces films le montrent aussi.
Avoir tenu une petite quarantaine ou cinquantaine d'années dans l'esprit collectif, ce n'est déjà pas si mal ...
JO- Sergio Leone
- Messages : 4203
Date d'inscription : 10/05/2010
Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
Peu de gens de ma génération (c'est-à-dire à peine une vingtaine de printemps ) connaissent le nom de Sergio Leone, mais généralement sa trilogie du dollar et Il était une fois dans l'Ouest a été vu par beaucoup, sans savoir que c'est des films italiens. Ils mélangent un peu les films ("C'est dans lequel qu'il y a la montre musicale?"), et le seul nom qu'ils connaissent est Clint Eastwood, telle est la triste vérité.
En outre, Mon nom est Personne est très apprécié (en même temps, c'est à notre époque le western le plus diffusé à la télé, qui passe 1 fois par an j'ai l'impression).
Toutefois, pour en revenir à notre ami Corbucci, certains de mes amis avaient déjà entendu parlé du film Le mercenaire et même Django. Ca m'a fait plaisir de voir que ces films n'avaient pas sombrés dans l'oubli le plus total!
En outre, Mon nom est Personne est très apprécié (en même temps, c'est à notre époque le western le plus diffusé à la télé, qui passe 1 fois par an j'ai l'impression).
Toutefois, pour en revenir à notre ami Corbucci, certains de mes amis avaient déjà entendu parlé du film Le mercenaire et même Django. Ca m'a fait plaisir de voir que ces films n'avaient pas sombrés dans l'oubli le plus total!
Sancho Perez- Sergio Sollima
- Messages : 630
Date d'inscription : 01/04/2012
Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
Sancho Perez a écrit:Peu de gens de ma génération (c'est-à-dire à peine une vingtaine de printemps ) connaissent le nom de Sergio Leone, mais généralement sa trilogie du dollar et Il était une fois dans l'Ouest a été vu par beaucoup, sans savoir que c'est des films italiens. Ils mélangent un peu les films ("C'est dans lequel qu'il y a la montre musicale?"), et le seul nom qu'ils connaissent est Clint Eastwood, telle est la triste vérité.
En outre, Mon nom est Personne est très apprécié (en même temps, c'est à notre époque le western le plus diffusé à la télé, qui passe 1 fois par an j'ai l'impression).
Toutefois, pour en revenir à notre ami Corbucci, certains de mes amis avaient déjà entendu parlé du film Le mercenaire et même Django. Ca m'a fait plaisir de voir que ces films n'avaient pas sombrés dans l'oubli le plus total!
Ce sont les images qui restent , ou la musique, mais sans savoir effectivement d'où cela sort, et puis on connaît encore Clint Eastwood. Pour Mon nom est Personne, plus vraiment grand monde chez les moins de 30 ans (voire plus) ne connaît ni Henry Fonda, ni même Terence Hill, ou très peu, mais c'est maintenant un Blu Ray...
JO- Sergio Leone
- Messages : 4203
Date d'inscription : 10/05/2010
Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
Et puis Ennio Morricone, c'est celui qui a fait la musique de la pub pour Royal Canin...
Bon, je m'égare un peu du sujet là!
Bon, je m'égare un peu du sujet là!
Sancho Perez- Sergio Sollima
- Messages : 630
Date d'inscription : 01/04/2012
Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
Sartana a écrit:Détail, il y a dans ce film Lorenzo Robledo, mais je ne l'ai pas vu (ou pas reconnu) car je n'ai pas vu de scène de torture
Non, cette fois-ci il a un rôle plus durable dans le film. Il joue le Colonel à la grosse moustache qui va stopper Le Blanc/Gemma traînant un cercueil dans le désert.
Ceci dit voilà un film qui a été fait pour rigoler. Et avec moi cela avait bien marché durant ma folle jeunesse où j'étais plutôt réceptif à ce genre de grosse farce. Milian me fait encore pouffer de rire.
Je l'ai revu avec plaisir et l'ai fait découvrir à mon fiston, qui lui aussi est assez réceptif!
Quelqu'un saurait-il me dire quels sont les acteurs qui jouent les frères Robson avec les chapeaux haut-de-forme et le chapeau melon?
Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
Hombre a écrit:Quelqu'un saurait-il me dire quels sont les acteurs qui jouent les frères Robson avec les chapeaux haut-de-forme et le chapeau melon?
Avec le chapeau melon et la petite moustache, c'est Cris Huerta.
Il y a aussi Tito Garcia:
Restent les non identifiés, que Rex Lee pourra peut-être compléter:
J'ai cru un moment à Fortunato Arena mais ce n'est pas lui d'après cet arrêt sur image.
Sancho Perez- Sergio Sollima
- Messages : 630
Date d'inscription : 01/04/2012
Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
Merci Sancho.
Je ne croyais pas qu'ils étaient plus de trois ces frangins. Je me suis trompé.
Je ne croyais pas qu'ils étaient plus de trois ces frangins. Je me suis trompé.
Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
Hombre a écrit:Merci Sancho.
Je ne croyais pas qu'ils étaient plus de trois ces frangins. Je me suis trompé.
Ben disons qu'on ne sait pas exactement combien sont les frères Robson.
Sancho Perez- Sergio Sollima
- Messages : 630
Date d'inscription : 01/04/2012
Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
Sancho Perez a écrit:
Restent les non identifiés, que Rex Lee pourra peut-être compléter:
Hélas, non. Désolé, je ne vois pas.
En revanche, j'ai ceci:
Jacques Berthier
Manuel de Blas
Romano Puppo (Tout à fait à droite.)
Lorenzo Robledo (officier)
Dan van Husen / Rafael Albaicin
Victor Israel
Mirta Miller
_________________
Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
- Messages : 6429
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 68
Localisation : 19
Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
Rex Lee a écrit:
Lorenzo Robledo (officier)
Dan van Husen / Rafael Albaicin
Victor Israel
Merci ami Rex.
J'avais déjà repéré Robledo en officier, mais avec l'image c'est mieux.
Dans la prison, il me semble aussi y avoir vu Luis Induni en prêtre?
Et comme dirait Peter Falk dans Columbo: "Une dernière petite question:"
Qui interprète le vendeur de la moto, que Gemma va voler sous son nez?
Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
J'ignore qui est le vendeur de moto:
Le prêtre en prison n'est pas Luis Induni:
J'ajoute deux autres acteurs:
María Isbert
José Villasante (Me semble-t-il...)
Le prêtre en prison n'est pas Luis Induni:
J'ajoute deux autres acteurs:
María Isbert
José Villasante (Me semble-t-il...)
_________________
Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
- Messages : 6429
Date d'inscription : 06/04/2010
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Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
Rex Lee a écrit:Le prêtre en prison n'est pas Luis Induni:
Alors s'agirait-il de Rafael Albaicin?
Luis Induni est aussi crédité dans les livres consultés. Je me demande quel rôle il a dans ce film?
Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
Hombre a écrit:
Alors s'agirait-il de Rafael Albaicin?
Luis Induni est aussi crédité dans les livres consultés. Je me demande quel rôle il a dans ce film?
Moi, je n'ai pas vu Induni dans le film...Mais bon, il m'a peut-être echappé.
Le prêtre n'est pas Albaicin. J'ai mis une capture de cet acteur dans mon post de ce matin.
Pour en revenir à Induni, il est possible qu'il ne soit pas dans le film ou bien qu'il soit dans une scène coupée. Va savoir!
_________________
Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Localisation : 19
Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
Rex Lee a écrit:Le prêtre n'est pas Albaicin. J'ai mis une capture de cet acteur dans mon post de ce matin.
Pour en revenir à Induni, il est possible qu'il ne soit pas dans le film ou bien qu'il soit dans une scène coupée. Va savoir!
Ha oui! Mes excuses, j'avais pas fait attention.
Bon, tant pis. Pas évident tous ses acteurs peu connus.
Il y a tout de même une certaine ressemblance.
Rex Lee a écrit:
Chicago 1929 (1969) Capture de JO.
Las garras de Lorelei (1974)
Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
Oups! un boublon que j'efface illico!
Dernière édition par Hombre le Jeu 3 Avr - 22:49, édité 1 fois
Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
Sancho Perez a écrit:
Bon sang! Avec tous ces déguisements. Il nous avait échappé!
C'est lui Luis Induni.
Comme indiqué dans le Giusti, ce fut son dernier western. Il est mort quelques années plus tard.
Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
Hombre a écrit:
Bon sang! Avec tous ces déguisements. Il nous avait échappé!
C'est lui Luis Induni.
Comme indiqué dans le Giusti, ce fut son dernier western. Il est mort quelques années plus tard.
Oh! Bien vu! Il était pour moi méconnaissable!
Sancho Perez- Sergio Sollima
- Messages : 630
Date d'inscription : 01/04/2012
Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
Sancho Perez a écrit:Hombre a écrit:
Bon sang! Avec tous ces déguisements. Il nous avait échappé!
C'est lui Luis Induni.
Comme indiqué dans le Giusti, ce fut son dernier western. Il est mort quelques années plus tard.
Oh! Bien vu! Il était pour moi méconnaissable!
Le problème maintenant, ce sera de repérer les doubles rôles, car il y en aura sûrement.
C'est une question de budget; une perruque et du noir sous les yeux ça coûte moins cher qu'un acteur supplémentaire.
Re: Le blanc, le jaune et le noir - Il bianco, il giallo, il nero - Sergio Corbucci - 1975
Bravo Hombre!
Le bougre m'avait également échappé...
Le bougre m'avait également échappé...
_________________
Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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