Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
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Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
Résumé : Deux hommes (l’un âgé l’autre pas) sont dans un cimetière. Les deux pleurent la mort d’un être cher. L’un veut se venger. L’autre lui raconte son histoire : et le film débute réellement : Cjamango (tiens, ça me dit quelque chose) Mac Douglas apprend que pendant qu’il était allé faire son marché, les frères Smart ont assassiné son futur beau-père. Il décide de le venger, parce qu’on est dans un western et aussi parce que sa fiancée est triste.
Il se fera aider de Barrica (tiens, ça me rappelle aussi un truc), un mexicain .
Si je vous dis que Barrica est gros et qu’il est joué par Pedro Sanchez (enfin Ignazio Spalla), ça doit faire tilt. Non aspettare Django, spara ! bien sûr ! C’est dans ce film qu’apparaît pour la première fois le personnage de « La Barrique », truculent Bud Spencer mexicain . Quant à Cjamango, le nom est repris du film éponyme. Le point commun de ces deux films outre cette histoire de personnage est qu’ils sont tous les deux réalisés par Edoardo Mulargia et produit par Vincenzo Musolino.
Pure spéculation : Ces deux films ayant obtenu des succès valables au box-office italien, le producteur se dit qu’il peut lui-même faire du pognon avec du western. Le tout est de faire apparaître les personnages que le public attend. Donc Vincenzo Musolino a tourné sous le pseudo de Glen Vincent Davis ce Demande pardon à Dieu, pas à moi.
Voici donc un film qui comprend dans le rôle de Cjamango l’artichaut George Ardisson (car il faudrait beaucoup l’éplucher pour s’apercevoir que finalement, même l’intérieur n’est pas comestible), ainsi que Pedro Sanchez bien entendu ou Peter Martell, que finalement, on aurait préféré dans le premier rôle.
Je ne vais pas descendre ce tout petit western. Je tiens simplement à dire que si vous avez pu regarder un film comme Django défie Sartana (sorti chez Evidis), c’est du même tonneau. Pauvreté évidente de moyen (tourné un peu à Almeria que même), de casting, d’histoire mais dès la scène introductive, on comprend que visiblement, on va faire avec ce qu’on a.
Et c’est le cas. Finalement, ça se regarde. Un poil lent tout de même. Fallait pas copier Mulargia pour ça, en tout cas ! Certains plans sont recherchés et offrent un lot d’agréables surprises, malheureusement distillées avec trop de parcimonie. J’ajoute que l’on trouve, comme dirait les anglo-saxons, « a great score of » Felice di Stefano dont la BO m’a vraiment plu. Plus que le film d’ailleurs.
Seul bon point, le héros malgré la vengeance accomplie s’installe et refait sa vie et empêche au type du début de tomber dans la vendetta qui, selon Cjamango qui a veilli, a un goût amer et n’est pas la bonne solution. Poncif, mais rarement vu dans le western italien
Bref, je lui mettrais un 4 ou 4,5/10. Pour la musique et la mise en scène. Pour ceux qui veulent un contenu plus qu’un contenant, passez votre chemin…
Où le voir ? Demandez la VHS italienne (pas au format exact mais presque donc pas mal) mais qui n'a quasi aucune couleur ! Je vous assure, par moment on frise le noir et blanc...
Pas d'affiche ni rien. Si quelqu'un a...
Sinon y a quelques trucs ici http://www.spaghettiwestern.altervista. ... erdono.htm (ils ont vu la même VHS que moi en plus)
PS : Ne pas confondre ce film avec Dieu pardonne à mon pistolet réalisé la même année par Leopoldo Savona, avec Wayde Preston.
Résumé : Deux hommes (l’un âgé l’autre pas) sont dans un cimetière. Les deux pleurent la mort d’un être cher. L’un veut se venger. L’autre lui raconte son histoire : et le film débute réellement : Cjamango (tiens, ça me dit quelque chose) Mac Douglas apprend que pendant qu’il était allé faire son marché, les frères Smart ont assassiné son futur beau-père. Il décide de le venger, parce qu’on est dans un western et aussi parce que sa fiancée est triste.
Il se fera aider de Barrica (tiens, ça me rappelle aussi un truc), un mexicain .
Si je vous dis que Barrica est gros et qu’il est joué par Pedro Sanchez (enfin Ignazio Spalla), ça doit faire tilt. Non aspettare Django, spara ! bien sûr ! C’est dans ce film qu’apparaît pour la première fois le personnage de « La Barrique », truculent Bud Spencer mexicain . Quant à Cjamango, le nom est repris du film éponyme. Le point commun de ces deux films outre cette histoire de personnage est qu’ils sont tous les deux réalisés par Edoardo Mulargia et produit par Vincenzo Musolino.
Pure spéculation : Ces deux films ayant obtenu des succès valables au box-office italien, le producteur se dit qu’il peut lui-même faire du pognon avec du western. Le tout est de faire apparaître les personnages que le public attend. Donc Vincenzo Musolino a tourné sous le pseudo de Glen Vincent Davis ce Demande pardon à Dieu, pas à moi.
Voici donc un film qui comprend dans le rôle de Cjamango l’artichaut George Ardisson (car il faudrait beaucoup l’éplucher pour s’apercevoir que finalement, même l’intérieur n’est pas comestible), ainsi que Pedro Sanchez bien entendu ou Peter Martell, que finalement, on aurait préféré dans le premier rôle.
Je ne vais pas descendre ce tout petit western. Je tiens simplement à dire que si vous avez pu regarder un film comme Django défie Sartana (sorti chez Evidis), c’est du même tonneau. Pauvreté évidente de moyen (tourné un peu à Almeria que même), de casting, d’histoire mais dès la scène introductive, on comprend que visiblement, on va faire avec ce qu’on a.
Et c’est le cas. Finalement, ça se regarde. Un poil lent tout de même. Fallait pas copier Mulargia pour ça, en tout cas ! Certains plans sont recherchés et offrent un lot d’agréables surprises, malheureusement distillées avec trop de parcimonie. J’ajoute que l’on trouve, comme dirait les anglo-saxons, « a great score of » Felice di Stefano dont la BO m’a vraiment plu. Plus que le film d’ailleurs.
Seul bon point, le héros malgré la vengeance accomplie s’installe et refait sa vie et empêche au type du début de tomber dans la vendetta qui, selon Cjamango qui a veilli, a un goût amer et n’est pas la bonne solution. Poncif, mais rarement vu dans le western italien
Bref, je lui mettrais un 4 ou 4,5/10. Pour la musique et la mise en scène. Pour ceux qui veulent un contenu plus qu’un contenant, passez votre chemin…
Où le voir ? Demandez la VHS italienne (pas au format exact mais presque donc pas mal) mais qui n'a quasi aucune couleur ! Je vous assure, par moment on frise le noir et blanc...
Pas d'affiche ni rien. Si quelqu'un a...
Sinon y a quelques trucs ici http://www.spaghettiwestern.altervista. ... erdono.htm (ils ont vu la même VHS que moi en plus)
PS : Ne pas confondre ce film avec Dieu pardonne à mon pistolet réalisé la même année par Leopoldo Savona, avec Wayde Preston.
Sartana- Enzo G. Castellari
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Re: Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
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Jean Louis
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
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stéphane- Michele Lupo
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Il Ritardario- Sergio Sollima
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Re: Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
Sur amazon.de, annoncé pour fin décembre 2010 : sortira ? sortira pas ..?
JO- Sergio Leone
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Re: Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
JO a écrit:Sur amazon.de, annoncé pour fin décembre 2010 : sortira ? sortira pas ..?
Probablement le 31/12/2010.
Le film est certainement à venir. Que ce soit la fin de cette année ou au début de l'année prochaine n'est pas tout à fait sûr.
Koch Media a été initialement pas satisfait de la qualité d'image. Selon un responsable de Koch Media, l'erreur doit être corrigée maintenant. La qualité d'image est maintenant d'atteindre Koch Media standard.
El Puro- Michele Lupo
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Re: Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
Trailer:
Les cinq dernières minutes du film:
Les cinq dernières minutes du film:
El Puro- Michele Lupo
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Re: Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
El Puro a écrit:JO a écrit:Sur amazon.de, annoncé pour fin décembre 2010 : sortira ? sortira pas ..?
Probablement le 31/12/2010.
Le film est certainement à venir. Que ce soit la fin de cette année ou au début de l'année prochaine n'est pas tout à fait sûr.
Koch Media a été initialement pas satisfait de la qualité d'image. Selon un responsable de Koch Media, l'erreur doit être corrigée maintenant. La qualité d'image est maintenant d'atteindre Koch Media standard.
Merci de ces précisions éclairantes !
JO- Sergio Leone
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Re: Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
Captures d'écran du nouveau DVD Koch Media.
Date de sortie n'est pas encore fixée.
(Les captures d'écran sont faites par un employé de Koch Media).
Le gestionnaire de Koch Media ne sont pas satisfaits de la qualité.
Considérant qu'il est toujours pas sûr si le DVD est libéré.
Mais malheureusement, il n'ya pas d'autre master.
Le nouveau DVD de l'Italie (Sony) est d'utiliser le même master.
Dans un forum allemand, nous ont été posées par Koch Media, si le DVD apparaît, même si la qualité n'est pas le meilleur.
Les fans de spaghetti western d'accord: Oui, le DVD sera disponible.
Date de sortie n'est pas encore fixée.
(Les captures d'écran sont faites par un employé de Koch Media).
Le gestionnaire de Koch Media ne sont pas satisfaits de la qualité.
Considérant qu'il est toujours pas sûr si le DVD est libéré.
Mais malheureusement, il n'ya pas d'autre master.
Le nouveau DVD de l'Italie (Sony) est d'utiliser le même master.
Dans un forum allemand, nous ont été posées par Koch Media, si le DVD apparaît, même si la qualité n'est pas le meilleur.
Les fans de spaghetti western d'accord: Oui, le DVD sera disponible.
El Puro- Michele Lupo
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Re: Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
J' ai reçu le DVD italien il y a quelques jours , commentaires à venir .
JO- Sergio Leone
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Re: Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
Moi aussi !
Master identique au Koch-média.... et pour le reste, patience !
Master identique au Koch-média.... et pour le reste, patience !
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Edocle- Sergio Leone
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Re: Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
Il manque le début (la séquence dans le cimetière), inexplicablement absente donc du DVD italien SONY . Le film commence directement par le générique.
Une belle image (couleurs) mais comme voilée plus ou moins discrètement, et donc un manque de définition par rapport aux standards du DVD.
Sous-titré en italien, quelques beaux extérieurs almerienses, dont une séquence tournée à El Paso, avec beaucoup de figurations (300 figurant selon les ouvrages sur Almeria et le cinéma).
Les qualités principale du film résident dans les prises de vues (excellent cadre) et un montage très habile.
Si Koch sort le film, il le faudrait complet...
L'arbre, la halle de bois, le pignon monté sur la banque de faux adobe , tout y est... la photograhie du décor El Paso, N. 340, Tabernas (Almeria), est de mars 1968, date à laquelle est tourné ce film à Almeria.
Une belle image (couleurs) mais comme voilée plus ou moins discrètement, et donc un manque de définition par rapport aux standards du DVD.
Sous-titré en italien, quelques beaux extérieurs almerienses, dont une séquence tournée à El Paso, avec beaucoup de figurations (300 figurant selon les ouvrages sur Almeria et le cinéma).
Les qualités principale du film résident dans les prises de vues (excellent cadre) et un montage très habile.
Si Koch sort le film, il le faudrait complet...
L'arbre, la halle de bois, le pignon monté sur la banque de faux adobe , tout y est... la photograhie du décor El Paso, N. 340, Tabernas (Almeria), est de mars 1968, date à laquelle est tourné ce film à Almeria.
JO- Sergio Leone
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Re: Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
Comme dit plus haut, Koch Media et Sony ont le même et unique master numérique...
La séquence du cimetière ( tout le film est un flashback ) n'est aujourd'hui visible
que sur la vieille VHS italienne, et les restaurateurs ne se sont pas donnés ce mal !
Il faut bien comprendre que nombre de ces westerns spaghetti ont été mal conservés
voir complètement disparu....
J'en veux pour preuve ce fameux " Ramon el messicano " dont la seule trace aujourd'hui
est une vieille betamax d'un chaine de TV et les enregistrements que les collectionneurs
en ont fait ! Mais plus rien du négatif ou d'une éventuelle copie... ( jusqu'à ce jour )
Tiens pour les bricoleurs qui retrouvent des vieilles bandes mylar quelque soit le type
( betamax, VHS ou autres... ) et qui veulent les relire :
- ètuvage que quelques heures à 50°C pour assouplir le mylar ( attention à la température )
- nettoyage sur une platine sans tête, mais dont les cabestans sont recouverts de
feutre doux.
- Faire une série de bobinage rembobinage sans tête de lecture...
- Puis essayer de lire, ça marche souvent...
Pour les films 35 c'est bien souvent un autre débat entre réparation de perf. et
de collures, et nettoyage "chimique"...
Quand il ne manque pas les quelques secondes que le projectionniste a prélevé
pour sa collection.... Très en vogue à l'époque de nos chers westerns....
La séquence du cimetière ( tout le film est un flashback ) n'est aujourd'hui visible
que sur la vieille VHS italienne, et les restaurateurs ne se sont pas donnés ce mal !
Il faut bien comprendre que nombre de ces westerns spaghetti ont été mal conservés
voir complètement disparu....
J'en veux pour preuve ce fameux " Ramon el messicano " dont la seule trace aujourd'hui
est une vieille betamax d'un chaine de TV et les enregistrements que les collectionneurs
en ont fait ! Mais plus rien du négatif ou d'une éventuelle copie... ( jusqu'à ce jour )
Tiens pour les bricoleurs qui retrouvent des vieilles bandes mylar quelque soit le type
( betamax, VHS ou autres... ) et qui veulent les relire :
- ètuvage que quelques heures à 50°C pour assouplir le mylar ( attention à la température )
- nettoyage sur une platine sans tête, mais dont les cabestans sont recouverts de
feutre doux.
- Faire une série de bobinage rembobinage sans tête de lecture...
- Puis essayer de lire, ça marche souvent...
Pour les films 35 c'est bien souvent un autre débat entre réparation de perf. et
de collures, et nettoyage "chimique"...
Quand il ne manque pas les quelques secondes que le projectionniste a prélevé
pour sa collection.... Très en vogue à l'époque de nos chers westerns....
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Edocle- Sergio Leone
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Re: Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
D'ou sort alors le master fait pour cette édition (il est tiré d'une copie vraisemblablement neuve, c'est le transfert qui pêche, pas la copie d'origine ) mentionnant au générique Nueva Edizione (nouveau montage) ?
Espérons que Koch Media incluera, au moins en Bonus, le prologue.
Espérons que Koch Media incluera, au moins en Bonus, le prologue.
JO- Sergio Leone
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Re: Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
Je viens de découvrir ce western. Ayant lu la critique de Sartana, je m'attendais à voir un film très moyen.
Que nenni !
C'est un très bon western, au contraire. Cette histoire de vengeance tient la route, elle est bien mise en scène, la musique est parfaitement dans le ton du film, il n' y a aucun temps mort. Le final est spectaculaire avec son massacre à la mitrailleuse.
Les lieux de tournage...eh bien, c'est Almeria. Donc, c'est parfait.
Et puis d'une scène à l'autre, d'une séquence à l'autre, on retrouve ces acteurs qui nous sont familiers.
Vivement conseillé aux amateurs du genre.
Juste une question : qu'y a-t-il dans la séquence dont le film est amputé?
Quelques captures:
Cristina Iosani
Susanna Martinkova
Tano Cimarosa
Esmeralda Barros
Riccardo Pizzuti
Peter Martell / Dante Maggio
Bonne initiative que d'avoir tourné là!
Et voilà le travail !
Que nenni !
C'est un très bon western, au contraire. Cette histoire de vengeance tient la route, elle est bien mise en scène, la musique est parfaitement dans le ton du film, il n' y a aucun temps mort. Le final est spectaculaire avec son massacre à la mitrailleuse.
Les lieux de tournage...eh bien, c'est Almeria. Donc, c'est parfait.
Et puis d'une scène à l'autre, d'une séquence à l'autre, on retrouve ces acteurs qui nous sont familiers.
Vivement conseillé aux amateurs du genre.
Juste une question : qu'y a-t-il dans la séquence dont le film est amputé?
Quelques captures:
Cristina Iosani
Susanna Martinkova
Tano Cimarosa
Esmeralda Barros
Riccardo Pizzuti
Peter Martell / Dante Maggio
Bonne initiative que d'avoir tourné là!
Et voilà le travail !
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
Comme l'a écrit Sartana :
"Deux hommes (l’un âgé l’autre pas) sont dans un cimetière. Les deux pleurent la mort d’un être cher. L’un veut se venger. L’autre lui raconte son histoire : et le film débute réellement ..."
On peut considérer que le film est un grand flashback, ou que le film est l'histoire de vengeance que raconte l'homme...
C'est selon...
"Deux hommes (l’un âgé l’autre pas) sont dans un cimetière. Les deux pleurent la mort d’un être cher. L’un veut se venger. L’autre lui raconte son histoire : et le film débute réellement ..."
On peut considérer que le film est un grand flashback, ou que le film est l'histoire de vengeance que raconte l'homme...
C'est selon...
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Edocle- Sergio Leone
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Re: Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
Merci Edocle.
Si je comprends bien, l'un des deux hommes du cimetière, le plus âgé, est (ou pourrait être) Cjamango, n'est-ce pas?
Omero Gargano / X / Celso Faria
Tano Cimarosa / Esmeralda Barros / George Ardisson
Si je comprends bien, l'un des deux hommes du cimetière, le plus âgé, est (ou pourrait être) Cjamango, n'est-ce pas?
Omero Gargano / X / Celso Faria
Tano Cimarosa / Esmeralda Barros / George Ardisson
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
C'est cela....
... et pour moi ça n'apporte rien au film, mais si le réalisateur l'a fait... hein...
Le générique précise bien " nuova édizion " nouvelle édition pour justifier un nouveau montage.
L'information italienne qui dit que le matériel retrouvé ne permet pas de réaliser un master
numérique de la version originale semble vrai... mais bon, si tout ça n'était en fait qu'une
affaire de gros sous ???
Tel quel le film est très bon !!!
... et pour moi ça n'apporte rien au film, mais si le réalisateur l'a fait... hein...
Le générique précise bien " nuova édizion " nouvelle édition pour justifier un nouveau montage.
L'information italienne qui dit que le matériel retrouvé ne permet pas de réaliser un master
numérique de la version originale semble vrai... mais bon, si tout ça n'était en fait qu'une
affaire de gros sous ???
Tel quel le film est très bon !!!
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Edocle- Sergio Leone
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Re: Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
Très bon, en effet. D'autant que l'image est parfaite.
Il faut tout de même se dire que ces westerns italiens produits en grande quantité n'étaient conçus que pour une exploitation immédiate et il y a gros à parier que les Musolino, les Mulargia et autres Vari ne se doutaient pas, au moment où il tournaient leurs films , qu'ils seraient visionnés des décénies plus tard par une bande d'inconditionnels. On peut donc se réjouir d'avoir encore la possibilté de les voir, même s'ils ne sont pas en version intégrale. Ils auraient pu tomber aux oubliettes pour ne jamais refaire surface. Cela est peut-être, hélas, le lot de quelques films totalement introuvables. Mais il en a déjà été question ici...
Anthony Ghidra / Luigi Pavese........Cristina Iosani
Comme dans un film de Mulargia, Non aspettare, Django, spara , où le tueur ( V. Musolino) abat son patron ( G. Buzzanca ), Smart( A. Ghidra ) tue Stuart, son employeur ( L. Pavese ) ...
Il faut tout de même se dire que ces westerns italiens produits en grande quantité n'étaient conçus que pour une exploitation immédiate et il y a gros à parier que les Musolino, les Mulargia et autres Vari ne se doutaient pas, au moment où il tournaient leurs films , qu'ils seraient visionnés des décénies plus tard par une bande d'inconditionnels. On peut donc se réjouir d'avoir encore la possibilté de les voir, même s'ils ne sont pas en version intégrale. Ils auraient pu tomber aux oubliettes pour ne jamais refaire surface. Cela est peut-être, hélas, le lot de quelques films totalement introuvables. Mais il en a déjà été question ici...
Anthony Ghidra / Luigi Pavese........Cristina Iosani
Comme dans un film de Mulargia, Non aspettare, Django, spara , où le tueur ( V. Musolino) abat son patron ( G. Buzzanca ), Smart( A. Ghidra ) tue Stuart, son employeur ( L. Pavese ) ...
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Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
JO a écrit:Il manque le début (la séquence dans le cimetière), inexplicablement absente donc du DVD italien SONY . Le film commence directement par le générique.
Si Koch sort le film, il le faudrait complet...
Si Koch Media sort le DVD, le DVD sera complète, dans une version intégrée (Déclaration officielle de Koch Media).
El Puro- Michele Lupo
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Re: Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
Un membre du forum Gente di Rispetto signale que le DVD du film sorti en Italie chez Hobby&Work (kiosque) contient bien la séquence du cimétière, que l'on doit donc pouvoir éditer sans problème majeur (piste audio italienne + image).
http://www.gentedirispetto.com/forum/showthread.php?9775-Chiedi-perdono-a-Dio-non-a-me/page3
http://www.gentedirispetto.com/forum/showthread.php?9775-Chiedi-perdono-a-Dio-non-a-me/page3
JO- Sergio Leone
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Re: Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
Reçu ce jour le dvd italien de Sony. Effectivement l'image est tout juste correcte, ce sont surtout les personnages que je trouve un peu flou. Mais bon, le film a l'air sympa...
Il Ritardario- Sergio Sollima
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Re: Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
Vu. Finalement je me suis habitué à cette image d'une définition un peu floue.
Scénario de vengeance ultra basique et déjà vu plein de fois. Pourtant je suis de l'avis de Rex Lee, j'y ai pris plaisir et la façon de filmer est vraiment très agréable, très fluide, ce qui explique qu'on se laisse transporter par cette ambiance.
Et puis surtout, j'ai vraiment eu le sentiment d'être au coeur du western spaghetti: les trahisons, le retour de bâton que Stuart se prend, la longue séquence ou figure Peter Martel, la mitrailleuse qui arrive comme la cerise sur le gâteau: on sent bien qu'on n'est pas dans un western américain. Le délire all'italiana est présent à chaque coin de rue et j'aime ça !
Oui, je suis d'accord, on peut tout à fait apprécier le film sans la connaissance de cette séquence initiale. Pourtant je pense qu'elle aurait apporté un petit plus et une vision légèrement différente. D'abord elle apporterait la seule touche d'originalité à un film conventionnel, mais en plus elle donnerait le sentiment que le héro n'est finalement pas un vainqueur, mais plutôt quelqu'un qui a cédé aux tentations faciles, qu'il en est conscient et que la sagesse de l'âge lui a fait modifier sa façon entière de concevoir les choses.
Je n'irais pas jusqu'à dire qu'on passerait d'un pur film d'action à un film philosophique, mais bon...c'est un peu l'esprit...
Scénario de vengeance ultra basique et déjà vu plein de fois. Pourtant je suis de l'avis de Rex Lee, j'y ai pris plaisir et la façon de filmer est vraiment très agréable, très fluide, ce qui explique qu'on se laisse transporter par cette ambiance.
Et puis surtout, j'ai vraiment eu le sentiment d'être au coeur du western spaghetti: les trahisons, le retour de bâton que Stuart se prend, la longue séquence ou figure Peter Martel, la mitrailleuse qui arrive comme la cerise sur le gâteau: on sent bien qu'on n'est pas dans un western américain. Le délire all'italiana est présent à chaque coin de rue et j'aime ça !
Edocle a écrit:C'est cela....
... et pour moi ça n'apporte rien au film, mais si le réalisateur l'a fait... hein...
Tel quel le film est très bon !!!
Oui, je suis d'accord, on peut tout à fait apprécier le film sans la connaissance de cette séquence initiale. Pourtant je pense qu'elle aurait apporté un petit plus et une vision légèrement différente. D'abord elle apporterait la seule touche d'originalité à un film conventionnel, mais en plus elle donnerait le sentiment que le héro n'est finalement pas un vainqueur, mais plutôt quelqu'un qui a cédé aux tentations faciles, qu'il en est conscient et que la sagesse de l'âge lui a fait modifier sa façon entière de concevoir les choses.
Je n'irais pas jusqu'à dire qu'on passerait d'un pur film d'action à un film philosophique, mais bon...c'est un peu l'esprit...
Il Ritardario- Sergio Sollima
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Re: Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
Je ne m'en souvenais pas mais dans Parfum de femme, diffusé hier soir, il y a un extrait de ce western que le jeune protagoniste regarde dans un salon d'hôtel. Et lorsqu'on lui demande ce qu'il regarde, il répond: Demande pardon à Dieu, pas à moi.
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Demande pardon à Dieu pas à moi (Chiedi perdono a Dio non a me) de Vincenzo Musolino, 1969.
Un excellent film ce "Demande pardon à Dieu.... "
Et Dieu a pardonné...
Et la VF est sortie de sa cachette...
Et les paroissiens applaudissent...
Amen !
Et Dieu a pardonné...
Et la VF est sortie de sa cachette...
Et les paroissiens applaudissent...
Amen !
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Edocle- Sergio Leone
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