Ni Sabata, ni Trinita, moi c’est Sartana ( La diligencia de los Condenados ) –1970- John WOOD (Juan Bosch) et Ignacio F.IQUINO
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Ni Sabata, ni Trinita, moi c’est Sartana ( La diligencia de los Condenados ) –1970- John WOOD (Juan Bosch) et Ignacio F.IQUINO
Ni Sabata, ni Trinita, moi c’est Sartana ( La diligencia de los Condenados ) –
John WOOD et Ignacio F.IQUINO
Bon, celui-la , tu vois le titre, tu te dis : « je le prends parce que je collectionne, mais bon je ne suis pas pressé de le regarder… ».
3 ans après, au hasard d’un rangement, tu le retrouves et parce qu’i n’y a rien d’autre à faire tu le charges dans le lecteur et bingo, après un début banal, l’affaire prend tournure, elle te captive et tu te régales !
Eh oui, c’est du bon western spaghetti à la sauce espagnole de la meilleure facture. Un film classique, mais bourré de référence. Et j’ose : par moment on est dans l’atmosphère du célèbre film noir « la maison des otages » sans comparer Fernando Sancho à Humphrey Bogart évidemment !!
Donc John Wood ( Juan Bosch ) et Ignacio F.Iquino espagnols de souche s’attaquent à cette coproduction ibériquo - italienne.
En préambule 3 truands attaquent un ranch ou vivent 2 belles filles, les violent et tuent le père pour faire bon poids. Ils sont arrêtés par le shérif local et doivent passer en jugement. Quelqu’un a assisté au massacre du ranch et doit venir témoigner au procès. La diligence qui le transporte est attaquée par le restant de la bande des truands sous les ordres de Ramon ( Fernando Sancho ).
Mais qui est le témoin parmi tous ces passagers ?
Tout ce beau monde finit au relais de la Wells Fargo tenu par Wayne Sonnier ( Richard Harrison ) et sa femme Martha ( Erika Blanc ).
Le huis clos commence…tic tac… qui est le témoin ? tic tac …que vont devenir les femmes ? tic tac…qui est réellement Wayne Sonnier ? tic tac…Que sait le vieux ? tic tac…pendant ce temps en ville les truands sont acquittés faute de témoin et de preuve…tic tac…Comment tout cela va-t-il se terminer ? tic tac…
Un premier flash back en noir et blanc commence à nous mettre sur la piste, ça devient un peu plus clair quand le deuxième flash back en monochrome rouge vient préciser les choses !
Quand je vous dis que c’est du bon, ils s’y sont mis à deux pour le réaliser et à quatre pour le scénario ( L. Martino, J. Kelly, V. Marinucci, F. Iquino ), le résultat est là, bien servi par la photo de F. Trenker et la musique de Enrique Escobar.
Et en plus ça fourmille de seconds rôles et on reconnaît : Bruno Corazzari, Juan Torres, Gustavo Re, Antonio Rojo pour ne citer qu’ eux !
Pour le voir je n’ai pas chercher de DVD étranger, tant la version française de la VHS des années 80 est correcte. Le film est au format, le master d’excellente qualité, tout au plus peut-on reprocher au distributeur français quelques coupes supposées, car le film est un peu plus court que le temps annoncé dans les encyclopédies…
Alors, on balance le titre français et on garde le restant !
Pour ma part, je préfère le titre italien ( atavisme quand tu nous tiens…)
« Prima Ti Perdono… Poi T’ Ammazzo »
Amicalement E.
John WOOD et Ignacio F.IQUINO
Bon, celui-la , tu vois le titre, tu te dis : « je le prends parce que je collectionne, mais bon je ne suis pas pressé de le regarder… ».
3 ans après, au hasard d’un rangement, tu le retrouves et parce qu’i n’y a rien d’autre à faire tu le charges dans le lecteur et bingo, après un début banal, l’affaire prend tournure, elle te captive et tu te régales !
Eh oui, c’est du bon western spaghetti à la sauce espagnole de la meilleure facture. Un film classique, mais bourré de référence. Et j’ose : par moment on est dans l’atmosphère du célèbre film noir « la maison des otages » sans comparer Fernando Sancho à Humphrey Bogart évidemment !!
Donc John Wood ( Juan Bosch ) et Ignacio F.Iquino espagnols de souche s’attaquent à cette coproduction ibériquo - italienne.
En préambule 3 truands attaquent un ranch ou vivent 2 belles filles, les violent et tuent le père pour faire bon poids. Ils sont arrêtés par le shérif local et doivent passer en jugement. Quelqu’un a assisté au massacre du ranch et doit venir témoigner au procès. La diligence qui le transporte est attaquée par le restant de la bande des truands sous les ordres de Ramon ( Fernando Sancho ).
Mais qui est le témoin parmi tous ces passagers ?
Tout ce beau monde finit au relais de la Wells Fargo tenu par Wayne Sonnier ( Richard Harrison ) et sa femme Martha ( Erika Blanc ).
Le huis clos commence…tic tac… qui est le témoin ? tic tac …que vont devenir les femmes ? tic tac…qui est réellement Wayne Sonnier ? tic tac…Que sait le vieux ? tic tac…pendant ce temps en ville les truands sont acquittés faute de témoin et de preuve…tic tac…Comment tout cela va-t-il se terminer ? tic tac…
Un premier flash back en noir et blanc commence à nous mettre sur la piste, ça devient un peu plus clair quand le deuxième flash back en monochrome rouge vient préciser les choses !
Quand je vous dis que c’est du bon, ils s’y sont mis à deux pour le réaliser et à quatre pour le scénario ( L. Martino, J. Kelly, V. Marinucci, F. Iquino ), le résultat est là, bien servi par la photo de F. Trenker et la musique de Enrique Escobar.
Et en plus ça fourmille de seconds rôles et on reconnaît : Bruno Corazzari, Juan Torres, Gustavo Re, Antonio Rojo pour ne citer qu’ eux !
Pour le voir je n’ai pas chercher de DVD étranger, tant la version française de la VHS des années 80 est correcte. Le film est au format, le master d’excellente qualité, tout au plus peut-on reprocher au distributeur français quelques coupes supposées, car le film est un peu plus court que le temps annoncé dans les encyclopédies…
Alors, on balance le titre français et on garde le restant !
Pour ma part, je préfère le titre italien ( atavisme quand tu nous tiens…)
« Prima Ti Perdono… Poi T’ Ammazzo »
Amicalement E.
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Edocle- Sergio Leone
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Re: Ni Sabata, ni Trinita, moi c’est Sartana ( La diligencia de los Condenados ) –1970- John WOOD (Juan Bosch) et Ignacio F.IQUINO
Ce coup-ci, je me suis rappelé qu'Edocle et moi avions jadis critiqué ce film en même temps, donc pas de doublon, j'enchaîne direct :
Ah ! qui chantera la détresse de l’aficionado de spaghetti cherchant à défendre ses films préférés face aux profanes sceptiques ?
Prenez celui-ci. Rien que le titre français, et une chape de découragement s’abat sur mes épaules. Maudits soient les distributeurs franchouillards des années 70 qui se croyaient obligés de greffer des Sabata, des Trinita, des Sartana, des Alléluia et autres Tralala sur des films qu’il fallait à tout prix vendre aux salles de province par essence beaufs. (Du moins le croyaient-ils.) Bienvenue chez les ploucs. Soupir.
Car enfin, si l’on avait traduit littéralement le titre espagnol (La Diligence des condamnés) ou italien (D’abord je pardonne, ensuite je tue), est-ce que ca aurait-y été pas mieux, je vous le demande ?
Juan Bosch, le réalisateur dont on a déjà pu apprécier le travail, est en effet un artisan honnête et consciencieux qui n’a apparemment qu’un seul but dans la vie : rendre au spectateur le plaisir que lui ont apporté les westerns de série B américains. Alors il prend un roman bien ficelé (de Luis Carrigan, un autre auteur espingouin, mais de bouquins, suivez un peu, quoi), il te me l’adapte vite fait bien fait, il recrute les acteurs qui vont bien (Richard Harrison, Fernando Sancho, Erika Blanc, Bruno Corazzari, Antonio Molino Rojo dans un petit rôle) et il trousse un petit film sympa avec un scénar astucieux quoique un peu cliché, et ça y va à la manœuvre !
Bon, de quoi est-il question au juste ?
Mark Stevens (Bruno Corazzari) est une ordure majuscule, qui se fait piéger par le shérif de Tucson et se retrouve sous les verrous. Etape suivante : la corde, vu qu’un témoin oculaire garantit l’issue du procès qui s’annonce. Sauf que le témoin doit arriver par diligence et que Ramon Sartana (Fernando Sancho), un pote à Stevens, est prêt à prendre en otage la diligence, le relais, les chevaux et le foin pour rendre service à son copain. Pas de pot, le responsable du relais, c’est Richard Harrison, un pistoléro rangé des barillets qui a un compte à régler avec le ténébreux Bruno.
A partir de là, le romancier (ou le scénariste), réminisce à tour de bras sur les classiques qui vont bien (genre La Maison des otages), et on a droit aux figures imposées sur l’épouse du pistoléro qui regrette d’avoir émasculé son homme, le fils du pistoléro qui a besoin que son papa soit un héros pour réguler son Œdipe, les passagers de la diligence bigarrés (curé, joueur professionnel, horloger timoré, vierge effarouchée) qui trouvent chacun leur épiphanie, les bandits parmi lesquels on remarque un old-timer revenu de tout qui va réveiller le héros… j’arrête là où les fans de John Ford vont avoir une attaque.
Le pied, si vous aimez ça. Moi, j’aime.
Malheureusement, et sauf erreur de ma part, cette toile n’est visible pour le moment que sous la forme d’un DVD-R circulant parmi les aficionados, DVD-R repiqué sut une source obérée par un remontage intempestif où la chronologie est assez malmenée – le joueur de poker gandin mais honnête affronte verbalement les méchants après s’être fait descendre, le fils du héros réapparaît dans le relais après s’être enfui dans les montagnes, et autres joyeusetés.
Et je vous raconte pas le générique, illustré par des croûtes que même les artistes peignant de la bouche et des pieds hésiteraient à rendre publiques…
Brèfle, y a-t-il une version princeps qui circule, même en espingouin, pour qu’on reluque ce film dans des conditions correctes ? Il en vaut la peine, car Richard Harrison et Fernando Sancho occupent l’écran en permanence ou quasiment, et ils ont l’air de bien s’amuser.
Moi aussi, je me suis bien amusé, mais pas assez et croyez bien que je le regrette.
Breccio a dit : allez-y voir de plus près.
B
Ah ! qui chantera la détresse de l’aficionado de spaghetti cherchant à défendre ses films préférés face aux profanes sceptiques ?
Prenez celui-ci. Rien que le titre français, et une chape de découragement s’abat sur mes épaules. Maudits soient les distributeurs franchouillards des années 70 qui se croyaient obligés de greffer des Sabata, des Trinita, des Sartana, des Alléluia et autres Tralala sur des films qu’il fallait à tout prix vendre aux salles de province par essence beaufs. (Du moins le croyaient-ils.) Bienvenue chez les ploucs. Soupir.
Car enfin, si l’on avait traduit littéralement le titre espagnol (La Diligence des condamnés) ou italien (D’abord je pardonne, ensuite je tue), est-ce que ca aurait-y été pas mieux, je vous le demande ?
Juan Bosch, le réalisateur dont on a déjà pu apprécier le travail, est en effet un artisan honnête et consciencieux qui n’a apparemment qu’un seul but dans la vie : rendre au spectateur le plaisir que lui ont apporté les westerns de série B américains. Alors il prend un roman bien ficelé (de Luis Carrigan, un autre auteur espingouin, mais de bouquins, suivez un peu, quoi), il te me l’adapte vite fait bien fait, il recrute les acteurs qui vont bien (Richard Harrison, Fernando Sancho, Erika Blanc, Bruno Corazzari, Antonio Molino Rojo dans un petit rôle) et il trousse un petit film sympa avec un scénar astucieux quoique un peu cliché, et ça y va à la manœuvre !
Bon, de quoi est-il question au juste ?
Mark Stevens (Bruno Corazzari) est une ordure majuscule, qui se fait piéger par le shérif de Tucson et se retrouve sous les verrous. Etape suivante : la corde, vu qu’un témoin oculaire garantit l’issue du procès qui s’annonce. Sauf que le témoin doit arriver par diligence et que Ramon Sartana (Fernando Sancho), un pote à Stevens, est prêt à prendre en otage la diligence, le relais, les chevaux et le foin pour rendre service à son copain. Pas de pot, le responsable du relais, c’est Richard Harrison, un pistoléro rangé des barillets qui a un compte à régler avec le ténébreux Bruno.
A partir de là, le romancier (ou le scénariste), réminisce à tour de bras sur les classiques qui vont bien (genre La Maison des otages), et on a droit aux figures imposées sur l’épouse du pistoléro qui regrette d’avoir émasculé son homme, le fils du pistoléro qui a besoin que son papa soit un héros pour réguler son Œdipe, les passagers de la diligence bigarrés (curé, joueur professionnel, horloger timoré, vierge effarouchée) qui trouvent chacun leur épiphanie, les bandits parmi lesquels on remarque un old-timer revenu de tout qui va réveiller le héros… j’arrête là où les fans de John Ford vont avoir une attaque.
Le pied, si vous aimez ça. Moi, j’aime.
Malheureusement, et sauf erreur de ma part, cette toile n’est visible pour le moment que sous la forme d’un DVD-R circulant parmi les aficionados, DVD-R repiqué sut une source obérée par un remontage intempestif où la chronologie est assez malmenée – le joueur de poker gandin mais honnête affronte verbalement les méchants après s’être fait descendre, le fils du héros réapparaît dans le relais après s’être enfui dans les montagnes, et autres joyeusetés.
Et je vous raconte pas le générique, illustré par des croûtes que même les artistes peignant de la bouche et des pieds hésiteraient à rendre publiques…
Brèfle, y a-t-il une version princeps qui circule, même en espingouin, pour qu’on reluque ce film dans des conditions correctes ? Il en vaut la peine, car Richard Harrison et Fernando Sancho occupent l’écran en permanence ou quasiment, et ils ont l’air de bien s’amuser.
Moi aussi, je me suis bien amusé, mais pas assez et croyez bien que je le regrette.
Breccio a dit : allez-y voir de plus près.
B
Re: Ni Sabata, ni Trinita, moi c’est Sartana ( La diligencia de los Condenados ) –1970- John WOOD (Juan Bosch) et Ignacio F.IQUINO
Un bon western de série ....que j'ai bien aimé . Moi , c'est le titre espagnol que je considère comme le seul valable : LA DILLIGENCE DES CONDAMNES , ça a de la gueule ,alors que le titre français est franchement débile .
Bonne prestation de Fernando Sancho et de tous les seconds couteaux .Erika Blanc est aussi formidable dans son rôle de mère et d'épouse.
Un film qui mérite mieux que le dédain que le titre français pourrait inspirer !
Bonne prestation de Fernando Sancho et de tous les seconds couteaux .Erika Blanc est aussi formidable dans son rôle de mère et d'épouse.
Un film qui mérite mieux que le dédain que le titre français pourrait inspirer !
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Ni Sabata, ni Trinita, moi c’est Sartana ( La diligencia de los Condenados ) –1970- John WOOD (Juan Bosch) et Ignacio F.IQUINO
Sans parler de dédain, je n'ai pas aimé. Mais pour la même raison je n'ai pas aimé Satana empoigne le colt ou Creuse ta fosse Garringo, Sabata revient ! : les conditions de vision.
Alors je posterai un avis sur ce film lorsque l'on aura (et j'espère qu'on les aura) des DVD d'une qualité digne de ce nom pour découvrir les films sans coupe et sans image qui saute et couleurs délavées.
Éditeurs de tout pays, unissez-vous !
Alors je posterai un avis sur ce film lorsque l'on aura (et j'espère qu'on les aura) des DVD d'une qualité digne de ce nom pour découvrir les films sans coupe et sans image qui saute et couleurs délavées.
Éditeurs de tout pays, unissez-vous !
Sartana- Enzo G. Castellari
- Messages : 239
Date d'inscription : 06/04/2010
Re: Ni Sabata, ni Trinita, moi c’est Sartana ( La diligencia de los Condenados ) –1970- John WOOD (Juan Bosch) et Ignacio F.IQUINO
Quelques illustrations...
la VHS...
la VHS...
Rex Lee- Sergio Leone
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Age : 68
Localisation : 19
Il Ritardario- Sergio Sollima
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Re: Ni Sabata, ni Trinita, moi c’est Sartana ( La diligencia de los Condenados ) –1970- John WOOD (Juan Bosch) et Ignacio F.IQUINO
_________________
Rate Your Music: Notes et critiques d'albums mais également de films, la plupart des westerns européens sont dans la base de données maintenant...
Sheb- Joachim Romero Marchent
- Messages : 95
Date d'inscription : 23/07/2010
Age : 51
Localisation : Nord
TITANUS WILD WEST
Le film est au format 1.66, correct, mais pas anamorphosé, ce qui supprime les effets marqués de profondeur restitués par le 16X9, mais respecte le haut et le bas de l'image.
Le transfert est d'ailleurs très fin, de qualité, en dépit d'une pellicule (très) abîmée par endroits.
Côté technique, c'est assez enlevé, restent quelques recadrages et panoramiques hasardeux, maladroits et quelques faux raccords de luminosité (saloon au début, la bagarre) dont on ne sait trop s'ils sont des défauts de master ou de prise de vue.
Le côté Maison des Otages dont parle Edocle est le plus réussi, huis-clos doté d'assez beaux éclairages, qui, paraît-il (Erika Blanc) ne fonctionnaient que quand la caméra tournait (donc, beaucoup d'improvisation).
On est très loin de ce que font les italiens, ce western catalan (co-production Iquino/Martino, pour la partie italienne) fait beaucoup songer aux séries B américaines (ces toiles peintes d'extérieurs vus par la fenêtre...). A Barcelone, on produisait aussi des comics western en série, je pense par exemple, au Studio BARDON ART de Jorge Macabich -un catalan- et l'esthétique de film et de ces bandes dessinées est très voisine.
Tourné à Esplugas City N°2 , Huesca (les montagnes coniques et vues désertiques) et environs de Barcelone (le relais de diligence; Gaberscek parle pour les film de Iquino des montagnes autour de Sabadell).
Bon, ce n'est pas si mal.
JO- Sergio Leone
- Messages : 4203
Date d'inscription : 10/05/2010
stéphane- Michele Lupo
- Messages : 498
Date d'inscription : 14/04/2010
Age : 65
Localisation : Côte d'Ivoire
Re: Ni Sabata, ni Trinita, moi c’est Sartana ( La diligencia de los Condenados ) –1970- John WOOD (Juan Bosch) et Ignacio F.IQUINO
A droite : Bruno Corazzari
_________________
Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
- Messages : 6431
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 68
Localisation : 19
Re: Ni Sabata, ni Trinita, moi c’est Sartana ( La diligencia de los Condenados ) –1970- John WOOD (Juan Bosch) et Ignacio F.IQUINO
Hier, j'ai reçu le DVD italien (Titanus Wild West)
El Puro- Michele Lupo
- Messages : 418
Date d'inscription : 20/09/2010
Localisation : Allemagne
Re: Ni Sabata, ni Trinita, moi c’est Sartana ( La diligencia de los Condenados ) –1970- John WOOD (Juan Bosch) et Ignacio F.IQUINO
Et puis vint la version complète du DVD Italien : Plus d'un quart d'heure de film
supplémentaire ! C'est quelque chose !
On s'aperçoit que les distributeurs français avaient purement simplement coupé
les scènes les plus bavardes du film pour en faire un film d'action...
Mais voilà ces scènes sont essentielles pour la caractérisations des personnages,
et là bien sûr le film prend une autre dimension !
Alors comme le dit Breccio : allez-y voir de plus près, surtout que dans toutes les
acceptions de cette phrase : "on comprend tout"
supplémentaire ! C'est quelque chose !
On s'aperçoit que les distributeurs français avaient purement simplement coupé
les scènes les plus bavardes du film pour en faire un film d'action...
Mais voilà ces scènes sont essentielles pour la caractérisations des personnages,
et là bien sûr le film prend une autre dimension !
Alors comme le dit Breccio : allez-y voir de plus près, surtout que dans toutes les
acceptions de cette phrase : "on comprend tout"
_________________
Edocle- Sergio Leone
- Messages : 3743
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 78
Localisation : 92 Spaghetti Ville
Ni Sabata, ni Trinita, moi c’est Sartana ( La diligencia de los Condenados ) –1970- John WOOD (Juan Bosch) et Ignacio F.IQUINO
Les emplacements des extérieurs correspondent à Fraga (Huesca) et Matadepera (Barcelona).
Ignacio F.Iquino, onze films produits par sa société de production et ont été tiré et Candasnos et Fraga (Huesca), Esplugues de Llobregat, Castelldefels et du Montseny (Barcelone).
A.
Ignacio F.Iquino, onze films produits par sa société de production et ont été tiré et Candasnos et Fraga (Huesca), Esplugues de Llobregat, Castelldefels et du Montseny (Barcelone).
A.
angel caldito castellano- Sergio Sollima
- Messages : 716
Date d'inscription : 11/07/2011
Re: Ni Sabata, ni Trinita, moi c’est Sartana ( La diligencia de los Condenados ) –1970- John WOOD (Juan Bosch) et Ignacio F.IQUINO
Edocle a écrit:Et puis vint la version complète du DVD Italien : Plus d'un quart d'heure de film
supplémentaire ! C'est quelque chose !
On s'aperçoit que les distributeurs français avaient purement simplement coupé
les scènes les plus bavardes du film pour en faire un film d'action...
Mais voilà ces scènes sont essentielles pour la caractérisations des personnages,
et là bien sûr le film prend une autre dimension !
Alors comme le dit Breccio : allez-y voir de plus près, surtout que dans toutes les
acceptions de cette phrase : "on comprend tout"
C'est on ne peut plus exact...
Où l'on s'aperçoit que les distributeurs faisaient peu de cas des amateurs du genre...Tout juste s'ils ne les prenaient pour des demeurés... ou des cochons auxquels on ne donne pas de la confiture!
Indio Gonzalez
A droite : Angel Lombarte
A droite: Antonio Molino Rojo
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Ni Sabata, ni Trinita, moi c’est Sartana ( La diligencia de los Condenados ) –1970- John WOOD (Juan Bosch) et Ignacio F.IQUINO
Sur le compte FB de WM...
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Personne- Sergio Leone
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Localisation : Lone Pine, CA
Re: Ni Sabata, ni Trinita, moi c’est Sartana ( La diligencia de los Condenados ) –1970- John WOOD (Juan Bosch) et Ignacio F.IQUINO
La Stampa, Turin, 9 octobre 1970.
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Rex Lee- Sergio Leone
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