La Panthere Noire de Harlem - Coffy - Jack Hill - 1973
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La Panthere Noire de Harlem - Coffy - Jack Hill - 1973
Avec : Pam Grier, Booker Bradshaw et plein de seconds couteaux...
Synopsis pompé sur allociné : Infirmière et mère d'une fille droguée, Coffy prend les armes et décide de donner la chasse aux dealers.
Avis : C'est un vigilante woman movie tellement Pam à un rôle de vengeuse prête à tout et même à se servir de son corps pour pouvoir parvenir à ses fins.
Donc, vous l'aurez compris, ce film est visible que grâce à Pam Grier car le scénar est vraiment classique et sans grande originalité.
Les scènes d'actions sont assez sympa et la bagarre entre putes est vraiment sympa.
Bref c'est un film au scénario basique avec pas mal de violence et de plans nichons.
Donc c'est à voir pour passer un excellent moment
Trinita- Sergio Leone
- Messages : 6641
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 41
Localisation : Angers
Re: La Panthere Noire de Harlem - Coffy - Jack Hill - 1973
Pam 70s style :
Trinita- Sergio Leone
- Messages : 6641
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 41
Localisation : Angers
Re: La Panthere Noire de Harlem - Coffy - Jack Hill - 1973
Le pitch :
Une jolie infirmière en dehors du bloc opératoire se transforme en Beauté Fatale pour venger sa sœur anéantie par la drogue.
En brillante Cheffe de file, Pam Grier règne avec naturel et conviction sur cette production appelée à faire les beaux jours d'un genre qui se développera durant les années 70'. Si « Coffy » est l'une des pierres fondatrices de la Blaxploitation, c'est parce qu'il s'inscrit parfaitement dans cette période où le cinéma US cherchait à se renouveler.
Des filles qui exposent sans complexe ni fausse pudeur leurs jolis attributs, de la violence bien dosée, un scénario qui ne s'encombre pas de blabla inutile,... Voici quelques ingrédients de cette franche réussite.
La mise en scène est parfaitement efficace, excepté certaines scènes d'action qui ne sont pas toujours convaincantes. Je songe au flic intègre qui se fait attaquer. Ou encore au flic corrompu lequel avec sa voiture tente d'en finir avec notre personnage clé.
Il y a même une séquence où l'on se croirait presque dans un western ! Voir comment çà se termine pour King George le personnage de Robert DoQui.
Non sans se prendre quelques coups au passage, notre justicière traverse le film avec cette fraîcheur des premières œuvres qui la rend d'autant plus évidente et attachante.
Que de nostalgie à l'écran lorsque l'on y songe !
Même s'il y a eu des hommages parfois heureux (« Jackie Brown » de Tarantino en 1997), ou parfois moins (Le « Shaft » de 2019), cette époque de liberté et de légèreté est clairement révolue.
Une jolie infirmière en dehors du bloc opératoire se transforme en Beauté Fatale pour venger sa sœur anéantie par la drogue.
En brillante Cheffe de file, Pam Grier règne avec naturel et conviction sur cette production appelée à faire les beaux jours d'un genre qui se développera durant les années 70'. Si « Coffy » est l'une des pierres fondatrices de la Blaxploitation, c'est parce qu'il s'inscrit parfaitement dans cette période où le cinéma US cherchait à se renouveler.
Des filles qui exposent sans complexe ni fausse pudeur leurs jolis attributs, de la violence bien dosée, un scénario qui ne s'encombre pas de blabla inutile,... Voici quelques ingrédients de cette franche réussite.
La mise en scène est parfaitement efficace, excepté certaines scènes d'action qui ne sont pas toujours convaincantes. Je songe au flic intègre qui se fait attaquer. Ou encore au flic corrompu lequel avec sa voiture tente d'en finir avec notre personnage clé.
Il y a même une séquence où l'on se croirait presque dans un western ! Voir comment çà se termine pour King George le personnage de Robert DoQui.
Non sans se prendre quelques coups au passage, notre justicière traverse le film avec cette fraîcheur des premières œuvres qui la rend d'autant plus évidente et attachante.
Que de nostalgie à l'écran lorsque l'on y songe !
Même s'il y a eu des hommages parfois heureux (« Jackie Brown » de Tarantino en 1997), ou parfois moins (Le « Shaft » de 2019), cette époque de liberté et de légèreté est clairement révolue.
Blondin67- Enzo G. Castellari
- Messages : 340
Date d'inscription : 07/04/2017
Localisation : Lyon
cyberpunk- Sergio Leone
- Messages : 2979
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Age : 58
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