Black Sunday - 1977 - John Frankenheimer
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Black Sunday - 1977 - John Frankenheimer
Robert Shaw (VF : Marcel Bozzuffi) : le major David Kabakov
Bruce Dern (VF : Marc de Georgi) : le capitaine Michael Lander
Marthe Keller (VF : Elle-même) : Dahlia Lyad
Fritz Weaver (VF : Alain Mottet) : Sam Corley
Steven Keats (VF : Claude Giraud) : Robert Moshevsky
Victor Campos (VF : Serge Sauvion) : Nageeb
Bekim Fehmiu (VF : Sady Rebbot) : Mohammad Fasil
Clyde Kusatsu (VF : Roger Carel) : le capitaine Ogawa
William Daniels (VF : André Falcon) : Alan Pugh
Michael V. Gazzo (VF : Albert Médina) : Muzi
Walter Gotell (VF : Raymond Loyer) : le colonel Riat
John Frankenheimer : le réalisateur de la chaîne couvrant le Super Bowl (caméo)
Au cours d'un raid meurtrier sur le quartier général de l'organisation Septembre noir à Beyrouth, le major israélien Kabakov épargne Dahlia Lyad. La jeune femme vient d'enregistrer un message à destination de l'Amérique dans lequel elle parle d'un attentat meurtrier à venir. Aux États-Unis, Kabakov entre en contact avec Corley, du FBI, pour le prévenir du danger. Pendant ce temps, à Los Angeles, Dahlia retrouve Michael Lander, un pilote traumatisé par la guerre.
Film que j'ai toujours confondu avec Un Tueur dans la Foule(Two-Minutes Warning) de Larry Peerce sorti un an avant ce Black Sunday.
Ici on a le droit a un thriller façon Munich où des agents du Mossad alliés au FBI doivent déjouer un attentat sur le sol américain. C'est assez passionnant et le final spectaculaire fait échos aux blockbusters d'action qui verront le jour dans les années 80-90 et après... Avec des limites techniques d'effets spéciaux bien entendu!
Chaudement recommandé donc.
_________________
Personne- Sergio Leone
- Messages : 7109
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 56
Localisation : Lone Pine, CA
Re: Black Sunday - 1977 - John Frankenheimer
Découvert dernièrement. Mon avis :
Outre l’histoire en elle-même qui est captivante, ce qui impressionne également, c’est la logistique qu’a réclamé la fin avec ces centaines de figurants à devoir gérer, sans compter les prises de vue assez époustouflantes. Le tout sans fond vert ni CGI. C’est pas beau ça !
Attention spolier : quand Shaw poursuit Bekim Fehmiu, je n’ai pas bien compris pourquoi il ne lui a pas tiré dans les jambes ? Vous me direz, cela aurait probablement changé le cours du film.
Outre l’histoire en elle-même qui est captivante, ce qui impressionne également, c’est la logistique qu’a réclamé la fin avec ces centaines de figurants à devoir gérer, sans compter les prises de vue assez époustouflantes. Le tout sans fond vert ni CGI. C’est pas beau ça !
Attention spolier : quand Shaw poursuit Bekim Fehmiu, je n’ai pas bien compris pourquoi il ne lui a pas tiré dans les jambes ? Vous me direz, cela aurait probablement changé le cours du film.
Blondin67- Enzo G. Castellari
- Messages : 346
Date d'inscription : 07/04/2017
Localisation : Lyon
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