Alvarez Kelly. 1966. Edward Dmytryk.

[Rex Lee]

Un oublié du forum!

Synopsis Wikipédia:

Aux abords de Richmond (la capitale des Sudistes), pendant la guerre de Sécession en 1864, les Nordistes accueillent un important troupeau de bétail conduit par un spécialiste réputé, Alvarez Kelly. Les Confédérés aux aguets décident de s'emparer de cet approvisionnement pour leur compte. Leur armée se fait nécessiteuse, cette nourriture en abondance devient un enjeu important mais il leur faut aussi l'homme qui a les qualifications nécessaires pour convoyer le troupeau.

Vu il ya pas mal de temps!
Ce western est réalisé de façon tout à fait classique. Toutefois, Edward Dmytryk traite d'un sujet rarement abordé: l'approvisionnement des troupes au cours de la guerre de Sécession.

[MARCHAND]

Un petit rafraichissement, c'est de saison...

[old timer]

Revu hier après-midi (pour remplacer "le retour de Ringo" au DVD décevant) et j'ai beaucoup plus apprécié que la première fois.

Cette histoire rappelle pas mal l'ambiance du film "les cavaliers" de John Ford (avec Holden déjà en pleine mission durant la Guerre de Sécession) et à dû inspirer les auteurs de la BD "les Tuniques bleues" avec cette histoire de mission derrière les lignes ennemies (Du Nord au Sud!) et de recherche de chevaux (Bronco Benny!).

Bien sûr c'est l'affrontement Holden-Widmark qui fait tout l'intérêt de ce film, mais une fois de plus Hollywood prend clairement  le parti du Sud, plus civilisé (la vie à Richmond, les bals, les femmes...), chevaleresque, en dépit de l'esclavage (il faut voir comme l'officier nordiste joué par Patrick O'Neil est ridiculisé constamment, et comme il est rejeté par les noirs de la plantation à qui il explique qu'il combat pour les libérer!) ça laisse quand même songeur !

Vu grâce au DVD Sony/Columbia simple:



mais le film a été réédité par Sidonis en DVD et Blu-RAy:

[cyberpunk]

Mon dieu que ce film m'a em..... ! trop de temps dans les belles demeures, William Holden qui n'arrête pas de faire le joli coeur, pas d'action, une seule scène spectaculaire, la charge des bestiaux à la fin

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