Guerre secrète- The Dirty Game- 1965-Christian Jaque/ W Klinger/ C Lizzani / T Young
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Guerre secrète- The Dirty Game- 1965-Christian Jaque/ W Klinger/ C Lizzani / T Young
A Berlin, pendant la guerre froide, un officier soviétique force la frontière est-ouest et demande aux américains qui le recueillent en piteux état, à rencontrer le chef des services de contre-espionnage américain. En attendant son arrivée, il est logé dans un hôtel mais des tueurs est-allemands qui l'assiègent finissent par le tuer. Il ne laisse qu'un indice, un message Opéra 3 inscrit sur un miroir...
Une coproduction américano-franco-germano-italienne avec une distribution internationale impressionnante en NB, construite en une suite de sketchs avec Robert Ryan comme fil rouge. L'histoire se passe successivement à Berlin, Djibouti et Rome. Remarqué un étonnant Bourvil dans un rôle d'agent secret un peu décalé et dans un petit rôle de tueur, l'ami, Klaus Kinsky à peine reconnaissable. Pas l'impression qu'il existe un dvd.
Dernière édition par MARCHAND le Ven 10 Oct - 10:36, édité 1 fois
MARCHAND- Sergio Leone
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MARCHAND- Sergio Leone
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MARCHAND- Sergio Leone
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MARCHAND- Sergio Leone
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Re: Guerre secrète- The Dirty Game- 1965-Christian Jaque/ W Klinger/ C Lizzani / T Young
Kinski, je ne l'ai pas vu, ou du moins pas reconnu. Son rôle doit être proche de la figuration.
Malgré Robert Ryan et, dans une mesure moindre, les prisonniers échangés à Berlin qui permettent au film d'avoir une certaine unité, l'impression qui domine est celle d'un film à sketches, chaque agent remplissant sa mission et disparaissant ensuite.
Berlin: un agent soviétique passé à l'Ouest a des révélations importantes à faire...
Djibouti: résident permanent, cet homme a pour mission d'aider l'agent secret français interprété par Bourvil.
Les Français auront du mal à la coincer.
Rome: cet agent italien doit approcher le réseau ennemi.
Pour ce faire, il va utiliser cette espionne soviétique. (Maria Grazia Buccella)
Malgré Robert Ryan et, dans une mesure moindre, les prisonniers échangés à Berlin qui permettent au film d'avoir une certaine unité, l'impression qui domine est celle d'un film à sketches, chaque agent remplissant sa mission et disparaissant ensuite.
Berlin: un agent soviétique passé à l'Ouest a des révélations importantes à faire...
Djibouti: résident permanent, cet homme a pour mission d'aider l'agent secret français interprété par Bourvil.
Les Français auront du mal à la coincer.
Rome: cet agent italien doit approcher le réseau ennemi.
Pour ce faire, il va utiliser cette espionne soviétique. (Maria Grazia Buccella)
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Guerre secrète- The Dirty Game- 1965-Christian Jaque/ W Klinger/ C Lizzani / T Young
ce maillot de bain lui sied à merveille tout à fait moderne en fait...
higgins- Léon Klimosky
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Re: Guerre secrète- The Dirty Game- 1965-Christian Jaque/ W Klinger/ C Lizzani / T Young
La Stampa, Turin, 31 octobre 1965.
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Guerre secrète- The Dirty Game- 1965-Christian Jaque/ W Klinger/ C Lizzani / T Young
Il existe un DVD italien qui offre une version plus longue dites "intégrale"...et où c'est Vittorio Gassman qui est mis de l'avant sur la jaquette. Tout comme sur l'encadré montré précédemment par Rex Lee.
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Le film est une intéressante présentation d'une suite d'apparitions de stars dans des sketchs pas toujours de même force au niveau de l'écriture. Nous commençons le récit avec une atmosphère très guerre froide réaliste pour aller vers un final plus action/espionnage propre à certains romans qu'on lisait étant gamin.
Klaus Kinsky est en effet peu identifiable dans un rôle très court. Je ne l'avais pas reconnu tout de suite.
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Le film est une intéressante présentation d'une suite d'apparitions de stars dans des sketchs pas toujours de même force au niveau de l'écriture. Nous commençons le récit avec une atmosphère très guerre froide réaliste pour aller vers un final plus action/espionnage propre à certains romans qu'on lisait étant gamin.
Klaus Kinsky est en effet peu identifiable dans un rôle très court. Je ne l'avais pas reconnu tout de suite.
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