Gainsbourg (Vie héroïque) - 2010 - Joann Sfar
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Gainsbourg (Vie héroïque) - 2010 - Joann Sfar
La vie de Serge Gainsbourg de son enfance à la naissance du petit "Lulu", son envie première d'être peintre, ses débuts, les scandales (La Marseillaise et les Paras) et ses femmes.
Un biopic original (le réalisateur le présente comme un Conte) où l'on voit le propre double de Gainsbourg présenté comme une gigantesque marionnette, le film débute par un générique en dessin animé; il vaut surtout pour la performance des acteurs comme Eric Elmosnino qui reçut un César et qui est vraiment excellent dans le rôle principal surtout dans la première partie (perso il m'a moins convaincu en Gainsbarre, peut être est ce dû qu'à notre époque, il était un personnage ultra médiaique et qu'on sent le jeu de l'acteur), il y a aussi l'émouvante Lucy Gordon campant une Jane Birkin plus vraie que nature et qui se suicida à la fin du tournage, Anna Mouglalis une excellente Juliette Gréco, Latitia Casta une honnête BB, par contre pourquoi avoir donner le rôle de Boris Vian à ce crétin de Philippe Katerine qui n'a rien en commun avec son modèle ? On remarquera les beaux changements de photographie lors des différentes époques comme les lumières "beinexiennes" des années 80, l'ensemble compose un tableau troublant de la vie du chanteur où l'on trouve l'ambiance de la célèbre maison de la rue de la Verneuil avec ses dérives alcoolisées.
Un biopic original (le réalisateur le présente comme un Conte) où l'on voit le propre double de Gainsbourg présenté comme une gigantesque marionnette, le film débute par un générique en dessin animé; il vaut surtout pour la performance des acteurs comme Eric Elmosnino qui reçut un César et qui est vraiment excellent dans le rôle principal surtout dans la première partie (perso il m'a moins convaincu en Gainsbarre, peut être est ce dû qu'à notre époque, il était un personnage ultra médiaique et qu'on sent le jeu de l'acteur), il y a aussi l'émouvante Lucy Gordon campant une Jane Birkin plus vraie que nature et qui se suicida à la fin du tournage, Anna Mouglalis une excellente Juliette Gréco, Latitia Casta une honnête BB, par contre pourquoi avoir donner le rôle de Boris Vian à ce crétin de Philippe Katerine qui n'a rien en commun avec son modèle ? On remarquera les beaux changements de photographie lors des différentes époques comme les lumières "beinexiennes" des années 80, l'ensemble compose un tableau troublant de la vie du chanteur où l'on trouve l'ambiance de la célèbre maison de la rue de la Verneuil avec ses dérives alcoolisées.
cyberpunk- Sergio Leone
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Date d'inscription : 15/04/2010
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