Un tueur nommé Luke - La notte dei serpenti - Giulio Petroni - 1969
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Un tueur nommé Luke - La notte dei serpenti - Giulio Petroni - 1969
Ça commence la nuit, sous une pluie battante, dans une lumière bleutée. Deux hommes en tabassent un troisième dans une auberge mexicaine. Un coup de trop, et notre homme est mort. Ses deux tortionnaires montent une mise en scène qui ne trompe pas un seul instant le lieutenant Hernandez (Luigi Pistilli) : en un tournemain – et, il faut bien le dire, grâce à ses méthodes expéditives –, il met au jour le complot. Ils sont quatre cousins, quatre complices – le maire, l’aubergiste, le sacristain et la putain du village –, qui ont tué le télégraphiste parce qu’il en savait trop. Un habitant du village, auquel ils sont apparentés, vient d’hériter de dix mille dollars. Notre lieutenant prend l’affaire en main et va trouver son copain Pancaldo (William Bogard, alias Gugliemo Spoletini), un bandido planqué dans les montagnes, et lui demande de lui fournir un tueur pour se débarrasser de l’héritier.
Le choix de Pancaldo se porte sur Luke (Luke Askew), un gringo rongé par la tequila, une véritable épave, qui fournira un coupable idéal – car le lieutenant a aussi besoin d’un pigeon. Mais dès qu’il retrouve son arme, Luke se souvient qu’il était jadis un pistolero bien sapé, même s’il a franchement perdu le niveau. Arrivé au village, il est adopté par le petit Manuel, qui l’emmène dormir dans sa maison, où sa mère (Magda Konopka) est en pleine transe : c’est une sorcière douée de pouvoirs magiques…
Tout ça, c’est la première demi-heure du film ou peu s’en faut. Tentons de faire le tri.
D’abord, côté ambiance, on est davantage dans le film noir que dans le western (même italien, et pourtant tous les ingrédients sont là : les paysages espagnols, les décors foisonnants, les trognes de seconds rôles et les mouvements de caméra lyriques). Une histoire de famille, l’appât du gain, des personnages aux relations tortueuses (pour ce qui est des quatre cousins, je vous raconte pas les scènes entre le sacristain et la putain)… on est franchement chez David Goodis ou James M. Cain.
Et tout ça, c’est du second plan ou quasiment. L’essentiel, c’est l’itinéraire du héros, Luke, un itinéraire classique dans le western : l’homme déchu qui émerge du caniveau pour se racheter – on pense tous à Dean Martin dans Rio Bravo, et le parallèle est flagrant. D’abord, il commence à faire surface en retrouvant son revolver customisé, et, quand il commence à se sentir en forme, il renonce à ses guenilles pour endosser à nouveau son costard impec de pistolero – comme dirait Gian Lhassa, ça, c’est de la vestimentation !
Bien évidemment, si notre héros emprunte les chemins de la rédemption, c’est pour une bonne raison, qui tient à un lien entre sa victime désignée et un épisode de son passé. Je ne vous en dis pas plus pour ne pas gâcher.
Aux manettes de cette œuvre aussi hybride que réjouissante, Giulio Petroni, bien connu pour La mort était au rendez-vous, avec lequel ce film présente pas mal de ressemblances (la première scène nocturne, les flash-back éclairant le passé du héros). Parmi les acteurs cités, Luke Askew, un Américain habitué des seconds rôles, fait bien son boulot, même s’il manque un poil de charisme ; à noter sa gestuelle assez étrange, qui lui permet de passer sans transition de la démarche de poivrot à la danse du pistolero. Luigi Pistilli joue dans son registre habituel, « William Bogard » campe un bandido psychopathe à souhait, Luciano Casamonica, qui joue le petit garçon (vu aussi dans Adios Sabata et dans Trois pour un massacre) est convainquant et les femmes sont splendides (Chelo Alonso dans le registre bête de sexe, Magda Konopka en guérisseuse mystique carburant au peyotl). A noter la présence de Benito Stefanelli dans un petit rôle.
Bilan : un film solide, d’une texture très riche et d’une interprétation sans faille. Un hybride assez réussi entre le western et le film noir.
Comment le voir ? Eh ben, on a vraiment du pot : M6 Vidéo a sorti il y a quelques mois une édition somptueuse, avec image comac et versions italienne et française.
Breccio a dit : allez-y voir de plus près.
PS : Comme quoi il faut toujours s’intéresser aux classiques : la seule bonne idée de cette daube intitulée Trinita, tire et dis… Amen, celle du chapeau de paille à trous permettant une vision périscopique, eh bien elle est piquée à ce film !
Le choix de Pancaldo se porte sur Luke (Luke Askew), un gringo rongé par la tequila, une véritable épave, qui fournira un coupable idéal – car le lieutenant a aussi besoin d’un pigeon. Mais dès qu’il retrouve son arme, Luke se souvient qu’il était jadis un pistolero bien sapé, même s’il a franchement perdu le niveau. Arrivé au village, il est adopté par le petit Manuel, qui l’emmène dormir dans sa maison, où sa mère (Magda Konopka) est en pleine transe : c’est une sorcière douée de pouvoirs magiques…
Tout ça, c’est la première demi-heure du film ou peu s’en faut. Tentons de faire le tri.
D’abord, côté ambiance, on est davantage dans le film noir que dans le western (même italien, et pourtant tous les ingrédients sont là : les paysages espagnols, les décors foisonnants, les trognes de seconds rôles et les mouvements de caméra lyriques). Une histoire de famille, l’appât du gain, des personnages aux relations tortueuses (pour ce qui est des quatre cousins, je vous raconte pas les scènes entre le sacristain et la putain)… on est franchement chez David Goodis ou James M. Cain.
Et tout ça, c’est du second plan ou quasiment. L’essentiel, c’est l’itinéraire du héros, Luke, un itinéraire classique dans le western : l’homme déchu qui émerge du caniveau pour se racheter – on pense tous à Dean Martin dans Rio Bravo, et le parallèle est flagrant. D’abord, il commence à faire surface en retrouvant son revolver customisé, et, quand il commence à se sentir en forme, il renonce à ses guenilles pour endosser à nouveau son costard impec de pistolero – comme dirait Gian Lhassa, ça, c’est de la vestimentation !
Bien évidemment, si notre héros emprunte les chemins de la rédemption, c’est pour une bonne raison, qui tient à un lien entre sa victime désignée et un épisode de son passé. Je ne vous en dis pas plus pour ne pas gâcher.
Aux manettes de cette œuvre aussi hybride que réjouissante, Giulio Petroni, bien connu pour La mort était au rendez-vous, avec lequel ce film présente pas mal de ressemblances (la première scène nocturne, les flash-back éclairant le passé du héros). Parmi les acteurs cités, Luke Askew, un Américain habitué des seconds rôles, fait bien son boulot, même s’il manque un poil de charisme ; à noter sa gestuelle assez étrange, qui lui permet de passer sans transition de la démarche de poivrot à la danse du pistolero. Luigi Pistilli joue dans son registre habituel, « William Bogard » campe un bandido psychopathe à souhait, Luciano Casamonica, qui joue le petit garçon (vu aussi dans Adios Sabata et dans Trois pour un massacre) est convainquant et les femmes sont splendides (Chelo Alonso dans le registre bête de sexe, Magda Konopka en guérisseuse mystique carburant au peyotl). A noter la présence de Benito Stefanelli dans un petit rôle.
Bilan : un film solide, d’une texture très riche et d’une interprétation sans faille. Un hybride assez réussi entre le western et le film noir.
Comment le voir ? Eh ben, on a vraiment du pot : M6 Vidéo a sorti il y a quelques mois une édition somptueuse, avec image comac et versions italienne et française.
Breccio a dit : allez-y voir de plus près.
PS : Comme quoi il faut toujours s’intéresser aux classiques : la seule bonne idée de cette daube intitulée Trinita, tire et dis… Amen, celle du chapeau de paille à trous permettant une vision périscopique, eh bien elle est piquée à ce film !
Re: Un tueur nommé Luke - La notte dei serpenti - Giulio Petroni - 1969
Vu et comme vous les amis, un sympatique western européen réalisé par Petroni qui a un style particulier bien identifié par Breccio. Attention, je n'ai pas dit que c'était un génie, mais un bon artisan, ce qui est déjà pas si mal.
Luke Askew à un rôle presque muet dans ce film, je ne le connaissais pas en ce qui me concerne, mais j'adore ce genre de rôle de poivrot qui surmonte son handicap pour rendre justice.
Bien aimé, le quasimodo et sa drôle d'esmeralda, il va falloir creuser, mais il y a peut-être du Hugo dans l'inspiration de ce film!
Merci à M6 SNC de nous sortir cette petite perle dans une copie quasi parfaite!
Luke Askew à un rôle presque muet dans ce film, je ne le connaissais pas en ce qui me concerne, mais j'adore ce genre de rôle de poivrot qui surmonte son handicap pour rendre justice.
Bien aimé, le quasimodo et sa drôle d'esmeralda, il va falloir creuser, mais il y a peut-être du Hugo dans l'inspiration de ce film!
Merci à M6 SNC de nous sortir cette petite perle dans une copie quasi parfaite!
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Personne- Sergio Leone
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Re: Un tueur nommé Luke - La notte dei serpenti - Giulio Petroni - 1969
C'est un des sapgh' que j'ai vu le plus en dehors des Leone et que j'apprécie beaucoup surtout pour ce côté gothique et les perfs de Pistilli et Alonso qui sont impec et aussi pour ce scénario très giallesque.
Bref un must pour ma part.
Bref un must pour ma part.
Trinita- Sergio Leone
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Re: Un tueur nommé Luke - La notte dei serpenti - Giulio Petroni - 1969
A noter que Benito Stefanelli joue le rôle du mexicain Pancho ( ou Sancho , je ne sais plus ) ; il porte des moustaches et un perruque noire à longs cheveux , mais on peut le reconnaître à son regard . Homme de confiance de William Bogart , il est vêtu de rouge ...
Ce western est fort bien mis en scène , et ,comme toujours chez Petroni , le scénario ne manque pas d'originalité.
Bref , un film qui sort du lot , un western européen de série A , si l'on peut dire...
Ce western est fort bien mis en scène , et ,comme toujours chez Petroni , le scénario ne manque pas d'originalité.
Bref , un film qui sort du lot , un western européen de série A , si l'on peut dire...
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Un tueur nommé Luke - La notte dei serpenti - Giulio Petroni - 1969
Pas trouvé l'affiche française...
Luke Askew / Magda Konopka
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Franco Balducci
Monica Miguel
Magda Konopka
Dernière édition par Rex Lee le Mer 8 Jan - 7:28, édité 2 fois
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Un tueur nommé Luke - La notte dei serpenti - Giulio Petroni - 1969
j'ai adoré ce film a noter le superbe thème musical quand luke reveille le pistollero qui est en lui
cyberpunk- Sergio Leone
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Re: Un tueur nommé Luke - La notte dei serpenti - Giulio Petroni - 1969
J'ai apprécié ce film et je ne me suis pas ennuyé. Et vivement que la cadence de sorties des dvd M6 SNC augmente car il reste beaucoup à faire encore.
stéphane- Michele Lupo
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El Puro- Michele Lupo
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Re: Un tueur nommé Luke - La notte dei serpenti - Giulio Petroni - 1969
http://www.dvd-video-jaquettes.com/liens%20images/recherche%20dvd%20lettre%20U/jaquette%20-%20un%20tueur%20nomme%20luke.html
El Puro- Michele Lupo
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Re: Un tueur nommé Luke - La notte dei serpenti - Giulio Petroni - 1969
Merci El PURO d'avoir posté cette jaquette. Elle remplace avantageusement celle, hideuse, du DVD SNC M6!
Comme il se trouve que je viens de revoir cet excellent western, avant de le ranger, j'ai fait la substitution...
Pour en revenir au film, je le considère comme une oeuvre majeure du western européen que tout amateur se doit de posséder.
Comme il se trouve que je viens de revoir cet excellent western, avant de le ranger, j'ai fait la substitution...
Pour en revenir au film, je le considère comme une oeuvre majeure du western européen que tout amateur se doit de posséder.
Richards- Sergio Corbucci
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Re: Un tueur nommé Luke - La notte dei serpenti - Giulio Petroni - 1969
D'ailleurs, d'où sort cette jaquette?
Sancho Perez- Sergio Sollima
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Re: Un tueur nommé Luke - La notte dei serpenti - Giulio Petroni - 1969
Sancho Perez a écrit:D'ailleurs, d'où sort cette jaquette?
Serait-ce l'oeuvre de Chuncho ? Cf le fil sur Professionnels pour un massacre.
B.
Re: Un tueur nommé Luke - La notte dei serpenti - Giulio Petroni - 1969
Breccio a écrit:Sancho Perez a écrit:D'ailleurs, d'où sort cette jaquette?
Serait-ce l'oeuvre de Chuncho ? Cf le fil sur Professionnels pour un massacre.
B.
Hé hé ^^ C'est l’œuvre de Horace Pinker qui avait fait çà quand le Dvd SNC était sorti...
Bon Elle me semblait pas mal à l'époque mais je me rends compte que c'était vachement basique, m'enfin si çà peut dépanner, tant mieux
Horace Pinker- Michele Lupo
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Age : 47
Localisation : Seine et marne
Re: Un tueur nommé Luke - La notte dei serpenti - Giulio Petroni - 1969
Ah ba écoute elle est très belle cette jaquette! Je croyais que ça venait d'une édition d'un autre pays francophone!
Elle a bien plus de gueule que celle de SNC et ne m'a pas l'air basique! Beau boulot!
Elle a bien plus de gueule que celle de SNC et ne m'a pas l'air basique! Beau boulot!
Sancho Perez- Sergio Sollima
- Messages : 630
Date d'inscription : 01/04/2012
Re: Un tueur nommé Luke - La notte dei serpenti - Giulio Petroni - 1969
Je viens de percuter que c'était toi en voyant celle que tu as faite pour La Colline des bottes.Horace Pinker a écrit:Hé hé ^^ C'est l’œuvre de Horace Pinker qui avait fait çà quand le Dvd SNC était sorti...
Bon Elle me semblait pas mal à l'époque mais je me rends compte que c'était vachement basique, m'enfin si çà peut dépanner, tant mieux
Elle est très bien, ta jaquette. Mise en page claire et lisible, choix des couleurs réfléchi -- elle n'est pas basique, elle est classique.
B.
Re: Un tueur nommé Luke - La notte dei serpenti - Giulio Petroni - 1969
Breccio a écrit: Serait-ce l'oeuvre de Chuncho ? Cf le fil sur Professionnels pour un massacre.
B.
C'est très flatteur de comparer cette jaquette à mon "bricolage" Mais non ce n'est pas moi je n'ai pas assez de talent pour créer un aussi beau montage (ou pas de logiciel assez performant )
Mais bon je possède "un tueur nommé luke " en dvd et je peut quand même avouer que ce film m'a très agréablement surpris
chuncho- Léon Klimosky
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Date d'inscription : 06/06/2013
Re: Un tueur nommé Luke - La notte dei serpenti - Giulio Petroni - 1969
Enfin trouvé l'affiche originale française!
Pour mémoire, le visuel du DVD français:
Et là, on se dit qu'Artus propose de bien belles jaquettes...
Pour mémoire, le visuel du DVD français:
Et là, on se dit qu'Artus propose de bien belles jaquettes...
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
- Messages : 6431
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 68
Localisation : 19
Re: Un tueur nommé Luke - La notte dei serpenti - Giulio Petroni - 1969
Rex Lee a écrit:
Et là, on se dit qu'Artus propose de bien belles jaquettes...[/i]
Atroces ces jaquettes made by Fluide Glacial et pourtant je suis fan d'Edika, mais là...
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La bible ne fait pas le moine.
El Shura- Enzo G. Castellari
- Messages : 271
Date d'inscription : 02/02/2012
Age : 45
Re: Un tueur nommé Luke - La notte dei serpenti - Giulio Petroni - 1969
En farfouillant sur le net, j'ai trouvé cette photo de Giulio Petroni avec Magda Konopka pendant le tournage.
Sancho Perez- Sergio Sollima
- Messages : 630
Date d'inscription : 01/04/2012
Re: Un tueur nommé Luke - La notte dei serpenti - Giulio Petroni - 1969
Revu hier et il y a beaucoup de figurants qui ne sont crédités nulle part et qui m'avaient échappé lors de mon premier visionnage.
Curieusement, aucun acteur Espagnol pour un film tourné en Espagne (Monica Miguel est née au Mexique d'après mes recherches).
(le format du forum a un peu réduit les captures donc ça peut paraître hypothétique pour certaines, mais on s'en rend mieux compte lors du visionnage du film )
Thomas Rudy en soldat mexicain (d'ailleurs, quelle est sa nationalité ?)
Sandro Scarchilli
Riccardo Pizzuti
Luigi Ciavarro
Paolo Figlia
Domenico Cianfriglia
Tout à gauche, on dirait bien "mon" acteur non identifié qu'on voit souvent dans les films de Carnimeo. Le gars derrière au centre, j'ai l'impression d'avoir déjà vu sa tronche mais je ne saurais dire où. Et tout à droite, je dirais que c'est un ersatz de Tuco
Curieusement, aucun acteur Espagnol pour un film tourné en Espagne (Monica Miguel est née au Mexique d'après mes recherches).
(le format du forum a un peu réduit les captures donc ça peut paraître hypothétique pour certaines, mais on s'en rend mieux compte lors du visionnage du film )
Thomas Rudy en soldat mexicain (d'ailleurs, quelle est sa nationalité ?)
Sandro Scarchilli
Riccardo Pizzuti
Luigi Ciavarro
Paolo Figlia
Domenico Cianfriglia
Tout à gauche, on dirait bien "mon" acteur non identifié qu'on voit souvent dans les films de Carnimeo. Le gars derrière au centre, j'ai l'impression d'avoir déjà vu sa tronche mais je ne saurais dire où. Et tout à droite, je dirais que c'est un ersatz de Tuco
Sancho Perez- Sergio Sollima
- Messages : 630
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Re: Un tueur nommé Luke - La notte dei serpenti - Giulio Petroni - 1969
Sancho Perez a écrit:Revu hier et il y a beaucoup de figurants qui ne sont crédités nulle part et qui m'avaient échappé lors de mon premier visionnage.
Curieusement, aucun acteur Espagnol pour un film tourné en Espagne (Monica Miguel est née au Mexique d'après mes recherches).
Tiens, c'est vrai! Bien vu, amigo!
Ta remarque peut également s'appliquer à La Mort était au rendez-vous: aucun acteur espagnol pour un film tourné en Espagne. (José Torres est vénezuelien et a surtout tourné sous la direction de réalisateurs italien.)
_________________
Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Un tueur nommé Luke - La notte dei serpenti - Giulio Petroni - 1969
Rex Lee a écrit:Sancho Perez a écrit:Revu hier et il y a beaucoup de figurants qui ne sont crédités nulle part et qui m'avaient échappé lors de mon premier visionnage.
Curieusement, aucun acteur Espagnol pour un film tourné en Espagne (Monica Miguel est née au Mexique d'après mes recherches).
Tiens, c'est vrai! Bien vu, amigo!
Ta remarque peut également s'appliquer à La Mort était au rendez-vous: aucun acteur espagnol pour un film tourné en Espagne. (José Torres est vénezuelien et a surtout tourné sous la direction de réalisateurs italien.)
Exact, en effet ! A l'exception peut-être de notre ami Francisco Gabarre ?
Sancho Perez- Sergio Sollima
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Re: Un tueur nommé Luke - La notte dei serpenti - Giulio Petroni - 1969
Sancho Perez a écrit:A l'exception peut-être de notre ami Francisco Gabarre ?
C'est vrai! Je l'avais oublié, celui-là!
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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