Atout Coeur à tokyo pour OSS 117 - 1966 - Michel Boisrond

[Personne]

Frederick Stafford ... Hubert Bonisseur de La Bath, alias OSS 117
Marina Vlady ... Eva Wilson
Jitsuko Yoshimura ... Tetsuko
Jacques Legras ... M. Chan
Valéry Inkijinoff ... Yekota
Henri Serre ... John Wilson
Mario Pisu ... Vargas
Colin Drake ... Babcock
Billy Kearns ... M. Smith
Hiroshi Kato
Hiroshi Nihon'yanagi (as Kan Nihonyanagi)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Atout_c%C5%93ur_%C3%A0_Tokyo_pour_OSS_117
L'agent OSS 117, alias Hubert Bonisseur de la Bath, enquête sur l'explosion d'une base américaine du pacifique. À Tokyo, il y rencontre Eva Davidson, et ne tarde pas à découvrir ses liens étroits avec l'attentat.

Vite fait en passant, on est dans une aventure qui a peut-être un peu plus d'ambition, le scénario vient de Terence Young, le réalisateur de Dr No. Hunebelle produit toujours, mais il donne la réalisation à Michel Boisrond, un réalisateur qui a fait ses classes auprès de René Clair ou Jean Delannoy. Perso, je n'ai rien ressenti de plus ou de moins que du Hunebelle. On voyage au Japon, Tokyo, le Mont Fuji, il y a une bagarre avec un sumo de plus de 2 mètres, un passage dans un bar strip-tease, un tanker géant qui sert de base secrète, quelques poursuites, le charme de Marina Vlady, Madame Godard à l'époque, qui est même venu assister au tournage de ce film...

Sympa là encore!

[cyberpunk]

dans les bonus on apprend qu'aucun sumotori n'a voulu participer au film pour une question d'honneur: pas question qu'un sumotori ne se fasse battre par un occidental; du coup les producteurs ont pris un colosse un peu attardé qui pendant le tournage s'adonnait à l'exibitionnisme ,on voit aussi toujours le même cerisier en fleur, qu'on baladait sur les différents lieues de tournage, on voit aussi en japonais, l'homme de "La caméra invisible" Jacques Legras

[Richards]

Un film au charme désuet.

Très plaisant.

Moi, j'adore.


Les captures du dvd:



Marina Vlady et Frédérick Stafford y sont impeccables.





OSS 117 contre le géant.







Cette jeune femme est un sergent.







Faut vraiment stopper ce missile!

[MARCHAND]

Revu. Pas trop vieilli celui-là, un bon dosage humour-action dans une histoire jamesbondesque où l'ancien sportif de haut-niveau Frédérick Strafford est tout à fait convaincant et où n'abuse pas des course-poursuites en voiture, l'équivalent des longues chevauchées qui meublent certains westerns de toutes origines. Pas trop de gadgets vite dépassés dans le monde d'aujoud'hui, non plus. Peut-être un des meilleurs du genre.

[Rex Lee]

La Stampa, Turin, 9 mars 1967.

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