El Rojo - Leopoldo Savona - 1967
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El Rojo - Leopoldo Savona - 1967
Glory, glory, hallelujah ! Après un rude périple, la famille de hardis pionniers atteint enfin la Terre promise : Gold Hill, où Bill, le fils du patriarche, a découvert naguère une mine d’or que toute la smala est venue exploiter. Hélas ! le grand-père a à peine le temps de bouchonner les chevaux, le fils de couper le bois, la femme et la petite-fille de préparer la popote et le petit-fils d’aller taquiner la truite que des flèches meurtrières les transforment tous en pelotes d’épingle. Le regard dur d’un Indien s’attarde sur la scène.
Cut sur un cow-boy marchant dans le désert, sa selle sur le dos. Une carriole passe mais ne s’arrête pas. Cinq secondes plus tard, elle est attaquée par des bandits, que notre carriole-stoppeur met en fuite. Du coup, il embarque. Son blaze, c’est Joe (Richard Harrison), et il est pas bavard. Le conducteur de la carriole, c’est Hank (José Jaspe), et sa volubilité compense. Artilleur lors de la guerre de Sécession, il est frustré de ne plus utiliser ses talents et s’est reconverti dans la vente de remèdes miracles.
Nos deux larrons arrivent à Gold Hill, où c’est la fête. Toute la ville est réunie sous l’égide du juge (John Bartha) et du shérif (Tom Felleghy) pour célébrer les quatre notables qui ont chassé les Indiens de la région et garanti la prospérité de la cité : le banquier Wallace (Franco Ressel), Ortega, le propriétaire de la mine (Andreas Aureli), Navarro (Mirko Ellis – merci Rex Lee !) et Lasky, le propriétaire du saloon (Piero Lulli).
Soudain, une flèche se plante dans un poteau au-dessus des quatre hommes. « C’est une menace de mort », dit le shérif.
Bon, je vous raconte pas la suite, vous la voyez venir : notre pote Joe est ici pour se venger et il va éliminer les quatre vils répugnants capitalistes pourris — je pense pouvoir vous dire que c’est pas les Indiens qui ont fait le coup sans trop trahir le suspense — en usant de toute sa ruse (l’aime bien se déguiser, l’ami Joe), de toute sa force et de toute son habileté au revolver.
Mais comme nous sommes dans un western all’italiana, ce schéma de base un rien primaire va être enjolivé par tout un tas de fioritures sympa. En vrac :
— notre Joe est un artiste, même qu’il fait à l’improviste un portrait de la femme de Lasky, la pulpeuse Nieves Navarro… qui était d’ailleurs sa fiancée dans le temps ;
— notre Joe a la dent sucrée : il trimballe des sucres sur lui et en offre à tout le monde ;
— son pote Hank est un inventeur de génie, dans le registre armes et explosifs ; ça défouraille sec ;
— parmi les hommes de main des méchants, on repère une tête connue, Raf Baldassare, qui se traîne d’ailleurs un auxiliaire avec lequel il a des dialogues ambigus ;
— à remarquer l’apparition subite et incongrue d’un pistolero tout de noir vêtu et à la gueule cassée (un masque de cuir lui recouvre le bas du visage), qui par la suite… ah ! mais je ne veux pas vous gâcher le film. Disons que grâce à lui le final est stendhalien (ou stadetoulousain, au choix).
Bon. Je ne vais pas vous dire que tout ça fait un film génial, vous ne me croiriez pas. El Rojo est un petit spagh sympa, que l’on aurait aimé un peu plus déjanté (tous les ingrédients sont là, mais la mayonnaise ne prend pas).
Et qui pose aussi certaines questions.
Primo, j’ai vu le film dans sa version anglaise et il m’a paru un peu court, comme s’il manquait des bouts. Sans compter que les dialogues étaient parfois bizarres. D’ailleurs, si l’on en croit Western all’italiana (Glittering Images), le personnage interprété par José Jaspe n’est pas un Américain vétéran de la guerre de Sécession mais un Italien vétéran des campagnes de Garibaldi. Y a peut-être eu de l’adaptation dans la traduction en ricain.
Ensuite, j’ai été frappé par pas mal de points communs entre ce film et le Sartana de Gianfranco Parolini. Dans l’un comme dans l’autre, on a quatre notables qui tiennent la ville en coupe réglée, dont un banquier et Mexicain vivant dans son fief ; par ailleurs, dans les deux films, on trouve un méchant du nom de Lasky. Et j’ai bien l’impression que les décors sont les mêmes…
Reste à parler de la mise en scène. Elle est de Leopoldo Savona, auteur de l’épatant Killer Kid, où il fait montre de qualités que l’on chercherait en vain ici. Peut-être qu’il n’avait pas encore trouvé ses marques.
Bilan final : Breccio a dit : réservé aux aficionados.
PS : la musique est signée Benedetto Ghiglia et Nieves Navarro pousse la chansonnette (enfin, elle ou sa doublure voix…).
Cut sur un cow-boy marchant dans le désert, sa selle sur le dos. Une carriole passe mais ne s’arrête pas. Cinq secondes plus tard, elle est attaquée par des bandits, que notre carriole-stoppeur met en fuite. Du coup, il embarque. Son blaze, c’est Joe (Richard Harrison), et il est pas bavard. Le conducteur de la carriole, c’est Hank (José Jaspe), et sa volubilité compense. Artilleur lors de la guerre de Sécession, il est frustré de ne plus utiliser ses talents et s’est reconverti dans la vente de remèdes miracles.
Nos deux larrons arrivent à Gold Hill, où c’est la fête. Toute la ville est réunie sous l’égide du juge (John Bartha) et du shérif (Tom Felleghy) pour célébrer les quatre notables qui ont chassé les Indiens de la région et garanti la prospérité de la cité : le banquier Wallace (Franco Ressel), Ortega, le propriétaire de la mine (Andreas Aureli), Navarro (Mirko Ellis – merci Rex Lee !) et Lasky, le propriétaire du saloon (Piero Lulli).
Soudain, une flèche se plante dans un poteau au-dessus des quatre hommes. « C’est une menace de mort », dit le shérif.
Bon, je vous raconte pas la suite, vous la voyez venir : notre pote Joe est ici pour se venger et il va éliminer les quatre vils répugnants capitalistes pourris — je pense pouvoir vous dire que c’est pas les Indiens qui ont fait le coup sans trop trahir le suspense — en usant de toute sa ruse (l’aime bien se déguiser, l’ami Joe), de toute sa force et de toute son habileté au revolver.
Mais comme nous sommes dans un western all’italiana, ce schéma de base un rien primaire va être enjolivé par tout un tas de fioritures sympa. En vrac :
— notre Joe est un artiste, même qu’il fait à l’improviste un portrait de la femme de Lasky, la pulpeuse Nieves Navarro… qui était d’ailleurs sa fiancée dans le temps ;
— notre Joe a la dent sucrée : il trimballe des sucres sur lui et en offre à tout le monde ;
— son pote Hank est un inventeur de génie, dans le registre armes et explosifs ; ça défouraille sec ;
— parmi les hommes de main des méchants, on repère une tête connue, Raf Baldassare, qui se traîne d’ailleurs un auxiliaire avec lequel il a des dialogues ambigus ;
— à remarquer l’apparition subite et incongrue d’un pistolero tout de noir vêtu et à la gueule cassée (un masque de cuir lui recouvre le bas du visage), qui par la suite… ah ! mais je ne veux pas vous gâcher le film. Disons que grâce à lui le final est stendhalien (ou stadetoulousain, au choix).
Bon. Je ne vais pas vous dire que tout ça fait un film génial, vous ne me croiriez pas. El Rojo est un petit spagh sympa, que l’on aurait aimé un peu plus déjanté (tous les ingrédients sont là, mais la mayonnaise ne prend pas).
Et qui pose aussi certaines questions.
Primo, j’ai vu le film dans sa version anglaise et il m’a paru un peu court, comme s’il manquait des bouts. Sans compter que les dialogues étaient parfois bizarres. D’ailleurs, si l’on en croit Western all’italiana (Glittering Images), le personnage interprété par José Jaspe n’est pas un Américain vétéran de la guerre de Sécession mais un Italien vétéran des campagnes de Garibaldi. Y a peut-être eu de l’adaptation dans la traduction en ricain.
Ensuite, j’ai été frappé par pas mal de points communs entre ce film et le Sartana de Gianfranco Parolini. Dans l’un comme dans l’autre, on a quatre notables qui tiennent la ville en coupe réglée, dont un banquier et Mexicain vivant dans son fief ; par ailleurs, dans les deux films, on trouve un méchant du nom de Lasky. Et j’ai bien l’impression que les décors sont les mêmes…
Reste à parler de la mise en scène. Elle est de Leopoldo Savona, auteur de l’épatant Killer Kid, où il fait montre de qualités que l’on chercherait en vain ici. Peut-être qu’il n’avait pas encore trouvé ses marques.
Bilan final : Breccio a dit : réservé aux aficionados.
PS : la musique est signée Benedetto Ghiglia et Nieves Navarro pousse la chansonnette (enfin, elle ou sa doublure voix…).
Re: El Rojo - Leopoldo Savona - 1967
Il s'en faut de peu que ce western ne soit un grand western !
En fait , il manque un peu de souffle et quelques développements à l'action ...Les enchaînements de séquences sont assurés de manière quelque peu abrupte , comme si le film avait été tronqué , racourci pour ne durer que 80 minutes... Minutes ! Voilà ce qu'il manque à ce film : une poignée de minutes car avec quelques minutes de plus , c'eût été un GRAND , un TRES GRAND WESTERN !
Exemple : il ya une cavalcade et hop , mais que fait Consuelo ( sublime Nieves Navarro au rôle trop court ou racourci...) devant cette cabane en train de parler avec Joe ? L'aficinado moyen comprend qu'il se sont retrouvés , mais comment ? Car dans le saloon , auparavant , il n'est pas question de rendez-vous . Là , manifestement , il y a coupure .
Autre question : les parents de Joe , massacrés au début ( tiens , pas de générique ...) sont-ils de la région ou non ? Comme ils voyagent en chariot , il semblerait que non , mais ils sont tout de même connus sur la place , car la bande des 4 ( au fait , Navarro , c'est bien MIRKO ELLIS ) est au courant de pas mal de choses . Et il ya aussi Cochise Simple témoin , est-ce lui qui a averti Joe ? L'aficionado le suppose...
Une fois de plus , donc , se pose le problème de ces westerns tronqués qui perdent un peu de leur magie , de leur âme sous les coups de ciseaux de producteurs âpres au gain. J'ai évoqué récemment "Les longs jours de la vengeance " , Edocle a fait de même pour "Arizona Colt " On pourrait multiplier les exemples , en prenant n'importe quel western dépassant l'heure et 1/2 . ( au hasard , encore un Gemma : le TEXAS , de Valerii . Que vaut ce film , de presque 2 H , ramené à 1H30 ? )
Des coupes dans EL ROJO ou film inachevé ? Il faudrait des preuves , des témoignages . Le film est bon , sans nul doute !
Mais le cas des films tronqués est , lui , bien avéré .
En fait , il manque un peu de souffle et quelques développements à l'action ...Les enchaînements de séquences sont assurés de manière quelque peu abrupte , comme si le film avait été tronqué , racourci pour ne durer que 80 minutes... Minutes ! Voilà ce qu'il manque à ce film : une poignée de minutes car avec quelques minutes de plus , c'eût été un GRAND , un TRES GRAND WESTERN !
Exemple : il ya une cavalcade et hop , mais que fait Consuelo ( sublime Nieves Navarro au rôle trop court ou racourci...) devant cette cabane en train de parler avec Joe ? L'aficinado moyen comprend qu'il se sont retrouvés , mais comment ? Car dans le saloon , auparavant , il n'est pas question de rendez-vous . Là , manifestement , il y a coupure .
Autre question : les parents de Joe , massacrés au début ( tiens , pas de générique ...) sont-ils de la région ou non ? Comme ils voyagent en chariot , il semblerait que non , mais ils sont tout de même connus sur la place , car la bande des 4 ( au fait , Navarro , c'est bien MIRKO ELLIS ) est au courant de pas mal de choses . Et il ya aussi Cochise Simple témoin , est-ce lui qui a averti Joe ? L'aficionado le suppose...
Une fois de plus , donc , se pose le problème de ces westerns tronqués qui perdent un peu de leur magie , de leur âme sous les coups de ciseaux de producteurs âpres au gain. J'ai évoqué récemment "Les longs jours de la vengeance " , Edocle a fait de même pour "Arizona Colt " On pourrait multiplier les exemples , en prenant n'importe quel western dépassant l'heure et 1/2 . ( au hasard , encore un Gemma : le TEXAS , de Valerii . Que vaut ce film , de presque 2 H , ramené à 1H30 ? )
Des coupes dans EL ROJO ou film inachevé ? Il faudrait des preuves , des témoignages . Le film est bon , sans nul doute !
Mais le cas des films tronqués est , lui , bien avéré .
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: El Rojo - Leopoldo Savona - 1967
L'affiche française .
Richard Harrison
Nieves Navarro
Et quelques affiches de plus ...
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: El Rojo - Leopoldo Savona - 1967
Richard Harrison
José Jaspe
Piero Lulli
Franco Ressel
Raf Baldassare
Andrew Ray [ Andrea Aureli ]*
Mirko Ellis*
*Rex Lee
El Puro- Michele Lupo
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Re: El Rojo - Leopoldo Savona - 1967
Rita Klein / Richard Harrison / Annie Gorassini
Piero Lulli / Mirko Ellis / Andrea Aureli
Nieves Navarro
Jose Jaspe / Annie Gorassini
Rita Klein
Gaetano Scala
Tom Felleghy / John Bartha / Richard Harrison
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: El Rojo - Leopoldo Savona - 1967
Affiche d'un passionné, qui va bientôt nous rejoindre et qui se sépare de sa collection...
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Personne- Sergio Leone
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Edocle- Sergio Leone
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MARCHAND- Sergio Leone
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Re: El Rojo - Leopoldo Savona - 1967
Ceux qui sont abonnés à OCS Géants vont avoir la chance de le voir demain mercredi à 20h40. VF ou VOSTF au choix.
A vos magnétoscopes...( )
A vos magnétoscopes...( )
_________________
Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: El Rojo - Leopoldo Savona - 1967
Il y a bien longtemps que je ne fais plus tourner mon "magnéto.", pour enregistrer. (1)
Mais on va le faire quand même....
(1) Pourtant j'en ai payé la taxe, en son temps !
Mais on va le faire quand même....
(1) Pourtant j'en ai payé la taxe, en son temps !
Sitting Bull- Sergio Leone
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Localisation : La forêt landaise
Re: El Rojo - Leopoldo Savona - 1967
Sitting Bull a écrit:Il y a bien longtemps que je ne fais plus tourner mon "magnéto.", pour enregistrer. (1)
Mais on va le faire quand même....
(1) Pourtant j'en ai payé la taxe, en son temps !
Je n'en attendais pas moins de toi...
J'espère que les têtes de lectures ont été dépoussièrées...
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: El Rojo - Leopoldo Savona - 1967
Je viens de visionner cette VF diffusée récemment.
L'image est nette mais trop sombre. (Un peu comme celle du DVD M6 de Deux croix pour un implacable.) Du coup, il m'a fallu me servir de la télécommande pour rendre les couleurs plus vives.
Parlons à présent des génériques.
Voilà celui du début:
Le titre, et c'est tout.
Puis, sur la dernière image du film, ce générique de fin pour le moins surprenant. (Je précise qu'il se déroule dans cet ordre-là.)
Tiens, c'est tout? Pas d'autres acteurs?
Je passe les noms de la fiche technique...
(J'ai cru, un moment, que la vedette avait été oubliée... )
(Ah, il restait encore trois acteurs... )
Et après cela, s'affiche le mot FIN. Ben oui, mais...et Raf Baldassarre alors?
Bon, tout cela n'est pas bien méchant...L'essentiel est de passer un bon moment.
L'image est nette mais trop sombre. (Un peu comme celle du DVD M6 de Deux croix pour un implacable.) Du coup, il m'a fallu me servir de la télécommande pour rendre les couleurs plus vives.
Parlons à présent des génériques.
Voilà celui du début:
Le titre, et c'est tout.
Puis, sur la dernière image du film, ce générique de fin pour le moins surprenant. (Je précise qu'il se déroule dans cet ordre-là.)
Tiens, c'est tout? Pas d'autres acteurs?
Je passe les noms de la fiche technique...
(J'ai cru, un moment, que la vedette avait été oubliée... )
(Ah, il restait encore trois acteurs... )
Et après cela, s'affiche le mot FIN. Ben oui, mais...et Raf Baldassarre alors?
Bon, tout cela n'est pas bien méchant...L'essentiel est de passer un bon moment.
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Rex Lee- Sergio Leone
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Re: El Rojo - Leopoldo Savona - 1967
Breccio a écrit:PS : la musique est signée Benedetto Ghiglia et Nieves Navarro pousse la chansonnette (enfin, elle ou sa doublure voix…).
La Bo est sortie en Cd en édition limitée à 500 exemplaires et sur la jaquette c'est bien Nieves Navarro qui est crédité en tant qu'interprète.
Horace Pinker- Michele Lupo
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Date d'inscription : 15/11/2010
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Localisation : Seine et marne
Re: El Rojo - Leopoldo Savona - 1967
Rex Lee a écrit:Ceux qui sont abonnés à OCS Géants vont avoir la chance de le voir demain mercredi à 20h40. VF ou VOSTF au choix.
A vos magnétoscopes...( )
Vous l'aviez loupé à l'époque ?
Il repasse le mercredi 23 novembre 2016 à 20h40
A vos magnétoscopes.... numériques.... bien sûr !
Ben et où ? Sur OCS Géants... ben oui...
_________________
Edocle- Sergio Leone
- Messages : 3743
Date d'inscription : 06/04/2010
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Localisation : 92 Spaghetti Ville
Re: El Rojo - Leopoldo Savona - 1967
Edocle a écrit:Rex Lee a écrit:Ceux qui sont abonnés à OCS Géants vont avoir la chance de le voir demain mercredi à 20h40. VF ou VOSTF au choix.
A vos magnétoscopes...( )
Vous l'aviez loupé à l'époque ?
Il repasse le mercredi 23 novembre 2016 à 20h40
A vos magnétoscopes.... numériques.... bien sûr !
Ben et où ? Sur OCS Géants... ben oui...
Le voici:
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Rex Lee- Sergio Leone
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Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 68
Localisation : 19
Re: El Rojo - Leopoldo Savona - 1967
Merci. Piqûre de rappel pour les absents du premier tour !
Sitting Bull- Sergio Leone
- Messages : 1145
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Age : 87
Localisation : La forêt landaise
Re: El Rojo - Leopoldo Savona - 1967
merci pour la VF !
KevenLC- Léon Klimosky
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Age : 43
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