Un homme nommé Apocalypse Joe (Un Uomo Chiamato Apocalisse Joe) – 1970 – Léopoldo SAVONA
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Trinita
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Un homme nommé Apocalypse Joe (Un Uomo Chiamato Apocalisse Joe) – 1970 – Léopoldo SAVONA
Un homme nommé Apocalypse Joe (Un Uomo Chiamato Apocalisse Joe) – 1970 – Léopoldo SAVONA
« Il più grande fornitore all’ingrosso di cimiteri del West »*
C’est Noël, c’est la fête, merci petit Papa Noël pour avoir mis ce film dans mes sabots.
Depuis sa sortie à Paris le 31 Mai 1972 je n’avais pas revu ce film, et je dois avouer que ma mémoire ne m’a pas joué de tour : c’est du bon, c’est du grand ! Ce quatrième film de Léopoldo Savona est un excellent Anthony Steffen, et ceux qui ont l’habitude de me lire savent que je suis un inconditionnel !
Lui, c’est Joe Clifford pistolero reconverti en comédien et qui déclame du Shakespeare sur les places des villages de l’ouest. Le voilà qui hérite d’une mine d’or dans un bled perdu. Il débarque à Landberry pour entrer en possession de l’héritage !
Mais un salaud à fait main basse sur la mine. C’est Berg, qui pour obtenir ce bien n’a pas hésité à buter tonton Clifford.
Notre brave Joe va découvrir et se faire raconter l’ambiance par Doc Clark le coiffeur-dentiste-médecin-couturier-maquignon-mais-pas-aubergiste du coin. Une première visite à la mine permet à Joe de constater que Berg n’est pas seulement le potentat local, mais qu’il se double d’un assassin légèrement sadique sur les bords.
Le shérif Flyod est complètement à la botte de Berg, mais dans un sursaut d’honnêteté il va essayer de faire respecter la loi, mais il laissera sa peau.
Alors Joe va régler ses comptes lui-même et ça déménage fort malgré l’opposition des lieutenants de Berg, Braddox le sadique et Bodo la bête humaine qualifié de bestiau !
Et il en tombe des paquets. « Moi je tes tue, toi tu les comptes » dit Joe à Doc Clark, qui lui dira plus tard qu’il « s’est perdu dans les comptes »…
Après « Killer Kid » c’est la seconde fois que Léopoldo Sovana retrouve Anthony Steffen. Et pour une production courante ils s’en tirent pas mal tous les deux. Une recette de 350 millions de lires la première année d’exploitation en Italie pour un film tourné en une semaine en Espagne du côté de Madrid et trois semaines aux Studio Elios à Rome. Le tournage en Espagne s’est passé en plein mois de juillet sous une température de 40°C. Les spécialistes de l’époque trouvèrent « Steffen excellent quoiqu’un peu en retrait sur le plan physique ». Et bien sûr Eduardo Fajardo est « excellent dans ce rôle si caractéristique ». Et de compléter les louanges par Léopoldo Sovana qui « est un gentilhomme, bon réalisateur, mais trop gentil ».
Bien tout cela pour vous dire que c’est réalisé de main de maître, en 35 mm anamorphosé 2,35 et un métrage de 2600 m soit 95 minutes de projection. Son mono, tirage sonore optique seulement. Voilà pour les techniciens ! La post production son est supervisée par Léopoldo Sovana pour la version italienne et par Eduardo Manzanos Brochero pour la version espagnole.
La mise en scène et le scénario sont parfaits. On appréciera la continuité de l’action sans ces fameux raccourcis qui sont souvent l’apanage de ce type de production.
La photographie de Franco Villa et Julio Ortas opérée par Claudio Morabito est superbe en Télécolor et cinéscope . La musique de Bruno Nicolaï prend parfois des allures »de déjà entendu », mais elle soutient si bien l’action qu’on n’a pas envie de savoir si c’est du démarquage ! Chapeau sur ce coup-là !
Je m’aperçois que j’ai complètement oublié de vous parler des rôles féminins de film, mais comme disait le critique de l’époque Mary Paz Pondal « n’est qu’une gentille gaminerie espagnole ». Quand à Véronica Korosec dans le rôle de Mildred on oublie vite sa frimousse.
Pour voir cette petite perle il existe un DVD Italien langue anglaise et italienne, sous-titres italiens. Et pour nos amis les éditeurs de DVD français, la bande son est dans le fond de catalogue de la société CFFP. Alors, on se bouge, avec les techniques modernes on fait des miracles !
* « le plus grand fournisseur en gros des cimetières de l’ouest »
C’était la phrase de lancement de la publicité italienne de l’époque…..
Amicalement E.
« Il più grande fornitore all’ingrosso di cimiteri del West »*
C’est Noël, c’est la fête, merci petit Papa Noël pour avoir mis ce film dans mes sabots.
Depuis sa sortie à Paris le 31 Mai 1972 je n’avais pas revu ce film, et je dois avouer que ma mémoire ne m’a pas joué de tour : c’est du bon, c’est du grand ! Ce quatrième film de Léopoldo Savona est un excellent Anthony Steffen, et ceux qui ont l’habitude de me lire savent que je suis un inconditionnel !
Lui, c’est Joe Clifford pistolero reconverti en comédien et qui déclame du Shakespeare sur les places des villages de l’ouest. Le voilà qui hérite d’une mine d’or dans un bled perdu. Il débarque à Landberry pour entrer en possession de l’héritage !
Mais un salaud à fait main basse sur la mine. C’est Berg, qui pour obtenir ce bien n’a pas hésité à buter tonton Clifford.
Notre brave Joe va découvrir et se faire raconter l’ambiance par Doc Clark le coiffeur-dentiste-médecin-couturier-maquignon-mais-pas-aubergiste du coin. Une première visite à la mine permet à Joe de constater que Berg n’est pas seulement le potentat local, mais qu’il se double d’un assassin légèrement sadique sur les bords.
Le shérif Flyod est complètement à la botte de Berg, mais dans un sursaut d’honnêteté il va essayer de faire respecter la loi, mais il laissera sa peau.
Alors Joe va régler ses comptes lui-même et ça déménage fort malgré l’opposition des lieutenants de Berg, Braddox le sadique et Bodo la bête humaine qualifié de bestiau !
Et il en tombe des paquets. « Moi je tes tue, toi tu les comptes » dit Joe à Doc Clark, qui lui dira plus tard qu’il « s’est perdu dans les comptes »…
Après « Killer Kid » c’est la seconde fois que Léopoldo Sovana retrouve Anthony Steffen. Et pour une production courante ils s’en tirent pas mal tous les deux. Une recette de 350 millions de lires la première année d’exploitation en Italie pour un film tourné en une semaine en Espagne du côté de Madrid et trois semaines aux Studio Elios à Rome. Le tournage en Espagne s’est passé en plein mois de juillet sous une température de 40°C. Les spécialistes de l’époque trouvèrent « Steffen excellent quoiqu’un peu en retrait sur le plan physique ». Et bien sûr Eduardo Fajardo est « excellent dans ce rôle si caractéristique ». Et de compléter les louanges par Léopoldo Sovana qui « est un gentilhomme, bon réalisateur, mais trop gentil ».
Bien tout cela pour vous dire que c’est réalisé de main de maître, en 35 mm anamorphosé 2,35 et un métrage de 2600 m soit 95 minutes de projection. Son mono, tirage sonore optique seulement. Voilà pour les techniciens ! La post production son est supervisée par Léopoldo Sovana pour la version italienne et par Eduardo Manzanos Brochero pour la version espagnole.
La mise en scène et le scénario sont parfaits. On appréciera la continuité de l’action sans ces fameux raccourcis qui sont souvent l’apanage de ce type de production.
La photographie de Franco Villa et Julio Ortas opérée par Claudio Morabito est superbe en Télécolor et cinéscope . La musique de Bruno Nicolaï prend parfois des allures »de déjà entendu », mais elle soutient si bien l’action qu’on n’a pas envie de savoir si c’est du démarquage ! Chapeau sur ce coup-là !
Je m’aperçois que j’ai complètement oublié de vous parler des rôles féminins de film, mais comme disait le critique de l’époque Mary Paz Pondal « n’est qu’une gentille gaminerie espagnole ». Quand à Véronica Korosec dans le rôle de Mildred on oublie vite sa frimousse.
Pour voir cette petite perle il existe un DVD Italien langue anglaise et italienne, sous-titres italiens. Et pour nos amis les éditeurs de DVD français, la bande son est dans le fond de catalogue de la société CFFP. Alors, on se bouge, avec les techniques modernes on fait des miracles !
* « le plus grand fournisseur en gros des cimetières de l’ouest »
C’était la phrase de lancement de la publicité italienne de l’époque…..
Amicalement E.
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Edocle- Sergio Leone
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Re: Un homme nommé Apocalypse Joe (Un Uomo Chiamato Apocalisse Joe) – 1970 – Léopoldo SAVONA
Voilà un excellent western ! J'ai été impressionné par l'affrontement final : environ 25 minutes de combat de rue non-stop que Joe mène contre la bande de Fajardo ! Formidable mise en scène ! Et d'une fluidité ! Le tout souligné par une très bonne partition de Bruno Nicolai , aux accents morriconiens , bien sûr .
Décidément , le tandem Steffen - Fajardo fait encore mouche , après UN CERCUEIL POUR LE SHERIF , LA VENGEANCE DE RINGO ,et GENTLEMENT KILLER !
Décidément , le tandem Steffen - Fajardo fait encore mouche , après UN CERCUEIL POUR LE SHERIF , LA VENGEANCE DE RINGO ,et GENTLEMENT KILLER !
Rex Lee- Sergio Leone
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Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Un homme nommé Apocalypse Joe (Un Uomo Chiamato Apocalisse Joe) – 1970 – Léopoldo SAVONA
Tiens, c'est le même visuel que le dvd allemand que je possède.
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Trinita- Sergio Leone
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Re: Un homme nommé Apocalypse Joe (Un Uomo Chiamato Apocalisse Joe) – 1970 – Léopoldo SAVONA
Anthony Steffen
Eduardo Fajardo
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stéphane- Michele Lupo
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Re: Un homme nommé Apocalypse Joe (Un Uomo Chiamato Apocalisse Joe) – 1970 – Léopoldo SAVONA
Superbes captures , Stephane !
Et en voici une autre , assez insolite :
Sir Anthony Steffen , acteur shakespearien .
Et en voici une autre , assez insolite :
Sir Anthony Steffen , acteur shakespearien .
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Un homme nommé Apocalypse Joe (Un Uomo Chiamato Apocalisse Joe) – 1970 – Léopoldo SAVONA
Voilà un excellent film que j'ai trouvé original, inventif, bien filmé et avec un musique magnifique. Sans parler des acteurs, tous impeccables, en particulier Fajardo, (comme toujours) plutôt subtil dans le rôle d'une ordure absolue. Je parlerai de Steffen plus loin
Si j'ai des réserves c'est sur le grand final, justement; les 20 dernières minutes où ça flingue tous azimuts, avec des moments tragiques très forts : le meurtre de Rita, les alliés de Steffen (le barbier, le barman) qui se font descendre à leur tour...
Mais il y a aussi l'apparition soudaine de toutes sortes de gags visuels qui me surprennent dans un film assez sérieux jusque là (le type qui tombe dans le tonneau, le tas de bois lancé sur le plancher qui fait remonter l'adversaire jusqu'au toît où Steffen est caché, je vous demande un peu !? le tir dans la cloche pour la faire tomber..)
C'est d'autant plus curieux que la thématique de ce film de vengeance était justement d'éviter ce genre de bouffonnerie. Dans ce film l'héritage, la mine ne sont qu'un prétexte. Steffen joue une acteur que ses proches ne prennent guère au sérieux, et sa motivation est de démontrer qu'il n'est "pas un Paillasse mais un acteur tragique!".
L'histoire du film montre justement Joe triompher de ses ennemis par la ruse en utilisant ses talents d'acteur; et on le voit se déguiser, successivement en garçon de café, en moine, en vieillard puis en femme ! A la fin, la ville enfin débarrassée de la bande de Berg (Fajardo) il décide de partir à Londres pour jouer du Shakespeare. Autrement dit cette aventure a définitivement établit aux yeux de tous son talent d'acteur sérieux et sa carrière commence vraiment.
Autre interprétation : chassez le naturel, il revient au galop ! Le type n'est en fait qu'un cabot et ne peut s'empêcher malgré lui d'en faire des tonnes, d'où les pitreries qui apparaissent à la fin. D'autre part Steffen est lui-même un comédien assez moyen (ce qui n'est pas gênant pour ses rôles de pistoleros laconiques et ne m'empêche pas de l'apprécier !) et c'est flagrant dans le film: d'une part on peut à bon droit le trouver absolument pas crédible dans ses déguisements qui n'abusent personne (faut-il que les hommes de Berg soient des abrutis! enfin,l'habit fait le moine !) et surtout il est assez mauvais dans ses scènes de déclamation shakespeariennes (générique de début- il ne suffit pas de tenir un crâne et de prendre un air constipé pour jouer Hamlet- puis monologue grandiloquent de Macbeth sur la roulotte)
Il est possible que le réalisateur, bien conscient de tout cela, joue de ce 2ème degré, et laisse la possibilité de penser à une autre lecture de l'histoire : voilà un type qui se prend pour un génie et qui en fait est mauvais comme un cochon! Comme vengeur bien sûr c'est un authentique héros, et il ferait mieux de rester en ville profiter de la gratitude des habitants; perdu dans son rêve de grandeur, il préfère poursuivre des chimères, mais il se prépare de grandes désillusions à Londres...
Bon , d'accord, je réfléchis trop, faut que j'arrête ; je cherche des choses là où y a rien à voir ! Faut que je débranche ! Mais ne vous y trompez pas, si je délire comme ça sur ce film c'est que je l'ai adoré, encore plus que "Killer Kid" du même Savona que j'aime pourtant beaucoup. A recommander chaudement.
Si j'ai des réserves c'est sur le grand final, justement; les 20 dernières minutes où ça flingue tous azimuts, avec des moments tragiques très forts : le meurtre de Rita, les alliés de Steffen (le barbier, le barman) qui se font descendre à leur tour...
Mais il y a aussi l'apparition soudaine de toutes sortes de gags visuels qui me surprennent dans un film assez sérieux jusque là (le type qui tombe dans le tonneau, le tas de bois lancé sur le plancher qui fait remonter l'adversaire jusqu'au toît où Steffen est caché, je vous demande un peu !? le tir dans la cloche pour la faire tomber..)
C'est d'autant plus curieux que la thématique de ce film de vengeance était justement d'éviter ce genre de bouffonnerie. Dans ce film l'héritage, la mine ne sont qu'un prétexte. Steffen joue une acteur que ses proches ne prennent guère au sérieux, et sa motivation est de démontrer qu'il n'est "pas un Paillasse mais un acteur tragique!".
L'histoire du film montre justement Joe triompher de ses ennemis par la ruse en utilisant ses talents d'acteur; et on le voit se déguiser, successivement en garçon de café, en moine, en vieillard puis en femme ! A la fin, la ville enfin débarrassée de la bande de Berg (Fajardo) il décide de partir à Londres pour jouer du Shakespeare. Autrement dit cette aventure a définitivement établit aux yeux de tous son talent d'acteur sérieux et sa carrière commence vraiment.
Autre interprétation : chassez le naturel, il revient au galop ! Le type n'est en fait qu'un cabot et ne peut s'empêcher malgré lui d'en faire des tonnes, d'où les pitreries qui apparaissent à la fin. D'autre part Steffen est lui-même un comédien assez moyen (ce qui n'est pas gênant pour ses rôles de pistoleros laconiques et ne m'empêche pas de l'apprécier !) et c'est flagrant dans le film: d'une part on peut à bon droit le trouver absolument pas crédible dans ses déguisements qui n'abusent personne (faut-il que les hommes de Berg soient des abrutis! enfin,l'habit fait le moine !) et surtout il est assez mauvais dans ses scènes de déclamation shakespeariennes (générique de début- il ne suffit pas de tenir un crâne et de prendre un air constipé pour jouer Hamlet- puis monologue grandiloquent de Macbeth sur la roulotte)
Il est possible que le réalisateur, bien conscient de tout cela, joue de ce 2ème degré, et laisse la possibilité de penser à une autre lecture de l'histoire : voilà un type qui se prend pour un génie et qui en fait est mauvais comme un cochon! Comme vengeur bien sûr c'est un authentique héros, et il ferait mieux de rester en ville profiter de la gratitude des habitants; perdu dans son rêve de grandeur, il préfère poursuivre des chimères, mais il se prépare de grandes désillusions à Londres...
Bon , d'accord, je réfléchis trop, faut que j'arrête ; je cherche des choses là où y a rien à voir ! Faut que je débranche ! Mais ne vous y trompez pas, si je délire comme ça sur ce film c'est que je l'ai adoré, encore plus que "Killer Kid" du même Savona que j'aime pourtant beaucoup. A recommander chaudement.
old timer- Sergio Leone
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Re: Un homme nommé Apocalypse Joe (Un Uomo Chiamato Apocalisse Joe) – 1970 – Léopoldo SAVONA
affiche noir et blanc de JANO
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Edocle- Sergio Leone
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Re: Un homme nommé Apocalypse Joe (Un Uomo Chiamato Apocalisse Joe) – 1970 – Léopoldo SAVONA
Affiche espagnole
angel caldito castellano- Sergio Sollima
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Re: Un homme nommé Apocalypse Joe (Un Uomo Chiamato Apocalisse Joe) – 1970 – Léopoldo SAVONA
Ceux qui ne l'ont pas vu pourront se faire une idée en jetant un coup d’œil sur cette version:
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Un homme nommé Apocalypse Joe (Un Uomo Chiamato Apocalisse Joe) – 1970 – Léopoldo SAVONA
Rex Lee a écrit:Voilà un excellent western ! J'ai été impressionné par l'affrontement final : environ 25 minutes de combat de rue non-stop que Joe mène contre la bande de Fajardo ! Formidable mise en scène ! Et d'une fluidité ! Le tout souligné par une très bonne partition de Bruno Nicolai , aux accents morriconiens , bien sûr .
Décidément , le tandem Steffen - Fajardo fait encore mouche , après UN CERCUEIL POUR LE SHERIF , LA VENGEANCE DE RINGO ,et GENTLEMENT KILLER !
Sitting Bull- Sergio Leone
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Re: Un homme nommé Apocalypse Joe (Un Uomo Chiamato Apocalisse Joe) – 1970 – Léopoldo SAVONA
ebay.
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Rex Lee- Sergio Leone
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angel caldito castellano- Sergio Sollima
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angel caldito castellano- Sergio Sollima
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Re: Un homme nommé Apocalypse Joe (Un Uomo Chiamato Apocalisse Joe) – 1970 – Léopoldo SAVONA
La même affiche...en V.F:
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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