Le repas des fauves-1964-Christian Jaque

[MARCHAND]

Avec:Francis Blanche,Antonella Lualdi,Claude Rich,Claude Nicot,Dominique Paturel,...

L'histoire:A Paris en 1942,sept amis réunis pour un repas d'anniversaire doivent choisir 2 otages parmi eux en représaille à un attentat.

Mon avis:Un très bon huit clos qui démarre comme une comédie pour finir en presque pugilat.Francis Blanche est remarquable en ignoble individu.

Disponible en dvd

[Il Ritardario]

Excellent film, je ne me suis pas ennuyé une seule seconde. Francis Blanche est un régal et les voix de deux autres comédiens est une douce mélodie (Dominique Paturel et Claude Nicot qui ont eu aussi une belle carrière de doubleur).
L'allemand de la Gestapo est plus vrai que nature, Claude Rich de son côté fait du Claude Rich et j'adore ça...et puis je rajouterai que de toutes façons il n'y a aucune raison de s'inquiéter puisque comme cela est précisé dans le film "ça se passe entre Français !"
Bref un véritable petit bijoux que je n'avais jamais vu.
A déguster de toute urgence

[JO]

Volià en quoi René Château est indispensable

[Richards]

J'ai découvert l'existence de ce film sur ce forum.

Merci à ceux qui en ont parlé et qui m'ont donné envie de le voir.

Je rejoints ceux qui en ont dit le plus grand bien: ce film le mérite. Très bonne histoire, dialogues finement ciselés, interprètes excellents. Francis Blanche campe un salaud bon enfant avec brio.



Cette affiche est la preuve que ce film a été exporté.

[Blondin67]

1942, quelque part dans une ville française sous l'occupation allemande 7 amis se retrouvent pour fêter l'anniversaire de l'une d'entre eux.

Juste avant leurs retrouvailles, pris au dépourvu l'hôte du soir accueille dans sa cave un voisin juif qui a été dénoncé. 

Au moment de passer à table, dans la rue devant l'immeuble, des coups de feu éclatent. 2 officiers nazis sont abattus. Les auteurs de l'attentat parviennent à s'échapper.

Furieux, le capitaine nazi en charge de châtier les coupables, prends en otage 2 personnes à chaque niveau de l'immeuble.

Aussi les 7 amis doivent se trouver deux volontaires.

À partir de là, un jeu de massacre verbal s'installe dans lequel chacun va révéler aux autres son côté obscur pour ne pas devoir se sacrifier.

Les pions sont en place, le repas des fauves peut commencer. 

Huis-clos au jeu des personnages volontairement accentué pour ne pas dire théâtral, s'ajoutent les brillants dialogues de Henri Jeanson ( Pépé le Moko, Hôtel du Nord, la vache et le prisonnier, Marie-Octobre, ETC) . 

Face à cette démonstration de la nature humaine dans tous ses états, on ne ressort pas indemne.

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