Cinq gâchettes d'or - Oggi a me... domani a te! - 1967 - Tonino Cervi
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Cinq gâchettes d'or - Oggi a me... domani a te! - 1967 - Tonino Cervi
Bill Kiowa ( Montgomery Ford ) a purgé une peine de 5 ans de prison pour le meurtre de son épouse indienne . ( Diana Madigan )
Mais les vrais coupables sont en liberté : il s"agit du hors-la-loi Elfego ( Tatsuya Nakadaî ) et de ses hommes ( Jeff Cameron , Pietro Torrisi ...)
Alors , Bill va se venger et pour ce faire , il engage 4 hommes : un costaud ( Bud Spencer ) , un chasseur de primes devenu shérif ( Wayde Preston ) ,un séducteur ( Stanley Gordon , alias Chet Davis , alias Franco Borelli .) et un joueur de poker ( William Berger ) . La traque peut commencer . Elle s"achèvera une nuit , dans une forêt automnale...
Un western qui se situe dans la moyenne . L'histoire est classique et filmée sans originalité .
C"est tourné en automne , dans des paysages campagnards italiens ...( voir " Une longue file de croix " )
L'élimination de la bande , à la fin du film , est intéressante ...Dommage que William Berger n'ait qu'un rôle secondaire...
Montgomery Ford
William Berger
Stanley Gordon
Bud Spencer
Wayde Preston
Tatsuya Nakadaî
Jeff Cameron
Diana Madigan
Dernière édition par Rex Lee le Mar 30 Déc - 8:52, édité 2 fois
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Cinq gâchettes d'or - Oggi a me... domani a te! - 1967 - Tonino Cervi
Pour l'anecdote : à un moment donné, lors d'une scène où les héros chevauchent vers l'objectif, on voit derrière eux un objet qui passe par-delà la colline : soit la voile d'un navire, soit l'aileron d'un avion.
Sinon, il est sympa, ce petit film...
B
Sinon, il est sympa, ce petit film...
B
Re: Cinq gâchettes d'or - Oggi a me... domani a te! - 1967 - Tonino Cervi
Disponible en DVD chez Seven 7.
_________________
Personne- Sergio Leone
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Re: Cinq gâchettes d'or - Oggi a me... domani a te! - 1967 - Tonino Cervi
ATTENTION : quelques SPOILERS entre les lignes dans les propos qui suivent.
J’avais lu beaucoup de critiques sur ce western qui ne laissaient, dans l’ensemble, rien présager d’exceptionnel. J’en avais même conclu que le film était plutôt moyen…et pourtant, lorsque je l’ai visionné, j’ai compris ceux qui avaient banalisé ce film, mais je dois avouer que personnellement, j’ai été très agréablement surpris et que le tout m’a énormément plu.
Certes, il n’y a pas vraiment d’assimilation à faire avec les problèmes de la société italienne de l’époque où il a été tourné, et encore moins de message revendicatif ou politique. Cependant, plusieurs choses mises bout à bout m’ont fait passer 90 minutes très prenantes.
Tout d’abord le rythme : on prend son temps dans l’univers de Bill Kiowa (c’est le héros) ; en 5 ans on s’est entraîné oui, mais on a aussi salement cogité ; alors on respecte les étapes qu’on s’est imposées. Chacune de ses étapes méthodiques, pour ne pas dire maniaques (trouver un colt, récupérer son magot, recruter les fines gâchettes du pays, retrouver le meurtrier Elfego, l’attirer à l’endroit propice…) se font sans empressement, avec calme, avec une minutie et une patience à toute épreuve. D’ailleurs le film est entièrement basé sur le principe de cette dernière qualité : la patience, et il en faut pour décimer une armada entière dans les bois pendant toute une nuit. Pour moi, la scène la plus caractéristique de ce rythme calé sur la patience est celle où Bill guette et rampe derrière un arbre, tel un indien, pour poignarder un homme isolé.
Après le rythme, ce qui m’a frappé est la tristesse et la mélancolie très bien incarnées par Montgomery Ford. Jusqu’au bout, il n’esquissera pas l’amorce d’un sourire ou d’un bien être, même une fois le devoir accomplit. Il exécute sa vengeance avec haine certes, mais surtout par désespoir sans attendre un soulagement en retour. Cette particularité est très caractéristique des Westerns transalpins, mais ici j’ai trouvé qu’elle était poussée à l’extrême, car on a vraiment le sentiment que ses alliés qui ont assisté au duel, attendent, espèrent un mot ou un signe de la part de leur recruteur qui est fait de chair et de sang…et bien non.
Tout ceci est bien sûr renforcé par la musique, la photographie et surtout par les paysages hivernaux, profonds qui contiennent une certaine couleur marron ocre qui rappelle les textures automnales.
Enfin, la dernière chose qui m’a fait beaucoup aimé le film, c’est le nombre de trouvailles et j’avoue qu’en insérant un DVD de western dans mon lecteur, c’est ce que je recherche avant tout. La stupéfaction du jeune gardien de prison, la façon dont Bill attire Bud Spencer en bivouac pour lui parler, la partie de poker tricheur avec William Berger, la femme qui dans cette salle était la seule à ne pas sentir la tension montée, le verre écrasé dans la main, le shérif qui change d’avis sans se soucier de ce que deviendra sa ville avec un poivrot nouvellement promu, Elfego qui est rassuré lorsque Bud Spencer lui confirme qu’il a bien été touché par sa machette…etc…me sont apparut comme autant de petits détails qui montrent que les réalisateurs avaient la réelle volonté d’apporter une note personnelle à cette banale histoire de vengeance.
A mon avis, la scène où Bill achète son colt chez l’armurier est très significative de cet état d’esprit: le thème a déjà été traité par le maître Léone (et de quelle façon !), et on peut retrouver là aussi une touche d’humour et une certaine tension comme dans l’original, mais la comparaison s’arrête là : Bill est très calme contrairement à Tuco, il n’a pas l’intention de voler, mais d’acheter son arme, et l’issue est beaucoup plus tragique car ceux ne sont pas des mannequins qui mordent la poussière. La tension monte ici jusqu’au bout avec un vrai duel qui explose.
C’est cet ensemble de trouvailles qui m’a fait gambergé sur toutes les scènes, car du coup je me posais des questions sur l’issue de chacune d’elles : est-ce que William Berger ne va pas trahir à nouveau Bill, notamment dans les derniers instants ? Est-ce que les 4 gâchettes d’or ne vont pas perdre la tête à la vue de tout le pognon que trimbale Bill (un peu comme les compagnons de Django l’ont trahit dans « Django prépare ton cercueil ») ? Est-ce qu’Elfego ne va effectivement pas être plus rapide que Bill et si c’est le cas, est-ce que les 4 gâchettes d’or ne vont pas manquer à leur parole et descendre Elfego ?…etc
C’est d’ailleurs une des principales raisons pour laquelle j’apprécie les westerns spaghettis : il y a tant de scènes à l’issue surprenante que, bien souvent, j’ai du mal à imaginer ce qui va réellement se passer.
La contrepartie est que certains réalisateurs veulent à tous prix surprendre et tombe dans l’écueil de l’invraisemblance.
Je n’en ai pas vu de flagrantes dans « Les 5 gâchettes d’or »…toute proportion gardée car on est quand même dans un western all’italiana.
J’avais lu beaucoup de critiques sur ce western qui ne laissaient, dans l’ensemble, rien présager d’exceptionnel. J’en avais même conclu que le film était plutôt moyen…et pourtant, lorsque je l’ai visionné, j’ai compris ceux qui avaient banalisé ce film, mais je dois avouer que personnellement, j’ai été très agréablement surpris et que le tout m’a énormément plu.
Certes, il n’y a pas vraiment d’assimilation à faire avec les problèmes de la société italienne de l’époque où il a été tourné, et encore moins de message revendicatif ou politique. Cependant, plusieurs choses mises bout à bout m’ont fait passer 90 minutes très prenantes.
Tout d’abord le rythme : on prend son temps dans l’univers de Bill Kiowa (c’est le héros) ; en 5 ans on s’est entraîné oui, mais on a aussi salement cogité ; alors on respecte les étapes qu’on s’est imposées. Chacune de ses étapes méthodiques, pour ne pas dire maniaques (trouver un colt, récupérer son magot, recruter les fines gâchettes du pays, retrouver le meurtrier Elfego, l’attirer à l’endroit propice…) se font sans empressement, avec calme, avec une minutie et une patience à toute épreuve. D’ailleurs le film est entièrement basé sur le principe de cette dernière qualité : la patience, et il en faut pour décimer une armada entière dans les bois pendant toute une nuit. Pour moi, la scène la plus caractéristique de ce rythme calé sur la patience est celle où Bill guette et rampe derrière un arbre, tel un indien, pour poignarder un homme isolé.
Après le rythme, ce qui m’a frappé est la tristesse et la mélancolie très bien incarnées par Montgomery Ford. Jusqu’au bout, il n’esquissera pas l’amorce d’un sourire ou d’un bien être, même une fois le devoir accomplit. Il exécute sa vengeance avec haine certes, mais surtout par désespoir sans attendre un soulagement en retour. Cette particularité est très caractéristique des Westerns transalpins, mais ici j’ai trouvé qu’elle était poussée à l’extrême, car on a vraiment le sentiment que ses alliés qui ont assisté au duel, attendent, espèrent un mot ou un signe de la part de leur recruteur qui est fait de chair et de sang…et bien non.
Tout ceci est bien sûr renforcé par la musique, la photographie et surtout par les paysages hivernaux, profonds qui contiennent une certaine couleur marron ocre qui rappelle les textures automnales.
Enfin, la dernière chose qui m’a fait beaucoup aimé le film, c’est le nombre de trouvailles et j’avoue qu’en insérant un DVD de western dans mon lecteur, c’est ce que je recherche avant tout. La stupéfaction du jeune gardien de prison, la façon dont Bill attire Bud Spencer en bivouac pour lui parler, la partie de poker tricheur avec William Berger, la femme qui dans cette salle était la seule à ne pas sentir la tension montée, le verre écrasé dans la main, le shérif qui change d’avis sans se soucier de ce que deviendra sa ville avec un poivrot nouvellement promu, Elfego qui est rassuré lorsque Bud Spencer lui confirme qu’il a bien été touché par sa machette…etc…me sont apparut comme autant de petits détails qui montrent que les réalisateurs avaient la réelle volonté d’apporter une note personnelle à cette banale histoire de vengeance.
A mon avis, la scène où Bill achète son colt chez l’armurier est très significative de cet état d’esprit: le thème a déjà été traité par le maître Léone (et de quelle façon !), et on peut retrouver là aussi une touche d’humour et une certaine tension comme dans l’original, mais la comparaison s’arrête là : Bill est très calme contrairement à Tuco, il n’a pas l’intention de voler, mais d’acheter son arme, et l’issue est beaucoup plus tragique car ceux ne sont pas des mannequins qui mordent la poussière. La tension monte ici jusqu’au bout avec un vrai duel qui explose.
C’est cet ensemble de trouvailles qui m’a fait gambergé sur toutes les scènes, car du coup je me posais des questions sur l’issue de chacune d’elles : est-ce que William Berger ne va pas trahir à nouveau Bill, notamment dans les derniers instants ? Est-ce que les 4 gâchettes d’or ne vont pas perdre la tête à la vue de tout le pognon que trimbale Bill (un peu comme les compagnons de Django l’ont trahit dans « Django prépare ton cercueil ») ? Est-ce qu’Elfego ne va effectivement pas être plus rapide que Bill et si c’est le cas, est-ce que les 4 gâchettes d’or ne vont pas manquer à leur parole et descendre Elfego ?…etc
C’est d’ailleurs une des principales raisons pour laquelle j’apprécie les westerns spaghettis : il y a tant de scènes à l’issue surprenante que, bien souvent, j’ai du mal à imaginer ce qui va réellement se passer.
La contrepartie est que certains réalisateurs veulent à tous prix surprendre et tombe dans l’écueil de l’invraisemblance.
Je n’en ai pas vu de flagrantes dans « Les 5 gâchettes d’or »…toute proportion gardée car on est quand même dans un western all’italiana.
Il Ritardario- Sergio Sollima
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Re: Cinq gâchettes d'or - Oggi a me... domani a te! - 1967 - Tonino Cervi
- Spoiler:
- Où ça des spoilers ?????
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Edocle- Sergio Leone
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Age : 78
Localisation : 92 Spaghetti Ville
Re: Cinq gâchettes d'or - Oggi a me... domani a te! - 1967 - Tonino Cervi
Un film que j'avais vu gamin sur le cinq je crois, dont je gardais un excellent souvenir. D'ailleurs une scène m'avait marqué avec Bud Spencer (déjà que j'étais étonné de le voir dans un rôle sérieux), c'est lorsqu'il est attaché à une chaise et qu'il l'a brise. Ensuite retrouvé par hasard grâce au dvd, avec en plus tatsuya nakadai, un des acteurs phares du chambara, d'ailleurs un des fétiches de kurosawa avec toshiro mifune. Sur le dvd collector de "goyokin" tatsuya nakadai raconte quelques anecdotes sur ce film, qu'entre les prises les acteurs italiens parlaien fort, buvaient, mangeaient, rigolaient et lui resté tout calme dans son coin à cause de la barrière de la langue, et le réalisateur de râler "prenez exemple sur tatsuya nakadai, c'est un samouraï lui !".
Sinon ce film est quand même franchement sympa, pas le meilleur mais vraiment bien, mais suis-je objectif entre le bon souvenir et tatsuya nakadai qui est un acteur qui fait partie de mes préférés !
Sinon ce film est quand même franchement sympa, pas le meilleur mais vraiment bien, mais suis-je objectif entre le bon souvenir et tatsuya nakadai qui est un acteur qui fait partie de mes préférés !
Re: Cinq gâchettes d'or - Oggi a me... domani a te! - 1967 - Tonino Cervi
J'ai vu ce film il y a déjà quelques années. J'ai racheté le DVD de chez 7 il y a peu. Personnellement, si ce n'est pas un film qui m'a marqué, je me souviens avoir passé un très bon moment.
Si vous êtes curieux, n'hésitez pas, ça vaut la dépense de temps malgré tout!
Si vous êtes curieux, n'hésitez pas, ça vaut la dépense de temps malgré tout!
_________________
Le monde est beaucoup moins impressionnant vu d’en haut.
Munny- Francesco Degli Espinosa
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Date d'inscription : 09/06/2010
Age : 43
Localisation : Marche-en-Famenne (BELGIQUE)
Re: Cinq gâchettes d'or - Oggi a me... domani a te! - 1967 - Tonino Cervi
Je pense que c'est un promeneur...Breccio a écrit:Pour l'anecdote : à un moment donné, lors d'une scène où les héros chevauchent vers l'objectif, on voit derrière eux un objet qui passe par-delà la colline : soit la voile d'un navire, soit l'aileron d'un avion.
Sinon, il est sympa, ce petit film...
B
tepepa- Léon Klimosky
- Messages : 166
Date d'inscription : 13/05/2010
Re: Cinq gâchettes d'or - Oggi a me... domani a te! - 1967 - Tonino Cervi
Revu ce film ce soir.
C'est un des film que je revois de temps en temps. C'est pas un grand film, mais l'atmosphère est exactement ce que je cherche dans un spaghetti western, ça me rend l'idée que je suis à la maison ('home') avec mon genre préféré
Mois aussi je pense que c'est un promeneur dans l'arrière plan
C'est un des film que je revois de temps en temps. C'est pas un grand film, mais l'atmosphère est exactement ce que je cherche dans un spaghetti western, ça me rend l'idée que je suis à la maison ('home') avec mon genre préféré
Mois aussi je pense que c'est un promeneur dans l'arrière plan
scherpschutter- Messages : 9
Date d'inscription : 29/08/2010
Re: Cinq gâchettes d'or - Oggi a me... domani a te! - 1967 - Tonino Cervi
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Cinq gâchettes d'or - Oggi a me... domani a te! - 1967 - Tonino Cervi
affiche japonaise, thaï, turque ????
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Trinita- Sergio Leone
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Re: Cinq gâchettes d'or - Oggi a me... domani a te! - 1967 - Tonino Cervi
C'est une affiche thaïlandaise. Mais il y a également des idéogrammes sur la gauche, ça me semble être des idéogrammes chinois.
_________________
La bible ne fait pas le moine.
El Shura- Enzo G. Castellari
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Re: Cinq gâchettes d'or - Oggi a me... domani a te! - 1967 - Tonino Cervi
Une nouvelle affiche
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Trinita- Sergio Leone
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Re: Cinq gâchettes d'or - Oggi a me... domani a te! - 1967 - Tonino Cervi
benito movie
2 titres espagnols...
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Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Cinq gâchettes d'or - Oggi a me... domani a te! - 1967 - Tonino Cervi
Voilà ce qui arrive quand on achète les DVDs en coffret. On passe à côté de certains titres.
Malgré l'étonnant casting je ne suis pas entré dans ce récit. On ne sait pas trop à quels personnages s'attacher pour ce périple.
J'avoue que j'attendais beaucoup de Bud Spencer pour animer le groupe. D'ailleurs, il est compréhensible de voir trôner ce gaillard sur les affiches allemandes, connaissant le culte que lui voue le public allemand.
Mais comme dit plus haut, le personnage central est sombre et la mélancolie nous contamine.
Il me faudra le revoir...un peu plus tard. [img][/img]
Malgré l'étonnant casting je ne suis pas entré dans ce récit. On ne sait pas trop à quels personnages s'attacher pour ce périple.
J'avoue que j'attendais beaucoup de Bud Spencer pour animer le groupe. D'ailleurs, il est compréhensible de voir trôner ce gaillard sur les affiches allemandes, connaissant le culte que lui voue le public allemand.
Mais comme dit plus haut, le personnage central est sombre et la mélancolie nous contamine.
Il me faudra le revoir...un peu plus tard. [img][/img]
Re: Cinq gâchettes d'or - Oggi a me... domani a te! - 1967 - Tonino Cervi
Revu et ce film est assez plaisant à regarder.
Le scénario de Cervi et Argento est très classique mais bien mené avec quelques fulgurances comme la partie dans la forêt, la bagarre dans le relais de Madigan par exemple. Il y a aussi de bonnes idées avec l'emploi de la machette, la musique de Lavagnino, le flash back en noir et blanc...
Et puis j'aime le côté ténébreux de Montgomery Ford et le côté cool de William Berger en joueur de poker tricheur et malin.
Bref un bon western de série que j'aime revoir de temps à autre.
Le scénario de Cervi et Argento est très classique mais bien mené avec quelques fulgurances comme la partie dans la forêt, la bagarre dans le relais de Madigan par exemple. Il y a aussi de bonnes idées avec l'emploi de la machette, la musique de Lavagnino, le flash back en noir et blanc...
Et puis j'aime le côté ténébreux de Montgomery Ford et le côté cool de William Berger en joueur de poker tricheur et malin.
Bref un bon western de série que j'aime revoir de temps à autre.
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Trinita- Sergio Leone
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