Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
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Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
Django ( Brian kelly ) s'évade d'une prison mexicaine...mais il est capturé par les hommes de Quintana ( Folco Lulli ) , un riche propriétaire terrien . Ce dernier lui demande , en échange de 5.000 dollars , de lui ramener son fils Miguel ( Fabrizio Moroni ) qui a rejoint une bande de hors-la-loi dirigée par Le Major ( Keenan Wynn ) .
Grâce à un stratagème , Django parvient à faire prisonnier Miguel ...Il leur faut regagner le Mexique et traverser le désert . A cours d'eau , il doivent la vie à Jocelyne ( Erika Blanc ).
Parvenu à l'hacienda de Quintana , Django livre Miguel à son père qui , en fait n'est pas son père...Django intervient pour sauver Miguel d'une mort certaine et tous deux affrontent Quintana et ses hommes . Et voici qu'arrivent Le Major et ses hommes...
Bon western que j'avais vu en salle vers 1971 , puis revu grâce au DVD Koch de toute beauté . Et là , je viens de le revoir en français , grâce à un vieil enregistrement VHS , où le film est rebaptisé " Django le justicier ".
Et c'est du tout bon ! Le tandem Django/ Miguel n'est pas sans rappeler celui formé par Corbett/ Cuchillo dans " Colorado ".
Il y a beaucoup de scènes d'action et le tout est fort bien filmé.
Voici quelques captures :
Django / Brian Kelly , capturé par les hommes de Quintana .
Fabrizio Moroni
Keenan Wynn
Erika Blanc
Et voici les lieux de tournage sur lesquels JO ( que je remercie au passage pour toutes les précieuses informations qu'il nous délivre ...) pourra peut-être nous apporter ses lumières :
Amicalement...
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
J'étais pourtant sûr de l'avoir postée, mais non en fait
Tire Django, tire (Spara gringo, spara) de Bruno Corbucci avec Brian Kelly, 1968
Storia : Django (Brian Kelly) s’évade de prison et descend celui qui l’y a envoyé. Il rencontre Don Gutierrez (Folco Lulli) qui lui demande de lui ramener son fils qui a quitté la demeure familiale pour rejoindre la bande du Major, un célèbre hors-la-loi. Django accepte contre 5000 dollars : la chasse à l’homme commence…
Brian Kelly tourne ici son seul film, on le comprend : son faciès n’a rien notable, il est passe-partout, surtout dans le monde du western. Fabrizio Moroni joue le fils à retrouver, c’est un clone de Dean Reed (Dieu les crée, moi je les tue), mais en un peu moins dandy. Dans le rôle du Major, un vétéran du western US : Keenan Wynn, vu dans la Caravane de feu de Burt Kennedy entre autres. Il finira par là où il avait commencé (et cela se fait beaucoup aux USA) : par des apparitions en « guest » dans les séries télé.
Dans une moindre mesure on peut voir la belle rousse Erika Blanc, Rik Battaglia ou Folco Lulli en patriarche mexicain…
Derrière la caméra, nous retrouvons sous le pseudonyme de Frank B. Corlish Bruno Corbucci (le frère de… ), qui réalise son premier western : son meilleur à priori. Son Ringo e Gringo contro tutti était pourrissime, sa version des trois mousquetaires façon western est un peu meilleure, mais sans étincelles.
Revenons à nos moutons, on pourrait douter de qui est derrière la caméra tant le début film ressemble à un spaghetti classique avec de la violence, le thème chasseur de primes, etc… Mais, à la vue de la bande du Major, on a compris que Bruno Corbucci est irrécupérable : le Major a un canard apprivoisé, son sergent est un pochard, son aide de camp, un débile… Stop ! Rendez-nous la bande d’El Indio !
Heureusement, le film ne repose pas uniquement sur cette bande, et aussi sur l’antagonisme des deux héros qui se haïssent tout en s’estimant et en se sauvant la vie mutuellement. Leurs scènes d’amour vache sont parmi les plus réussies scénaristiquement parlant. Déplorons en revanche l’utilisation du poncif de la traversée du désert avec une gourde pour deux qui est franchement longuette.
Côté technique, la musique suit relativement bien le rythme du film, mais ne contient pas un de ces morceaux qui vous restent dans la tête même une semaine après la vision. Les paysages italiens et espagnols sont mis en valeur par la photographie de Rudolph Hasselman, qui signe pourtant sa seule participation à un film.
Pour finir, sachez tout de même que l’intrigue rebondit sur la fin par une jolie pirouette, qui permet d’assister à une bonne scène d’action intense, chorégraphiée à merveille.
Pour ce final ainsi que la technique, mais aussi à cause des bandits alla Trinita,
6.5/10
Où le voir : il existe un DVD allemand avec sous-titres anglais http://www.spaghetti-western.net/index.php/Spara,_Gringo,_spara et un DVD italien http://www.dvd.it/page/dett/froms/Y/arti/988222/nv/DVD.WES/spara_gringo_spara.html
Affiche (basse qualité)
Tire Django, tire (Spara gringo, spara) de Bruno Corbucci avec Brian Kelly, 1968
Storia : Django (Brian Kelly) s’évade de prison et descend celui qui l’y a envoyé. Il rencontre Don Gutierrez (Folco Lulli) qui lui demande de lui ramener son fils qui a quitté la demeure familiale pour rejoindre la bande du Major, un célèbre hors-la-loi. Django accepte contre 5000 dollars : la chasse à l’homme commence…
Brian Kelly tourne ici son seul film, on le comprend : son faciès n’a rien notable, il est passe-partout, surtout dans le monde du western. Fabrizio Moroni joue le fils à retrouver, c’est un clone de Dean Reed (Dieu les crée, moi je les tue), mais en un peu moins dandy. Dans le rôle du Major, un vétéran du western US : Keenan Wynn, vu dans la Caravane de feu de Burt Kennedy entre autres. Il finira par là où il avait commencé (et cela se fait beaucoup aux USA) : par des apparitions en « guest » dans les séries télé.
Dans une moindre mesure on peut voir la belle rousse Erika Blanc, Rik Battaglia ou Folco Lulli en patriarche mexicain…
Derrière la caméra, nous retrouvons sous le pseudonyme de Frank B. Corlish Bruno Corbucci (le frère de… ), qui réalise son premier western : son meilleur à priori. Son Ringo e Gringo contro tutti était pourrissime, sa version des trois mousquetaires façon western est un peu meilleure, mais sans étincelles.
Revenons à nos moutons, on pourrait douter de qui est derrière la caméra tant le début film ressemble à un spaghetti classique avec de la violence, le thème chasseur de primes, etc… Mais, à la vue de la bande du Major, on a compris que Bruno Corbucci est irrécupérable : le Major a un canard apprivoisé, son sergent est un pochard, son aide de camp, un débile… Stop ! Rendez-nous la bande d’El Indio !
Heureusement, le film ne repose pas uniquement sur cette bande, et aussi sur l’antagonisme des deux héros qui se haïssent tout en s’estimant et en se sauvant la vie mutuellement. Leurs scènes d’amour vache sont parmi les plus réussies scénaristiquement parlant. Déplorons en revanche l’utilisation du poncif de la traversée du désert avec une gourde pour deux qui est franchement longuette.
Côté technique, la musique suit relativement bien le rythme du film, mais ne contient pas un de ces morceaux qui vous restent dans la tête même une semaine après la vision. Les paysages italiens et espagnols sont mis en valeur par la photographie de Rudolph Hasselman, qui signe pourtant sa seule participation à un film.
Pour finir, sachez tout de même que l’intrigue rebondit sur la fin par une jolie pirouette, qui permet d’assister à une bonne scène d’action intense, chorégraphiée à merveille.
Pour ce final ainsi que la technique, mais aussi à cause des bandits alla Trinita,
6.5/10
Où le voir : il existe un DVD allemand avec sous-titres anglais http://www.spaghetti-western.net/index.php/Spara,_Gringo,_spara et un DVD italien http://www.dvd.it/page/dett/froms/Y/arti/988222/nv/DVD.WES/spara_gringo_spara.html
Affiche (basse qualité)
Dernière édition par Sartana le Sam 28 Avr - 10:07, édité 2 fois (Raison : amélioration du renvoi (lien) à "Ringo e Gringo")
Sartana- Enzo G. Castellari
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Re: Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
Finca El Romeral, San José (Nijar).
JO- Sergio Leone
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Re: Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
El Pozo del Capitan, (Nijar).
JO- Sergio Leone
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Re: Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
Finca El Romeral, San José (Nijar).
JO- Sergio Leone
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Re: Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
Las Salinas ? (Gergal), Almeria.
JO- Sergio Leone
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Re: Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
Las Salinas, Gergal (Almeria).
JO- Sergio Leone
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Re: Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
Probablement autour de l'ancienne route de Gergal, en remontant vers Gergal, après Las Salinas.
Dernière édition par JO le Dim 30 Mai - 19:11, édité 1 fois
JO- Sergio Leone
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Re: Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
Dunes de Las Amoladeras, Cabo de Gata (Almeria).
JO- Sergio Leone
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Re: Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
Soit le long de l'ancienne route de Gergal (début de Et pour quelques Dollars de Plus), soit le long de la N 340, en remontant vers Tabernas ?
JO- Sergio Leone
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Re: Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
Poblado del Oeste de Las Salinas, Gergal (Almeria).
JO- Sergio Leone
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Re: Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
Finca El Romeral, San José (Nijar).
JO- Sergio Leone
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Re: Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
Bravo , JO , pour l'identification de ces lieux de tournage épatants !
J'ajoute 2 captures de Brian Kelly:
J'ajoute 2 captures de Brian Kelly:
Dernière édition par Rex Lee le Jeu 19 Avr - 5:45, édité 1 fois
Rex Lee- Sergio Leone
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Il Ritardario- Sergio Sollima
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Re: Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
Merci amigo et grand bienvenue!
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Personne- Sergio Leone
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Re: Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
Je n'attendais pas grand chose de ce film et voilà, j'ai été agréablement surpris. Plusieurs scènes typique du western all'italiana bien tournées, une belle traversée du désert, des rebondissements, quelques bonnes trouvailles par ci par là et on ne voit pas passer les 93 min.
M Giusti annonce d'ailleurs une version longue de 100 min, ce qui expliquerait quelques scènes parfois qui ont eu l'air d'être réalisées à la "va-vite". Dommage car sans ce petit bémol, on était à deux doigt d'un excellent western.
A noter que les petits jeux de je t'abandonne et je te retrouve plus loin m'ont fait un peu penser à "La mort était au rendez-vous".
M Giusti annonce d'ailleurs une version longue de 100 min, ce qui expliquerait quelques scènes parfois qui ont eu l'air d'être réalisées à la "va-vite". Dommage car sans ce petit bémol, on était à deux doigt d'un excellent western.
A noter que les petits jeux de je t'abandonne et je te retrouve plus loin m'ont fait un peu penser à "La mort était au rendez-vous".
Il Ritardario- Sergio Sollima
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Re: Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
Vu à la cinémathèque... ça fait classe!! Un western européen de série, pas vraiment déshonorant, mais un peu longuet sur la fin, avec des bizarreries comme on aime ou on n'aime pas... Keenan Wynn et son canard par exemple. Notons cette amitié entre nos deux héros 'ami-ami'. Dommage le rôle d'Erika Blanc n'est pas développé. Des bonnes trouvailles au niveau des plans comme cette vue à la place du héros pendant qu'il est suspendu à un pont de singe...
Pour amateur de western européen pur et dur, mais ils y trouveront leur compte!!!
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Personne- Sergio Leone
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Re: Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
Bon, le chef à tout dit !
On s'est régalé comme au bon vieux temps....
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Edocle- Sergio Leone
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Personne- Sergio Leone
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Re: Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
moi jais bien aimée ce film vu sur vhs et sur dvd koch et jai mixé l'image koch et collé le son vhs résulta le top
donc je conseil de voir ce film absolument le début j'adore il a la lèpres
bon si vous vous le voir en vf dans de bonne condition il qu'un pas a franchir mp
donc je conseil de voir ce film absolument le début j'adore il a la lèpres
bon si vous vous le voir en vf dans de bonne condition il qu'un pas a franchir mp
sabata94- Léon Klimosky
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Localisation : sad hill
Re: Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
L'affiche française:
Et une fotobusta:
Et une fotobusta:
_________________
Richards- Sergio Corbucci
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Re: Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
ebay
_________________
Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Localisation : 19
Re: Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
Et oui, encore un film qui ne sortira certainement jamais en DVD en VF , un film parmi tant d'autres hélas. Et moi qui ne connais pas la langue italienne ni Anglaise , comme cela, c'est vite réglé. Je pense que de toute manière, il ne faut plus espérer grand chose chez " ARTUS " . Quand à " Sidonis ",n'en parlons pas, ils ne voient que par les westerns US et bien sur il ne faut surtout pas changer les choses . Et puis c'est vrais,comme par hasard nous sommes l'un des seul pays qui n'aimons pas les westerns italien parait-il ? . C'est curieux quant même. Dommage.
italiano- Joachim Romero Marchent
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Date d'inscription : 19/09/2013
Re: Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
_________________
Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Date d'inscription : 06/04/2010
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Re: Tire, Django, tire ! - Spara Gringo Spara - 1968 - Bruno Corbucci
Vu pour la première fois ce soir !
j'avais raté le DVD allemand, aujourd'hui épuisé, mais quand on est patient... j'ai fini par trouver le film tout récemment sur la Toile, en version originale (italienne) avec sous-titres français (mais le générique est écrit en allemand, alors c'est sûrement des fansubs ajoutés au DVD Koch Media)
Bref, comme certains l'ont dit, ça tient plus que la route, malgré quelques maladresses (la bagarre de saloon au comique mal dosé, les raccords de décor assez abrupts - quand on passe de l'aridité d'Almeria à un paysage tout verdoyant d'un plan à l'autre, ça choque!) mais ne pinaillons pas!
L'histoire est prenante jusqu'au bout et on a plaisir à suivre ce voyage plein de rebondissements où les deux héros, se sauvant de dangers divers l'un et l'autre tour à tour, passent de la défiance mutuelle à une solide amitié. Le genre de buddy-movie picaresque qu'un film plus prestigieux comme "le grand duel" a complètement échoué à faire, alors c'est à voir, pas de doute là dessus ! Et en plus on reconnait des lieux et des acteurs bien connus du genre alors le plaisir est d'autant plus grand !
j'avais raté le DVD allemand, aujourd'hui épuisé, mais quand on est patient... j'ai fini par trouver le film tout récemment sur la Toile, en version originale (italienne) avec sous-titres français (mais le générique est écrit en allemand, alors c'est sûrement des fansubs ajoutés au DVD Koch Media)
Bref, comme certains l'ont dit, ça tient plus que la route, malgré quelques maladresses (la bagarre de saloon au comique mal dosé, les raccords de décor assez abrupts - quand on passe de l'aridité d'Almeria à un paysage tout verdoyant d'un plan à l'autre, ça choque!) mais ne pinaillons pas!
L'histoire est prenante jusqu'au bout et on a plaisir à suivre ce voyage plein de rebondissements où les deux héros, se sauvant de dangers divers l'un et l'autre tour à tour, passent de la défiance mutuelle à une solide amitié. Le genre de buddy-movie picaresque qu'un film plus prestigieux comme "le grand duel" a complètement échoué à faire, alors c'est à voir, pas de doute là dessus ! Et en plus on reconnait des lieux et des acteurs bien connus du genre alors le plaisir est d'autant plus grand !
old timer- Sergio Leone
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