Tire si tu veux vivre - Se vuoi vivere... spara - Sergio Garrone - 1968
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antonio58
El Puro
stéphane
Rex Lee
Breccio
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Tire si tu veux vivre - Se vuoi vivere... spara - Sergio Garrone - 1968
Tiens, voilà un petit spagh de derrière les fagots qui, s’il ne fait pas partie des chefs-d’œuvre du genre, mérite quand même un accessit dans la catégorie « scénario le plus alambiqué » !
Bon, tâchons de présenter les choses dans l’ordre…
Soit un bled paumé du Far West où le shérif gras du bide, poivrot et corrompu a monté un plan d’enfer avec Stark (Ken Wood, alias Giovanni Cianfriglia), le pistolero du coin. On organise une partie de poker avec Stark, un dealer dans la combine et deux pigeons. Le dealer se débrouille pour que chacun des deux pigeons ait des as en surnombre, et ça finit invariablement par un échange de coups de feu. Le pigeon survivant est obligatoirement un criminel, et Stark le descend et touche la récompense. Un plan d’enfer, vous dis-je.
Jusqu’au jour où Johnny Dark (Sean Todd, alias Ivan Rassimov) débarque en ville et joue le rôle du pigeon n° 1. Pas dupe, il abat certes le pigeon n° 2 mais loge aussi divers morceaux de plomb dans la viande de Stark & Co — sous les yeux d’une gravure de mode du nom de Donovan (Rick Garrett, alias Riccardo Garrone, le frère du metteur en scène, qui ricane bêtement).
Bon, Stark est pas content et, à peine rétabli, il fonce à la poursuite de notre héros, qu’il réussit à blesser. Et c’est là que tout commence à basculer, passque Johnny, sans doute victime d’un traumatisme, se retrouve projeté dans un western all’americana genre Shane, mais en plus velu. Il est recueilli par une famille de pionniers, avec le père liseur de Bible et fumeur de pipe, la fille adolescente travaillée par ses hormones et le fils genre morpion opportuniste (« Tu crois que je pourrai avoir son cheval s’il crève ? »). La famiglia de pionniers étant bien entendu en butte au harcèlement d’un notable pourri, Marlow (Tom Felleghy), qui prépare l’avènement du chemin de fer.
Notre z’héros est comme un coq en pâte dans ce cocon, mais lorsqu’il apprend que l’immonde Stark continue de le traquer, il décide de se faire rare et file se cacher. Big mistake, parce que c’est le moment que choisit l’immonde vil répugnant Marlow pour envoyer Alvarez, le truand mexicain de service (Franco Cobianchi, également assistant réalisateur du machin), exterminer la famiglia. Et je rigole pas, tout le monde y passe, y compris Il piccolo Franco Cecconi).
À partir de là, ça dégénère grave, avec chacun des protagonistes faisant une alliance de circonstance avec la première ordure venue qui peut l’aider à faire avancer sa cause. Je rentre pas dans les détails, c’est carrément inextricable.
Tout ce que je peux vous donner, c’est des éléments sur les diverses épiphanies que vivent les protagonistes :
— la fille des pionniers (Isabella Savona — « Dieu ! que la femme est belle au sortir de l’enfance ! » comme disait Desproges) — se retrouve seule héritière du ranch familial, et donc en butte aux assiduités du méchant Tom Felleghy ;
— Donovan est réduit à sa plus simple expression(ie il est mis à poil, et je plaisante pas), ce qui ouvre des horizons sur la famille Garrone ;
— Giovanni Ciangriglia trouve ici son meilleur rôle et anticipe de bien des façons le personnage de Terminator ;
— les décors romains que nous aimons tous sont ici sublimés, en particulier cette fameuse carrière sartanesque.
Je me garderai bien de négliger le décollage surréaliste qui fait le principal intérêt du film. Pour une raison totalement incompréhensible, Johnny et Donovan se lient d’amitié avec le maréchal-ferrant de la ville, qui collectionne les chevaux d’outlaws descendus dans l’exercice de leurs fonctions. Dans son écurie, il présente fièrement les montures de Ringo, Killer Kid, Arizona Colt, Gringo, Django et McGregor (sans parler de celle de Billy the Kid, dont on vient d’apprendre le trépas).
Quand vient la fin, je vous rassure, tout est rentré dans l’ordre : Johnny épouse la cagole pleine aux as, Donovan fuit devant les assiduités de la prostipute qui veut l’épouser, tous les méchants se sont fait flinguer et les poivrots sympa ont droit à la tournée générale. Sergio Garrone range ses zooms et son frangin en attendant son prochain film, Vasco & Mancuso rangent leur partition, les chevaux fourbus rentrent à l’écurie, et moi, moi dans mon coin, je me dis que le western spaghetti, c’est vraiment bien.
Sic transit gloria mundi, amen !
B
Bon, tâchons de présenter les choses dans l’ordre…
Soit un bled paumé du Far West où le shérif gras du bide, poivrot et corrompu a monté un plan d’enfer avec Stark (Ken Wood, alias Giovanni Cianfriglia), le pistolero du coin. On organise une partie de poker avec Stark, un dealer dans la combine et deux pigeons. Le dealer se débrouille pour que chacun des deux pigeons ait des as en surnombre, et ça finit invariablement par un échange de coups de feu. Le pigeon survivant est obligatoirement un criminel, et Stark le descend et touche la récompense. Un plan d’enfer, vous dis-je.
Jusqu’au jour où Johnny Dark (Sean Todd, alias Ivan Rassimov) débarque en ville et joue le rôle du pigeon n° 1. Pas dupe, il abat certes le pigeon n° 2 mais loge aussi divers morceaux de plomb dans la viande de Stark & Co — sous les yeux d’une gravure de mode du nom de Donovan (Rick Garrett, alias Riccardo Garrone, le frère du metteur en scène, qui ricane bêtement).
Bon, Stark est pas content et, à peine rétabli, il fonce à la poursuite de notre héros, qu’il réussit à blesser. Et c’est là que tout commence à basculer, passque Johnny, sans doute victime d’un traumatisme, se retrouve projeté dans un western all’americana genre Shane, mais en plus velu. Il est recueilli par une famille de pionniers, avec le père liseur de Bible et fumeur de pipe, la fille adolescente travaillée par ses hormones et le fils genre morpion opportuniste (« Tu crois que je pourrai avoir son cheval s’il crève ? »). La famiglia de pionniers étant bien entendu en butte au harcèlement d’un notable pourri, Marlow (Tom Felleghy), qui prépare l’avènement du chemin de fer.
Notre z’héros est comme un coq en pâte dans ce cocon, mais lorsqu’il apprend que l’immonde Stark continue de le traquer, il décide de se faire rare et file se cacher. Big mistake, parce que c’est le moment que choisit l’immonde vil répugnant Marlow pour envoyer Alvarez, le truand mexicain de service (Franco Cobianchi, également assistant réalisateur du machin), exterminer la famiglia. Et je rigole pas, tout le monde y passe, y compris Il piccolo Franco Cecconi).
À partir de là, ça dégénère grave, avec chacun des protagonistes faisant une alliance de circonstance avec la première ordure venue qui peut l’aider à faire avancer sa cause. Je rentre pas dans les détails, c’est carrément inextricable.
Tout ce que je peux vous donner, c’est des éléments sur les diverses épiphanies que vivent les protagonistes :
— la fille des pionniers (Isabella Savona — « Dieu ! que la femme est belle au sortir de l’enfance ! » comme disait Desproges) — se retrouve seule héritière du ranch familial, et donc en butte aux assiduités du méchant Tom Felleghy ;
— Donovan est réduit à sa plus simple expression(ie il est mis à poil, et je plaisante pas), ce qui ouvre des horizons sur la famille Garrone ;
— Giovanni Ciangriglia trouve ici son meilleur rôle et anticipe de bien des façons le personnage de Terminator ;
— les décors romains que nous aimons tous sont ici sublimés, en particulier cette fameuse carrière sartanesque.
Je me garderai bien de négliger le décollage surréaliste qui fait le principal intérêt du film. Pour une raison totalement incompréhensible, Johnny et Donovan se lient d’amitié avec le maréchal-ferrant de la ville, qui collectionne les chevaux d’outlaws descendus dans l’exercice de leurs fonctions. Dans son écurie, il présente fièrement les montures de Ringo, Killer Kid, Arizona Colt, Gringo, Django et McGregor (sans parler de celle de Billy the Kid, dont on vient d’apprendre le trépas).
Quand vient la fin, je vous rassure, tout est rentré dans l’ordre : Johnny épouse la cagole pleine aux as, Donovan fuit devant les assiduités de la prostipute qui veut l’épouser, tous les méchants se sont fait flinguer et les poivrots sympa ont droit à la tournée générale. Sergio Garrone range ses zooms et son frangin en attendant son prochain film, Vasco & Mancuso rangent leur partition, les chevaux fourbus rentrent à l’écurie, et moi, moi dans mon coin, je me dis que le western spaghetti, c’est vraiment bien.
Sic transit gloria mundi, amen !
B
Re: Tire si tu veux vivre - Se vuoi vivere... spara - Sergio Garrone - 1968
Sean Todd [ Ivan Rassimov ]
Ken Wood
Riccardo Garrone [ Rick Garret ]
Franco Cobianchi D'este
Rex Lee- Sergio Leone
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Tire si tu veux vivre - Se vuoi vivere... spara - Sergio Garrone - 1968
Sean Todd (Ivan Rassimov)
Ken Wood Sean Todd
Riccardo Garrone
Franco Cobianchi D'este
stéphane- Michele Lupo
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Re: Tire si tu veux vivre - Se vuoi vivere... spara - Sergio Garrone - 1968
Ivan Rassimov (as Sean Todd)
Giovanni Cianfriglia (as Ken Wood)
Riccardo Garrone
Isabella Savona
El Puro- Michele Lupo
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antonio58- Messages : 5
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Re: Tire si tu veux vivre - Se vuoi vivere... spara - Sergio Garrone - 1968
Breccio en a parlé... bien parlé...
Rien à ajouter pour le moment !
C'est effectivement du lourd, du très lourd !
Un western dans une superbe copie italienne tout en numérique !
Et ça cause, ça cause, et que je te monte des combines les uns avec les autres,
les uns contre les autres... Purée t'as intérêt à pas t'éloigner de
ton "Robert et Collins", ou alors la cousine nous mijote le risotto del Lago Maggiore
et on regarde le film en famille !
Juste pour vous mettre l'eau à la bouche je vous ai chargé le générique...
Entièrement tourné chez Ellios à Rome, du spaghetti pur et dur en somme !
Promis juré, je fais vite....
Dernière édition par Edocle le Mar 7 Fév - 19:04, édité 1 fois
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Edocle- Sergio Leone
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Re: Tire si tu veux vivre - Se vuoi vivere... spara - Sergio Garrone - 1968
Très sympa ce générique.
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Mieux vos être mort et cool que mort et pas cool (Mickey Rourke dans Harley Davidson & l'homme aux santiags)
Trinita- Sergio Leone
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Re: Tire si tu veux vivre - Se vuoi vivere... spara - Sergio Garrone - 1968
Ouais ! alors continuons-le en images...Trinita a écrit:Très sympa ce générique.
A suivre...
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Edocle- Sergio Leone
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Re: Tire si tu veux vivre - Se vuoi vivere... spara - Sergio Garrone - 1968
Une partie des autres rôles :
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Edocle- Sergio Leone
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Re: Tire si tu veux vivre - Se vuoi vivere... spara - Sergio Garrone - 1968
Vous avez vu au-dessus comme elle est mignonne...
Je n'ai pas résisté, je vous ai mis en ligne :
La course d'Isabella à travers les champs
et pour faire bon poids, deux autres tronches :
Je n'ai pas résisté, je vous ai mis en ligne :
La course d'Isabella à travers les champs
et pour faire bon poids, deux autres tronches :
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Edocle- Sergio Leone
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Re: Tire si tu veux vivre - Se vuoi vivere... spara - Sergio Garrone - 1968
.... et ça continue :
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Edocle- Sergio Leone
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Localisation : 92 Spaghetti Ville
Re: Tire si tu veux vivre - Se vuoi vivere... spara - Sergio Garrone - 1968
Et tout ce beau monde évolue ici :
mais il y a encore ceux-là :
mais il y a encore ceux-là :
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Edocle- Sergio Leone
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Localisation : 92 Spaghetti Ville
Re: Tire si tu veux vivre - Se vuoi vivere... spara - Sergio Garrone - 1968
Breccio a écrit:
Je me garderai bien de négliger le décollage surréaliste qui fait le principal intérêt du film. Pour une raison totalement incompréhensible, Johnny et Donovan se lient d’amitié avec le maréchal-ferrant de la ville, qui collectionne les chevaux d’outlaws descendus dans l’exercice de leurs fonctions. Dans son écurie, il présente fièrement les montures de Ringo, Killer Kid, Arizona Colt, Gringo, Django et McGregor (sans parler de celle de Billy the Kid, dont on vient d’apprendre le trépas).
B
Pour une raison tout à fait inexplicable cette séquence de 2'30 ne figure pas dans la version italienne !
Mais vous connaissez le sérieux de nos fournisseurs, cette séquence figurant dans la version anglaise,
hop elle a été réintégrée en langue anglaise et c'est cette version qui est passé à la TV italienne.
Elle n'explique pas grand chose, mais ajoute énormément au baroque du film !
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Edocle- Sergio Leone
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Re: Tire si tu veux vivre - Se vuoi vivere... spara - Sergio Garrone - 1968
Voilà quelques captures de la célèbre carrière ou furent tournés tant de films !
Située à Rome pas très loin de Cinecitta, elle était bien pratique.
Située à Rome pas très loin de Cinecitta, elle était bien pratique.
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Edocle- Sergio Leone
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Re: Tire si tu veux vivre - Se vuoi vivere... spara - Sergio Garrone - 1968
pour compléter :
Quand une vulgaire cabane de chantier devient un repère de truand
... ben et lui, je ne sais pas qui c'est....
Quand une vulgaire cabane de chantier devient un repère de truand
... ben et lui, je ne sais pas qui c'est....
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Edocle- Sergio Leone
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Date d'inscription : 06/04/2010
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Re: Tire si tu veux vivre - Se vuoi vivere... spara - Sergio Garrone - 1968
Breccio a écrit:
Quand vient la fin, je vous rassure, tout est rentré dans l’ordre : Johnny épouse la cagole pleine aux as, Donovan fuit devant les assiduités de la prostipute qui veut l’épouser, tous les méchants se sont fait flinguer et les poivrots sympa ont droit à la tournée générale. Sergio Garrone range ses zooms et son frangin en attendant son prochain film, Vasco & Mancuso rangent leur partition, les chevaux fourbus rentrent à l’écurie, et moi, moi dans mon coin, je me dis que le western spaghetti, c’est vraiment bien.
Et voilà, je suis d'accord avec Breccio,
des plans magnifiques :
... et tous les méchants sont morts !
FINE
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Edocle- Sergio Leone
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Re: Tire si tu veux vivre - Se vuoi vivere... spara - Sergio Garrone - 1968
Je viens de le voir et je me suis régalé.
C'est vraiment un bon western que je recommande vivement!
Et hop, des captures pour faire plaisir à Edocle:
La Mexicaine Paquita, personnage interprété par...
...Cristina Penz
Luciano Bonanni: l'ivrogne.
Franco Ukmar: un homme de Slim.
Et ces deux-là, ils ne sont présents que quelques secondes à l'écran:
Mimmo Poli: un barman.
John Bartha: un commerçant.
C'est vraiment un bon western que je recommande vivement!
Et hop, des captures pour faire plaisir à Edocle:
La Mexicaine Paquita, personnage interprété par...
...Cristina Penz
Luciano Bonanni: l'ivrogne.
Franco Ukmar: un homme de Slim.
Et ces deux-là, ils ne sont présents que quelques secondes à l'écran:
Mimmo Poli: un barman.
John Bartha: un commerçant.
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Localisation : 19
Re: Tire si tu veux vivre - Se vuoi vivere... spara - Sergio Garrone - 1968
Je cherche la VF de ce film. Est t' il sorti en vhs ?, passer sur une chaine câblée en France ?
joyan- Léon Klimosky
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Age : 38
Re: Tire si tu veux vivre - Se vuoi vivere... spara - Sergio Garrone - 1968
Jamais sorti en VHS ni passé à la TV en France...joyan a écrit:Je cherche la VF de ce film. Est t' il sorti en vhs ?, passer sur une chaine câblée en France ?
Quand à la VF ( voix françaises, on ne sais pas où elle est, en son temps le film
a été distribué par les films Leitienne...)
pour le reste...
On le trouve aussi en espagnol, en allemand... mais sans ST...
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Edocle- Sergio Leone
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Sitting Bull- Sergio Leone
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Re: Tire si tu veux vivre - Se vuoi vivere... spara - Sergio Garrone - 1968
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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