Goubbiah, mon amour - 1956 - Robert Darène

[cyberpunk]

"En Yougoslavie, en 1955, sur la côte dalmate, le jeune pêcheur d'éponges Goubbiah s'éprend de Trinida, une jeune gitane, que son père Joao a promise depuis l'enfance à Peppo, un ivrogne et membre de la tribu.
Malgré le refus du père et les avances de Carola, payé par celui-ci pour l'éloigner de Trinida, Goubbiah ne renonce pas à cet amour et pour se rapprocher de celle qu'il aime part travailler sur un chantier dans les montagnes.
Le jour même du mariage, Goubbiah décide d'affronter la tribu des gitans et, fortement armé, il oblige Joao à le marier à sa fille..."

Une curiosité que j'ai pas encore vu; le film est apparement sorti en dvd; Jean Marais en pêcheur yougoslave sur un scénario de René Barjavel et de Jean Genet ça doit valoir son pesant de cacahouettes......

[Hombre]

Une curiosité que j'ai pas encore vu; le film est apparement sorti en dvd; Jean Marais en pêcheur yougoslave sur un scénario de René Barjavel et de Jean Genet ça doit valoir son pesant de cacahouettes....[/img]

Je crois même que ça vaudrait un post à part!

[cyberpunk]

vi j'ai averti Le BIG BOSS

[Personne]

Voilà, je pense que c'est mieux ici.

[JO]

Avec beaucoup d'autres titres LCJ, sur mes étagère, mais toujours pas vu.

Par contre, les films de Robert Darène, visionnés, sont souvent intéressants, de mémoire.

Il y a un autre Jean Marais, très rare, de Georges Rouquier, sorti chez Les documents cinématographiques, SOS Noronha -cet éditeur très recommandable a sorti tout Rouqier, entre autres raretés comme les films de Jean Painlevé, Espoir de Malraux et les Rouletabille de Marcel L' Herbier. (Mais ils n'ont pas tout mis en DVD de leur VHS, manque encore , parmi d'autres, il me semble,  le beau Trésor de Hommes bleus avec Lex Barker.

[cyberpunk]

Vu !!! Une curiosité effectivement que ce mélo d'aventures où Jean Marais avec son sourire "ultra brite" et montrant sa tablette de chocolat combat pour que sa belle gitane ne soit pas marier à un poivrot; le cinémascope met bien en valeurs les paysages dalmates et le film se la joue un peu western avec la fuite des amants maudits à cheval et Jean Marais joue du fusil et de la dynamite (enfin bon, on est pas dans "Il était une fois la révolution"); on a droit a une scène gratuite où la belle gitane se baigne en robe dans l'Adriatique avec effet tee shirt mouillé, une musique de Joseph Kosma (elle aurait pu servir pour une chanson) accompagne ce joli film au charme un peu désuet mais à découvrir...

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