Les indomptés (Mobsters) de Michael Karbelnikoff - 1991
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Les indomptés (Mobsters) de Michael Karbelnikoff - 1991
De : Michael Karbelnikoff
Avec : Christian Slater, Costas Mandylor, Richard Grieco, Patrick Dempsey, Chris Penn, Michael Gambon, ...
Film racontant l’ascension de Lucky Luciano et de ses amis Lanski, Costello et Siegel, « Les indomptés » est le type même du film difficile à évaluer.
Mon premier sentiment – certainement celui que je devrais privilégier - c’est qu’il s’agit d’une belle reconstitution, une réalisation bien menée avec d’excellents acteurs.
Le second sentiment c’est que le film a un côté « Canada dry » (logique puisqu’il se déroule à la prohibition), c’est-à-dire que : « Ça a la couleur du ‘‘Parrain’’, le goût du ‘‘Parrain’’… Mais ce n’est pas le ‘‘Parrain’’. »
C’est sûr que comparé au film de Coppola, les « Indomptés » paraissent un peu légers. Pourtant y a tout pour plaire :
D’un côté, des jeunes, beaux et décidés, qui veulent tracer à tout prix (interprétés par des comédiens qui promettaient à l’époque : Christian Slater, Patrick Dempsey, Richard Grieco, Costas Mandylor et Lara Flynn Boyle)
De l’autre, des parrains redoutables qui s’accrochent à leurs fauteuils de chefs (interprétés par les brillantissimes Francis Murray Abraham, Michael Gambon et Antony Quinn).
Et pour réussir dans ce jeu de pouvoir, on négocie, on s’embrasse et on se flingue à tout va…
Tout de même, le concept du film ressemble fortement à celui des « Young guns » (où Slater figurait déjà, comme par hasard) :
- Rassembler plusieurs jeunes espoirs du cinéma américain et les confronter à quelques vieilles gloires.
- Garder la sauce : jeunes rebelles contre vieux exploiteurs.
- S’inspirer de personnages de la mythologie américaine (Lucky Luciano remplaçant Billy the Kid).
- Alterner les scènes posées (complot et de romance) avec des scènes enlevées (assassinats et règlements de compte).
Donc, un film à voir ou à revoir, en apéritif à « Il était une fois en Amérique ».
Voir Richard Grieco (Bugsy Siegel) gominé entamer quelques pas de danse, Nicholas Sadler (Mad dog Coll) mitraillant ses adversaires en éclatant de rire ou Anthony Quinn ( Joe Masseria) s’écraser, raide mort, sur son plat de pâtes, tout cela vaut quand même largement le coup d’œil…
Avec : Christian Slater, Costas Mandylor, Richard Grieco, Patrick Dempsey, Chris Penn, Michael Gambon, ...
Film racontant l’ascension de Lucky Luciano et de ses amis Lanski, Costello et Siegel, « Les indomptés » est le type même du film difficile à évaluer.
Mon premier sentiment – certainement celui que je devrais privilégier - c’est qu’il s’agit d’une belle reconstitution, une réalisation bien menée avec d’excellents acteurs.
Le second sentiment c’est que le film a un côté « Canada dry » (logique puisqu’il se déroule à la prohibition), c’est-à-dire que : « Ça a la couleur du ‘‘Parrain’’, le goût du ‘‘Parrain’’… Mais ce n’est pas le ‘‘Parrain’’. »
C’est sûr que comparé au film de Coppola, les « Indomptés » paraissent un peu légers. Pourtant y a tout pour plaire :
D’un côté, des jeunes, beaux et décidés, qui veulent tracer à tout prix (interprétés par des comédiens qui promettaient à l’époque : Christian Slater, Patrick Dempsey, Richard Grieco, Costas Mandylor et Lara Flynn Boyle)
De l’autre, des parrains redoutables qui s’accrochent à leurs fauteuils de chefs (interprétés par les brillantissimes Francis Murray Abraham, Michael Gambon et Antony Quinn).
Et pour réussir dans ce jeu de pouvoir, on négocie, on s’embrasse et on se flingue à tout va…
Tout de même, le concept du film ressemble fortement à celui des « Young guns » (où Slater figurait déjà, comme par hasard) :
- Rassembler plusieurs jeunes espoirs du cinéma américain et les confronter à quelques vieilles gloires.
- Garder la sauce : jeunes rebelles contre vieux exploiteurs.
- S’inspirer de personnages de la mythologie américaine (Lucky Luciano remplaçant Billy the Kid).
- Alterner les scènes posées (complot et de romance) avec des scènes enlevées (assassinats et règlements de compte).
Donc, un film à voir ou à revoir, en apéritif à « Il était une fois en Amérique ».
Voir Richard Grieco (Bugsy Siegel) gominé entamer quelques pas de danse, Nicholas Sadler (Mad dog Coll) mitraillant ses adversaires en éclatant de rire ou Anthony Quinn ( Joe Masseria) s’écraser, raide mort, sur son plat de pâtes, tout cela vaut quand même largement le coup d’œil…
hugues- Enzo G. Castellari
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Date d'inscription : 12/04/2010
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