rock progressif et western italien
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rock progressif et western italien
Chroniques de la trilogie "The spaghetti Epic" parues dans Prog-résiste, magazine en langue française dédié au rock progressif (et affinités)
http://progresiste.com/
THE SPAGHETTI EPIC
« Six Modern Bands For Six ’70 Prog Suites »
Musea – 63’46 et 70’24 – Ita / Fin ‘04
Style : progressif
Musea et Colossus ont toujours des idées originales. Après Kalevala, voici qu’ils revisitent le western italien avec « Il était une fois dans l’Ouest », un des chefs d’œuvre de Sergio Leone. A l’instar d’Ennio Morricone, les six formations ont choisi chacune un personnage principal du film ainsi que le thème de l’Ouest comme source d’inspiration musicale. Autant le dire de suite, les compositions créées par les six groupes Randone, Tilion, Taproban (Italie), La Voce del Vento (Guy Manning et Andy Tillison, UK), Haikira (Finlande) et Trion (Hollande) ne font pas référence à la musique de Morricone (à l’exception de Randone qui aborde quelque peu le thème de « L’Harmonica »). J’ai donc été déçu, à la première écoute en tout cas, car je pensais trouver quelques clins d’œil au génie Morricone. Il n’en est rien et ce sont donc les textes des chansons qui font le lien avec l’histoire. Musicalement, cela représente deux heures de musique ! Comptez donc une vingtaine de minutes par groupe, et exclusivement du progressif classique, seventies et orienté souvent vers l’école italienne. Piano, Minimoog, Mellotron, et autres synthés analogiques, une bonne vieille Fender, une guitare 12 cordes sont donc les principaux protagonistes de cette épopée en 6 chapitres. Les amateurs vont être servis, c’est clair, quoique les compositions sont assez inégales : je retiendrai essentiellement «Jill » de Randone, du pur progressif italien ; « Harmonica », compo de toute beauté emmené par un Andy Tillison (PO 90 Degrees, Tangent) et un Guy Manning (Tangent) inspirés, soli de claviers et de guitare acoustique garantis ; et enfin, le très surprenant (et instrumental) « Frank » interprété par les Hollandais de Trion dont notre ami Edo Spanninga fait partie : arpèges de guitare, nappes de mellotron à vous faire frissonner, et un solo de guitare mémorable pour clôturer. Les compositions consacrées à Jill, Morton, Frank et à l’Ouest témoignent également de cette volonté à sonner vintage à tout prix, sont de bon niveau mais ont moins attiré mon attention. Côté déco, un livret très bien fourni en infos sur le western italien, Sergio Leone, mais aussi sur le synopsis du film illustré par des dessins en noir et blanc réalisés à partir de plans du film. Finalement, un bel objet honorant LE Cassique parmi les Classiques, ainsi que le grand Sergio dont Colossus propose déjà « Le Colosse de Rhodes », et prépare « Spaghetti Epic 2 » consacré à « Le Bon, la Brute et le Truand ». Bref, une démarche artistique permettant de se replonger dans les classiques du cinéma italien tout en savourant du matériel progressif totalement inédit. Une musique de genre pour un cinéma de genre : la boucle est bouclée.
http://www.colossus.fi/
Fred
THE SPAGHETTI EPIC 2
The Good, the Bad and the Ugly
Musea – 76’33 – Fin 07
Style : progressif seventies
Pour rappel, le projet de Colossus est de permettre à des groupes progressifs d’écrire une composition personnelle en rapport avec un film du cinéma. Cette fois, on revient au western italien (pour mon plus grand bonheur, car c’est également une autre de mes passions) avec « Le bon, la Brute et le Truand », chef d’œuvre de Sergio Leone clôturant sa trilogie des dollars. L’histoire est partagée en trois et centrée successivement sur les personnages campés par Estwood, Van Cleef et Wallach. Comme groupes, nous retrouvons Randone, La Voce Del Vento et Tilion qui avaient participé tous trois au Spaghetti Epic 1 consacré à « Il était une fois dans l’Ouest » (Prog-résiste 41). A nouveau, il sera inutile d’aller rechercher une quelconque relation avec la musique composée par Morricone, à l’exception de Randone qui ouvre sa compo par le cri du coyote, et introduit la mélodie archiconnue du western. Il s’agit donc essentiellement de progressif seventies école italienne, symphonique et singularisé par la présence de nombreux claviers analogiques (Hammond, Moog,…). Randone réussit une très belle compo alors que Tillion se perd dans des développements dissonants, torturés et bien trop longs. Quant à La Voce Del Vento, il s’agit d’Andy Tillison et Guy Manning qui, plus connus pour leurs travaux dans The Tangent, s’écartent quelque peu de la saveur progressive italienne. Soyons clairs, cet album n’est pas le meilleur des projets, « Colossus of Rhodes » (Prog-résiste 41) par exemple était bien plus abouti. Personnellement, étant à la fois fan de western all’italiana ET de prog (je me sens bien seul du coup ), c’est un objet que je suis heureux de posséder. Si ce n’est pas votre cas, on peut reconnaître que le concept artistique est intéressant et que ce disque reste une curiosité à découvrir.
http://www.colossus.fi
Fred
THE SPAGHETTI EPIC 3
The Great Silence
Musea – 62’ – Fin ‘08
Style : progressif
Voici la dernière partie de la trilogie « Spaghetti Epic » imaginée par Colossus, une association finlandaise dont le projet a été de proposer à des groupes de rock progressif orienté seventies l’écriture d’une composition en s’inspirant de célèbres westerns « all italiana », branche du cinéma de genre italien qui connut une activité intense entre, grosso modo, 1964 et 1975, cette période incluant également l’apogée du rock progressif. C’est cette fois [Le grand silence], un des chefs d’œuvre de Sergio Corbucci et du western européen dans son ensemble qui est au centre de cette galette. Comme d’habitude, on appréciera un livret très soigné contenant, en anglais, le synopsis du film et une critique du film replacé dans son contexte d’époque et illustré par des extraits de story board. Côté musique, trois groupes sont mis à l’honneur et non des moindres. Little Tragedies, formation russe assimilée à Emerson Lake and Palmer très prolifique actuellement sur la scène prog, ouvre l’album avec [The Voice of Silence]. Musicalement, les claviers, et le moog principalement, sont au centre de la composition. Le thème principal du film, joué par des claviers analogiques, surprendra les connaisseurs. Direction Hongrie avec {Yesterdays}, un groupe pratiquant un progressif complexe, vintage, parfois jazzy ou médiéval et teinté de Van der Graaf Generator. Enfin, c’est avec les Italiens de Noise Overtones Therapy que l’album se clôt. Passages épiques emmenés par le Mellotron et structures rythmiques alambiquées trancheront avec des passages acoustiques plus dramatiques. Une fois encore, ce sont bien plus les amateurs de prog qui apprécieront ce genre d’essai plutôt que les fans de western spaghetti qui ne trouveront pratiquement aucun lien avec leur genre de prédilection et ce film en particulier. Quoi qu’il en soit, une belle démarche artistique et musicale à conseiller.
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Fred
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THE SPAGHETTI EPIC
« Six Modern Bands For Six ’70 Prog Suites »
Musea – 63’46 et 70’24 – Ita / Fin ‘04
Style : progressif
Musea et Colossus ont toujours des idées originales. Après Kalevala, voici qu’ils revisitent le western italien avec « Il était une fois dans l’Ouest », un des chefs d’œuvre de Sergio Leone. A l’instar d’Ennio Morricone, les six formations ont choisi chacune un personnage principal du film ainsi que le thème de l’Ouest comme source d’inspiration musicale. Autant le dire de suite, les compositions créées par les six groupes Randone, Tilion, Taproban (Italie), La Voce del Vento (Guy Manning et Andy Tillison, UK), Haikira (Finlande) et Trion (Hollande) ne font pas référence à la musique de Morricone (à l’exception de Randone qui aborde quelque peu le thème de « L’Harmonica »). J’ai donc été déçu, à la première écoute en tout cas, car je pensais trouver quelques clins d’œil au génie Morricone. Il n’en est rien et ce sont donc les textes des chansons qui font le lien avec l’histoire. Musicalement, cela représente deux heures de musique ! Comptez donc une vingtaine de minutes par groupe, et exclusivement du progressif classique, seventies et orienté souvent vers l’école italienne. Piano, Minimoog, Mellotron, et autres synthés analogiques, une bonne vieille Fender, une guitare 12 cordes sont donc les principaux protagonistes de cette épopée en 6 chapitres. Les amateurs vont être servis, c’est clair, quoique les compositions sont assez inégales : je retiendrai essentiellement «Jill » de Randone, du pur progressif italien ; « Harmonica », compo de toute beauté emmené par un Andy Tillison (PO 90 Degrees, Tangent) et un Guy Manning (Tangent) inspirés, soli de claviers et de guitare acoustique garantis ; et enfin, le très surprenant (et instrumental) « Frank » interprété par les Hollandais de Trion dont notre ami Edo Spanninga fait partie : arpèges de guitare, nappes de mellotron à vous faire frissonner, et un solo de guitare mémorable pour clôturer. Les compositions consacrées à Jill, Morton, Frank et à l’Ouest témoignent également de cette volonté à sonner vintage à tout prix, sont de bon niveau mais ont moins attiré mon attention. Côté déco, un livret très bien fourni en infos sur le western italien, Sergio Leone, mais aussi sur le synopsis du film illustré par des dessins en noir et blanc réalisés à partir de plans du film. Finalement, un bel objet honorant LE Cassique parmi les Classiques, ainsi que le grand Sergio dont Colossus propose déjà « Le Colosse de Rhodes », et prépare « Spaghetti Epic 2 » consacré à « Le Bon, la Brute et le Truand ». Bref, une démarche artistique permettant de se replonger dans les classiques du cinéma italien tout en savourant du matériel progressif totalement inédit. Une musique de genre pour un cinéma de genre : la boucle est bouclée.
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Fred
THE SPAGHETTI EPIC 2
The Good, the Bad and the Ugly
Musea – 76’33 – Fin 07
Style : progressif seventies
Pour rappel, le projet de Colossus est de permettre à des groupes progressifs d’écrire une composition personnelle en rapport avec un film du cinéma. Cette fois, on revient au western italien (pour mon plus grand bonheur, car c’est également une autre de mes passions) avec « Le bon, la Brute et le Truand », chef d’œuvre de Sergio Leone clôturant sa trilogie des dollars. L’histoire est partagée en trois et centrée successivement sur les personnages campés par Estwood, Van Cleef et Wallach. Comme groupes, nous retrouvons Randone, La Voce Del Vento et Tilion qui avaient participé tous trois au Spaghetti Epic 1 consacré à « Il était une fois dans l’Ouest » (Prog-résiste 41). A nouveau, il sera inutile d’aller rechercher une quelconque relation avec la musique composée par Morricone, à l’exception de Randone qui ouvre sa compo par le cri du coyote, et introduit la mélodie archiconnue du western. Il s’agit donc essentiellement de progressif seventies école italienne, symphonique et singularisé par la présence de nombreux claviers analogiques (Hammond, Moog,…). Randone réussit une très belle compo alors que Tillion se perd dans des développements dissonants, torturés et bien trop longs. Quant à La Voce Del Vento, il s’agit d’Andy Tillison et Guy Manning qui, plus connus pour leurs travaux dans The Tangent, s’écartent quelque peu de la saveur progressive italienne. Soyons clairs, cet album n’est pas le meilleur des projets, « Colossus of Rhodes » (Prog-résiste 41) par exemple était bien plus abouti. Personnellement, étant à la fois fan de western all’italiana ET de prog (je me sens bien seul du coup ), c’est un objet que je suis heureux de posséder. Si ce n’est pas votre cas, on peut reconnaître que le concept artistique est intéressant et que ce disque reste une curiosité à découvrir.
http://www.colossus.fi
Fred
THE SPAGHETTI EPIC 3
The Great Silence
Musea – 62’ – Fin ‘08
Style : progressif
Voici la dernière partie de la trilogie « Spaghetti Epic » imaginée par Colossus, une association finlandaise dont le projet a été de proposer à des groupes de rock progressif orienté seventies l’écriture d’une composition en s’inspirant de célèbres westerns « all italiana », branche du cinéma de genre italien qui connut une activité intense entre, grosso modo, 1964 et 1975, cette période incluant également l’apogée du rock progressif. C’est cette fois [Le grand silence], un des chefs d’œuvre de Sergio Corbucci et du western européen dans son ensemble qui est au centre de cette galette. Comme d’habitude, on appréciera un livret très soigné contenant, en anglais, le synopsis du film et une critique du film replacé dans son contexte d’époque et illustré par des extraits de story board. Côté musique, trois groupes sont mis à l’honneur et non des moindres. Little Tragedies, formation russe assimilée à Emerson Lake and Palmer très prolifique actuellement sur la scène prog, ouvre l’album avec [The Voice of Silence]. Musicalement, les claviers, et le moog principalement, sont au centre de la composition. Le thème principal du film, joué par des claviers analogiques, surprendra les connaisseurs. Direction Hongrie avec {Yesterdays}, un groupe pratiquant un progressif complexe, vintage, parfois jazzy ou médiéval et teinté de Van der Graaf Generator. Enfin, c’est avec les Italiens de Noise Overtones Therapy que l’album se clôt. Passages épiques emmenés par le Mellotron et structures rythmiques alambiquées trancheront avec des passages acoustiques plus dramatiques. Une fois encore, ce sont bien plus les amateurs de prog qui apprécieront ce genre d’essai plutôt que les fans de western spaghetti qui ne trouveront pratiquement aucun lien avec leur genre de prédilection et ce film en particulier. Quoi qu’il en soit, une belle démarche artistique et musicale à conseiller.
http://www.colossus.fi/
Fred
Fredge- Michele Lupo
- Messages : 424
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 57
Localisation : Belgium
Re: rock progressif et western italien
Connaissez-vous Monkey3 ?
Un groupe suisse de psycho stoner à tendance progressive (pour faire simple, comprenez guitares lourdes, atmosphères planantes).
Et bien sur son dernier album "39 maps" , il s'attaque à Morricone via une compo envoûtante et parfaitement réussie de "L'homme à l'harmonica"!!!
Bon, c'est une approche très rock basse-batterie-guitare-claviers
Quelque part entre Pink Floyd et Tool!
Un bel hommage.
Fredge
Un groupe suisse de psycho stoner à tendance progressive (pour faire simple, comprenez guitares lourdes, atmosphères planantes).
Et bien sur son dernier album "39 maps" , il s'attaque à Morricone via une compo envoûtante et parfaitement réussie de "L'homme à l'harmonica"!!!
Bon, c'est une approche très rock basse-batterie-guitare-claviers
Quelque part entre Pink Floyd et Tool!
Un bel hommage.
Fredge
Fredge- Michele Lupo
- Messages : 424
Date d'inscription : 06/04/2010
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Localisation : Belgium
Re: rock progressif et western italien
Désolé Fredge, je ne connais pas Monkey 3. L'univers prog chez moi, c'est un peu Dream Theater, Rush ou Saga, voir Arjen A. Lucassen.
_________________
Personne- Sergio Leone
- Messages : 7051
Date d'inscription : 06/04/2010
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Localisation : Lone Pine, CA
Re: rock progressif et western italien
Personne a écrit:Désolé Fredge, je ne connais pas Monkey 3. L'univers prog chez moi, c'est un peu Dream Theater, Rush ou Saga, voir Arjen A. Lucassen.
Et bien, que voilà quelques bonnes références prog !
Arjen Lucassen, mmmhhh, fan d'Ayeron, peut-être? Son meilleur album est sans conteste pour moi "Into the Electric Castle". As-tu jeté une oreille sur son dernier projet Guilt Machine ?
Saga continue malgré le départ du chanteur Michael Sadler parti en 2008.
Monkey 3 : http://www.monkeythree.com/-monkey3-/Music/Entries/2008/10/17_39_Laps.html
Extrait de l'album disponible
ou encore : http://www.myspace.com/monkeythreecom
Et pour "Once upon a time in the West, c'est ici :
http://www.lastfm.fr/music/Monkey3/_/Once+Upon+a+Time+In+the+West
Fredge
Fredge- Michele Lupo
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Re: rock progressif et western italien
Non, je n'ai pas Guilt Machine, mais je vais y remédier! Bien sûr Electric Castle. Ah oui, j'aime bien Mind's Eyes aussi.
Sinon, j'ai fais une friend request à Monkey3, je découvre, j'aime bien. Tiens je vois qu'ils sont au programme du Hellfest, tu y vas?
Sinon, j'ai fais une friend request à Monkey3, je découvre, j'aime bien. Tiens je vois qu'ils sont au programme du Hellfest, tu y vas?
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Personne- Sergio Leone
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Re: rock progressif et western italien
Personne a écrit:Non, je n'ai pas Guilt Machine, mais je vais y remédier! Bien sûr Electric Castle. Ah oui, j'aime bien Mind's Eyes aussi.
Sinon, j'ai fais une friend request à Monkey3, je découvre, j'aime bien. Tiens je vois qu'ils sont au programme du Hellfest, tu y vas?
Non, j'irai au Graspop le we suivant, c'est à une heure de chez moi...
Mind's Eye? Oui, TB, on a chroniqué tous leurs albums.
Et que penses-tu de la version de "Once upon a time..." De Monkey 3 ?
Fredge
Fredge- Michele Lupo
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Re: rock progressif et western italien
Je viens de l'écouter. Je la trouve très fidèle à l'originale. Comme quoi Morricone était à mon avis, en avance sur son temps en intégrant des instruments électrique à ses compositions.
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Personne- Sergio Leone
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Localisation : Lone Pine, CA
Re: rock progressif et western italien
Personne a écrit:Je viens de l'écouter. Je la trouve très fidèle à l'originale. Comme quoi Morricone était à mon avis, en avance sur son temps en intégrant des instruments électrique à ses compositions.
Exact, il y a une Stratocaster dans la compo originale d'Ennio. C'est clair, c'est un artiste avant-gadiste.
Fredge
Fredge- Michele Lupo
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