L'Enlèvement des Sabines - 1961 - Richard Pottier

[cyberpunk]

"En 753 avant Jésus-Christ, Romulus fonde avec ses hommes la cité de Rome. Devant l'absence de toute population féminine, ils enlèvent les femmes des Sabins, un peuple voisin. Bientôt, la belle Réa devient la femme de Romulus, attisant la jalousie de Dusia, qui pousse les Sabins à entrer en guerre contre Rome pour récupérer leur bien..."

Bon avec une telle histoire, on s'attend à un film plein de bruits, de fureurs, de gore et de plans nichons; ben non, nous ne sommes qu'en 1961 après Jean Claude et nous avons droit à un sympathique nanar mais qui vire à la farce quand surgit Francis Blanche en Romain myope (je suis de parti pris, j'ai jamais supporter ce mec); dans le rôle de Romulus nous avons un Roger Moore qui après la série "Ivaaaaaaaaaaaaaaaaanoooooooooooooohééééééééééééééééééééé" joue déjà du sourcil, en "sois blonde et tais toi" nous avons Mylène Demongeot et des apparitions poétiques et "cocteautiennes" de Jean Marais et Rosanna Schiaffino dans les rôles respectifs du dieu Mars et de la déesse Vénus en statues qui s'anime, à signaler une autre star du péplum italien, la célèbre chute d'eau de la campagne romaine vue dans moults productions jusqu'aux "Proies de l'auto stop" .

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[cyberpunk]

je me demande ce qu'ai devenu....................la cascade

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[Richards]

Pas mal du tout! J'ai trouvé ce film très plaisant. C'est alerte, enlevé. (Excusez le jeu de mots)
Il y a aussi pas mal d'humour. Et, comme l'a laissé entendre Cyberpunk, c'est plutot bon enfant. (Pas gore!...mais quelques poitrines dénudées, si!)


Et voici quelques Sabines:




Scilla Gabel.





Giorgia Moll.







Luisa Mattioli et Dada Gallotti.







Mariangela Giordano.

[MARCHAND]

Pas si mal sur un sujet pas évident et traité ici avec une certaine dérision bien personnifiée par Roger Moore qui vaut largement Steve Reeves comme acteur. On peut ne pas aimer le numéro de Francis Blanche- c'est une coproduction franco-italienne-qui a fait bien mieux et aussi pire. Un péplum qui tire vers la comédie par un réalisateur français qui a touché à pas mal de genres.

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