Fiesta (1995) Pierre Boutron

[angel caldito castellano]

Avec:
Jean-Louis Trintignant ... Colonel Masagual
Grégoire Colin ... Rafael
Marc Lavoine ... Casado
Laurent Terzieff ... Père Armendariz
Dayle Haddon ... Cecilia Harrington-Forbes
Jean-Philippe Écoffey ... Aizpiri
Marc Betton ... Sergent Fabra
Françoise Christophe ... La douairière
Jean-Louis Richard ... Commandant Romerales
Jean-Pierre Stewart ... Moya
Jean Davy ... Le père Maurel
Alain Doutey ... Le docteur
Jocelyn Quivrin ... Jean
Philippe Morier-Genoud ... Los Cobos
Dominique Guillo ... Le chauffeur espagnol

Synopsis: Un jeune cadet aristocratique militaire reçoit une dose de réalité qui secoue ses idéaux élevés au cœur quand il est appelé à combattre dans la guerre civile espagnole dans ce français anti-guerre drame. Rafael, est le garçon. Il vient d'une famille de notables espagnols de héros militaire et a passé son adolescence à étudier dans une prestigieuse académie militaire française dirigée par les Dominicains. En Octobre 1936, Rafael est devenu un lieutenant, sa vie change à jamais quand il est soudainement rappelé en France pour lutter contre les communistes et défendre Franco. Il est attribué à signaler au colonel Masagual, un officier jouant aux durs qui est flamboyant décadent dans sa vie privée. Commandes Masagual Rafael de mettre d'abord sur le peloton d'exécution pour le préparer pour les atrocités de l'avant. À ce titre, les innocents Rafael est contraint d'abattre toutes sortes de prisonniers, dont des femmes et des enfants. Il prend un lourd tribut sur ​​lui et pendant que lui et les autres tirer le coupable, le colonel et ses invités aristocratique, qui sont venus pour regarder les festivités, le thé et bavarder gaiement gorgée. Bientôt Rafael est devenu une machine à tuer littérale, avec peu d'émotion. Sa première expérience avec le sexe dégénère en viol brutal. Puis Rafael est ordonné de tuer un prêtre renégat. Soudain, il se souvient de ses idéaux et double-croix, le colonel cruel. Cela conduit à une joute morale entre le prêtre et le colonel. L'essentiel de leur argument est de démontrer la stupidité de la guerre.

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Le film a été réalisé par Pierre Boutron portugais, et a compté avec la collaboration de Javier Aguirresarobe Sébastien, qui était en charge de la photographie.

Certaines scènes du film sont tournées à Vitoria-Gasteiz, mais en réalité dans le film apparaissent comme si Pamplona. L'équipe du film a passé trois jours en Novembre 1994 et certains le tournage intérieur extérieur pour le film. Parmi les scénarios vitorianos qui apparaissent dans le film incluent: la Plaza del Machete, où les funérailles ont lieu, la Place d'Espagne, qui recrée la caserne militaire où le protagoniste va se joindre à la guerre. Les Arquillos à recréer un petit café où les personnages parlent, et l'intérieur de l'Vitoria-Gasteiz qui apparaît dans plusieurs scènes, comme les soldats qui montaient l'escalier, ou des travailleurs dans les bureaux de la caserne.

Les efforts pour acclimater la Place d'Espagne et des régions avoisinantes dans un Pampla fin des années trente ont été importants, cependant, l'équipe de production a eu un petit bout et la scène où la voiture en bas de la pente de la Banque l'Espagne peut être considéré comme un signe bar moderne "La Unión".