SONORA (Sartana non perdonna) –1968- Alfonso BALCAZAR
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Rex Lee
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SONORA (Sartana non perdonna) –1968- Alfonso BALCAZAR
SONORA (Sartana non perdonna) – Alfonso BALCAZAR
Un bonheur, je ne vous dit que ça !
1972 Tossa de Mar, un cinéma bien crade dans cette Espagne qui n’en finissait pas avec son manque de liberté. Les espagnols partaient par cars complets voir des films « X » à Perpignan et nous les vacanciers, avons foncé voir un western au ciné du coin !
« El western de los titanes », petit écran, même pas cinémascope, couleur sombre, mais une histoire, une ambiance, des acteurs, que je ne vous dit que ça ! On en a reparlé longtemps !
De retour en France, introuvable, pas sur les écrans, jamais ! Et pas d’internet pour fouiner… Alors petit à petit l’oubli, même si au hasard des projections « tu t’souviens c’lui qu’on a vu à Tossa ? ».
Puis le premier Giré, tiens on retrouve le film… Inédit en France… on fouine, rien, pas de DVD… Et là il y a deux ans, paf, la TV italienne, nous le diffuse dans une copie pa terrible. Il y a un mois le TV italienne remet ça mais dans une extraordinaire copie numérique, au format et tout et tout…
Et voilà comment un soir on replonge dans ce film relativement lent, plein de tension. On se demande toujours ce qui va se passer, qui est qui et qui a fait quoi. Un drame à trois, deux chasseurs de prime et un truand chef de bande !
Sartana (George Martin) devenu chasseur de prime pour retrouver et régler on compte à l’assassin de sa femme arrive à San Juan. Ce salaud, chef d’une bande d’ordures, c’est Slim Kovacs (Jack Elam) qui semble s’être acheté les services d’un autre chasseur de prime Kirchner (Gilbert Roland).
On sent la rivalité monter entre les deux chasseurs de prime. Sartana semble déboussolé, il navigue d’un coup fourré à un autre. Kirchner a plutôt l’air d’un faux-cul pour qui tout les coups sont bons pour arriver à ses fins. Et le truand de Kovacs ne pense qu’aux caisses de lingots d’or que transporte la diligence…
Les histoires s’entrecroisent, ils sont fatigués, un peu paumés, ne sachant pas très bien a qui se fier jusqu’au moment où…
Un bonheur, je ne vous dit que ça !
C’est espagnol, du pur, du grand espagnol ? Ce que l’on fait de mieux en matière de westerns espagnol. C’est sombre, c’est rigoureux, pas d’humour, une ambiance à couper au couteau ! Alfonso Balcazar signe là son plus grand film. Magnifiquement esthétique et psychologique le film est soutenu par une musique de Francesco de Masi à vous foutre des frissons !
Et les acteurs alors, magnifique, rien à jeter. Jack Elam, acteur américain est parfait dans le rôle du truand parfaitement salaud. Les deux autres sont au niveau, une mention à Gilbert Roland pour sa rouerie ! George Martin trimballe sa tristesse et le souvenir du meurtre de sa femme dans une composition plein de retenue.
Un bonheur, je ne vous dit que ça !
Filmé donc en 4/3 comme on dit maintenant, j’ai longtemps cru avoir vu une copie massacrée en Espagne, mais la diffusion TV semble confirmer le format de tournage, Eastmancolor, complet, 92 minutes c’est en italien, ben oui…
Mais je peux vous garantir que l’ami Gator avec qui j’ai vu ce film a tout compris. Alors…
Un bonheur, je ne vous dit que ça !
Un bonheur, je ne vous dit que ça !
1972 Tossa de Mar, un cinéma bien crade dans cette Espagne qui n’en finissait pas avec son manque de liberté. Les espagnols partaient par cars complets voir des films « X » à Perpignan et nous les vacanciers, avons foncé voir un western au ciné du coin !
« El western de los titanes », petit écran, même pas cinémascope, couleur sombre, mais une histoire, une ambiance, des acteurs, que je ne vous dit que ça ! On en a reparlé longtemps !
De retour en France, introuvable, pas sur les écrans, jamais ! Et pas d’internet pour fouiner… Alors petit à petit l’oubli, même si au hasard des projections « tu t’souviens c’lui qu’on a vu à Tossa ? ».
Puis le premier Giré, tiens on retrouve le film… Inédit en France… on fouine, rien, pas de DVD… Et là il y a deux ans, paf, la TV italienne, nous le diffuse dans une copie pa terrible. Il y a un mois le TV italienne remet ça mais dans une extraordinaire copie numérique, au format et tout et tout…
Et voilà comment un soir on replonge dans ce film relativement lent, plein de tension. On se demande toujours ce qui va se passer, qui est qui et qui a fait quoi. Un drame à trois, deux chasseurs de prime et un truand chef de bande !
Sartana (George Martin) devenu chasseur de prime pour retrouver et régler on compte à l’assassin de sa femme arrive à San Juan. Ce salaud, chef d’une bande d’ordures, c’est Slim Kovacs (Jack Elam) qui semble s’être acheté les services d’un autre chasseur de prime Kirchner (Gilbert Roland).
On sent la rivalité monter entre les deux chasseurs de prime. Sartana semble déboussolé, il navigue d’un coup fourré à un autre. Kirchner a plutôt l’air d’un faux-cul pour qui tout les coups sont bons pour arriver à ses fins. Et le truand de Kovacs ne pense qu’aux caisses de lingots d’or que transporte la diligence…
Les histoires s’entrecroisent, ils sont fatigués, un peu paumés, ne sachant pas très bien a qui se fier jusqu’au moment où…
Un bonheur, je ne vous dit que ça !
C’est espagnol, du pur, du grand espagnol ? Ce que l’on fait de mieux en matière de westerns espagnol. C’est sombre, c’est rigoureux, pas d’humour, une ambiance à couper au couteau ! Alfonso Balcazar signe là son plus grand film. Magnifiquement esthétique et psychologique le film est soutenu par une musique de Francesco de Masi à vous foutre des frissons !
Et les acteurs alors, magnifique, rien à jeter. Jack Elam, acteur américain est parfait dans le rôle du truand parfaitement salaud. Les deux autres sont au niveau, une mention à Gilbert Roland pour sa rouerie ! George Martin trimballe sa tristesse et le souvenir du meurtre de sa femme dans une composition plein de retenue.
Un bonheur, je ne vous dit que ça !
Filmé donc en 4/3 comme on dit maintenant, j’ai longtemps cru avoir vu une copie massacrée en Espagne, mais la diffusion TV semble confirmer le format de tournage, Eastmancolor, complet, 92 minutes c’est en italien, ben oui…
Mais je peux vous garantir que l’ami Gator avec qui j’ai vu ce film a tout compris. Alors…
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Edocle- Sergio Leone
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Re: SONORA (Sartana non perdonna) –1968- Alfonso BALCAZAR
Après visionnage, j'ai un avis un peu mitigé. En effet, la scène d'intro est très cul cul la praline et c'est diablement lent. On dirait un film de Mulargia. Sinon, l'histoire est classique mais la mise en scène est plus que correcte, Gilbert Rolland est impeccable tout comme Jack Elam qui ne surjoue pas tant que ça. Quant à Martin, c'est correct. Ah et aussi je suis déçu de voir Rosalba Neri que deux minutes.
Bref, un film sympa mais qui aurait gagner à être un peu plus dynamique.
Bref, un film sympa mais qui aurait gagner à être un peu plus dynamique.
Trinita- Sergio Leone
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Re: SONORA (Sartana non perdonna) –1968- Alfonso BALCAZAR
...Eh bien , je me suis régalé . La lenteur , pour moi , ce n'est pas un problème et les emprunts à Leone non plus .Le film est bien contruit , bien filmé et il y a une atmosphère propre aux westerns espagnols que je trouve délectable .
Parlons un peu distribution , à présent . Rosalba Neri a une rôle très court , environ 2 minutes...Pas de seconds couteaux très connus ,peut-être peut-on citer Tomas Torres , en chef mexicain , dans un rôle plus important que d'habitude . La fiche IMDb et celles qui s'en inspirent comportent des erreurs ...José est interprété par Tony Norton et pas par Alfio Caltabiano qui n'est pas dans le film . Pas de Hugo Blanco non plus ! ( lui , il est dans " Django non perdona" , d'où la confusion , sans doute ...). Et puis , grosse déception pour moi : pas de Diana Lorys !!! Tant pis , je l'ai déjà dit , le film vaut le coup !
Parlons un peu distribution , à présent . Rosalba Neri a une rôle très court , environ 2 minutes...Pas de seconds couteaux très connus ,peut-être peut-on citer Tomas Torres , en chef mexicain , dans un rôle plus important que d'habitude . La fiche IMDb et celles qui s'en inspirent comportent des erreurs ...José est interprété par Tony Norton et pas par Alfio Caltabiano qui n'est pas dans le film . Pas de Hugo Blanco non plus ! ( lui , il est dans " Django non perdona" , d'où la confusion , sans doute ...). Et puis , grosse déception pour moi : pas de Diana Lorys !!! Tant pis , je l'ai déjà dit , le film vaut le coup !
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: SONORA (Sartana non perdonna) –1968- Alfonso BALCAZAR
Sonora (inédit) ou Sartana non perdona d’Alfonso Balcazar, avec George Martin, Gilbert Roland et Jack Elam, 1968.
Trois hommes et un coup fin
Sonora (George Martin) arrive en ville. Il y cherche partout Slim Kovaks (Jack Elam) qui a tué sa femme. Il compte bien le faire payer. Il fait la connaissance de Kirchner (Gilbert Roland), un chasseur de primes qui accepte de l’aider et qui lui donne un renseignement. La traque commence…
Cette traque nous fait d’ailleurs très peu sortir du village, la majorité de l’intrigue se déroule en huis clôt. Le film s’oriente clairement plus vers le western américain que vers le spaghetti : la psychologie des personnages est un peu plus fouillée que d’ordinaire. On s’attarde davantage sur les dialogues que sur l’action. Le scénariste étant italien, bien entendu des scènes de violence parsèment le film et heureusement car si Sonora a des défauts, celui de la lenteur surpasse tous les autres.
Ce n’est pas la lenteur et la parlotte en eux mêmes qui posent problème, c’est plutôt que les acteurs qui se chargent de les compenser sont George (« mais si là, je joue la colère ») Martin, et Alfio Caltabiano… Gilbert Roland ne desserre que peu les mâchoires, quant à Jack Elam, il porte le film sur ses épaules, et comme il n’y est pas habitué, il a bien du mal à s’en sortir (comprendre qu’il surjoue). Une des premières scènes est celle du bonheur de George Martin avec sa femme et c’est cul-cul en diable et cela pouvait être bien moins appuyée.
Autre défaut : Sonora est une compilation d’Il était une fois dans l’ouest, du Bon la brute et le truand et d’Et pour quelques dollars de plus. Nous y retrouvons un grand nombre de similitude dans les situations surtout, plus même que dans les personnages. Les exemples sont nombreux, en voici parmi d’autres :
Le duel mis en scène par un tiers ou encore les deux personnes retranchées qui entendent leurs hommes se faire descendre, et qui attendent l’issue du combat comme Volonte et Pistilli dans Et pour quelques dollars de plus…
J’ajoute que d’après diverses sources, ce film est un remake (en partie) du film Crónica de un atraco, un polar avec Tomas Milian mais également de Un colt pour Mc Gregor, tous les deux réalisés par Balcazar.
Les plus sont clairement la réalisation qui cache la pauvreté des moyens et qui compense par une originalité de plans et de format de caméra (du 4:3) le charisme fade des acteurs. La musique de De Masi, magnifique et sensible, loin des solos des trompettes assourdissant. Également l’impression de feutré que l’on a, les personnages marchent lentement, décomposent leurs mouvements, ça, c’est la touche espagnole au western, et c’est du tout bon.
Reste donc malgré les défauts précités un film agréable, mais sans plus. On voudrait décoller un peu vu l’ambiance, mais tout cela reste tristement terre-à-terre, en grande partie à cause des acteurs. De bons moments, de bons dialogues, mais également du plagiat à peine maquillé. À voir absolument pour l’amateur, mais sans s’attendre à une grande réussite.
Et où le voir ? Sur la télé italienne. Ce western n'est jamais sorti en France, et n'a pas bénéficié à ma connaissance d'une sortie DVD. Peut-être en Espagne...
Critique interactive : ci-dessous, une anecdote :
SPOILER: CACHER
Pour la petite histoire que beaucoup connaissent, le héros s’appelait Sonora au moment de la pré-production. Puis le producteur, apprenant le succès colossal du Sartana de Kramer auprès du public, renomma le héros (qui portait un costume similaire au héros diabolique) en plein tournage et Sonora devint en Italie Sartana non perdona. Néanmoins, il y a une justice, le titre Sonora est resté le titre de référence pour ce film.
Trois hommes et un coup fin
Sonora (George Martin) arrive en ville. Il y cherche partout Slim Kovaks (Jack Elam) qui a tué sa femme. Il compte bien le faire payer. Il fait la connaissance de Kirchner (Gilbert Roland), un chasseur de primes qui accepte de l’aider et qui lui donne un renseignement. La traque commence…
Cette traque nous fait d’ailleurs très peu sortir du village, la majorité de l’intrigue se déroule en huis clôt. Le film s’oriente clairement plus vers le western américain que vers le spaghetti : la psychologie des personnages est un peu plus fouillée que d’ordinaire. On s’attarde davantage sur les dialogues que sur l’action. Le scénariste étant italien, bien entendu des scènes de violence parsèment le film et heureusement car si Sonora a des défauts, celui de la lenteur surpasse tous les autres.
Ce n’est pas la lenteur et la parlotte en eux mêmes qui posent problème, c’est plutôt que les acteurs qui se chargent de les compenser sont George (« mais si là, je joue la colère ») Martin, et Alfio Caltabiano… Gilbert Roland ne desserre que peu les mâchoires, quant à Jack Elam, il porte le film sur ses épaules, et comme il n’y est pas habitué, il a bien du mal à s’en sortir (comprendre qu’il surjoue). Une des premières scènes est celle du bonheur de George Martin avec sa femme et c’est cul-cul en diable et cela pouvait être bien moins appuyée.
Autre défaut : Sonora est une compilation d’Il était une fois dans l’ouest, du Bon la brute et le truand et d’Et pour quelques dollars de plus. Nous y retrouvons un grand nombre de similitude dans les situations surtout, plus même que dans les personnages. Les exemples sont nombreux, en voici parmi d’autres :
Le duel mis en scène par un tiers ou encore les deux personnes retranchées qui entendent leurs hommes se faire descendre, et qui attendent l’issue du combat comme Volonte et Pistilli dans Et pour quelques dollars de plus…
J’ajoute que d’après diverses sources, ce film est un remake (en partie) du film Crónica de un atraco, un polar avec Tomas Milian mais également de Un colt pour Mc Gregor, tous les deux réalisés par Balcazar.
Les plus sont clairement la réalisation qui cache la pauvreté des moyens et qui compense par une originalité de plans et de format de caméra (du 4:3) le charisme fade des acteurs. La musique de De Masi, magnifique et sensible, loin des solos des trompettes assourdissant. Également l’impression de feutré que l’on a, les personnages marchent lentement, décomposent leurs mouvements, ça, c’est la touche espagnole au western, et c’est du tout bon.
Reste donc malgré les défauts précités un film agréable, mais sans plus. On voudrait décoller un peu vu l’ambiance, mais tout cela reste tristement terre-à-terre, en grande partie à cause des acteurs. De bons moments, de bons dialogues, mais également du plagiat à peine maquillé. À voir absolument pour l’amateur, mais sans s’attendre à une grande réussite.
Et où le voir ? Sur la télé italienne. Ce western n'est jamais sorti en France, et n'a pas bénéficié à ma connaissance d'une sortie DVD. Peut-être en Espagne...
Critique interactive : ci-dessous, une anecdote :
SPOILER: CACHER
Pour la petite histoire que beaucoup connaissent, le héros s’appelait Sonora au moment de la pré-production. Puis le producteur, apprenant le succès colossal du Sartana de Kramer auprès du public, renomma le héros (qui portait un costume similaire au héros diabolique) en plein tournage et Sonora devint en Italie Sartana non perdona. Néanmoins, il y a une justice, le titre Sonora est resté le titre de référence pour ce film.
Sartana- Enzo G. Castellari
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Rex Lee- Sergio Leone
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stéphane- Michele Lupo
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Re: SONORA (Sartana non perdonna) –1968- Alfonso BALCAZAR
Belle scène du film:
El Puro- Michele Lupo
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Re: SONORA (Sartana non perdonna) –1968- Alfonso BALCAZAR
Dernière édition par Rex Lee le Dim 5 Mar - 19:29, édité 1 fois
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: SONORA (Sartana non perdonna) –1968- Alfonso BALCAZAR
Affiche italienne
stéphane- Michele Lupo
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Localisation : Côte d'Ivoire
Re: SONORA (Sartana non perdonna) –1968- Alfonso BALCAZAR
La distribution:
George Martin
Gilbert Roland / Gérard Tichy
Tomas Torres / Jack Elam
Tony Norton est José.
Donatella Turri. Cette actrice italienne incarne, dans ce film, la femme de José. Sonora est son seul western. Elle n'a à son actif qu'une dizaine de films...
Un premier film en vedette, en 1962...
Non créditée au générique du Gendarme se marie, (selon IMDb)...
...elle apparaît une dernière fois à l'écran dans La loi des Gangsters, en 1969.
Rosalba Neri: pas plus de deux minutes à l'écran.
Miguel de la Riva / Rosalba Neri
Acteur non identifé: un habitué des productions Balcazar.
Edit: identifié depuis quelques années...FRANCISCO GABARRE.
Dernière édition par Rex Lee le Dim 5 Mar - 19:32, édité 1 fois
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: SONORA (Sartana non perdonna) –1968- Alfonso BALCAZAR
Ce petit film, très réussi à mon avis , était assez difficile à trouver en DVD. Un éditeur italien vient de le rééditer et on le trouve sur Amazon ( sites talien ou espagnol ). Uniquement en italien sans sous-titres.
Bémols : la copie , convenable , aurait pu être meilleure et le film n'est pas en Scope. Comme la quasi totalité de l'action se passe en ville et que les séquences spectaculaires sont limitées, ce n'est pas trop gênant , mais c'est quand même dommage.
Enfin , c'est tout de même une opportunité pour les amateurs qui n'avaient pas vu ce film , inédit chez nous malgré les participations ( assez rares dans le western italien ) de Gilbert Roland et de Jack Elam.
Bémols : la copie , convenable , aurait pu être meilleure et le film n'est pas en Scope. Comme la quasi totalité de l'action se passe en ville et que les séquences spectaculaires sont limitées, ce n'est pas trop gênant , mais c'est quand même dommage.
Enfin , c'est tout de même une opportunité pour les amateurs qui n'avaient pas vu ce film , inédit chez nous malgré les participations ( assez rares dans le western italien ) de Gilbert Roland et de Jack Elam.
WILLIAM H- Francesco Degli Espinosa
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Re: SONORA (Sartana non perdonna) –1968- Alfonso BALCAZAR
La Stampa, Turin, le 18 décembre 1968.
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Rex Lee- Sergio Leone
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Re: SONORA (Sartana non perdonna) –1968- Alfonso BALCAZAR
Une présentation intéressante de cet excellent western, l'un des meilleurs des productions Balcazar. C'est en espagnol mais somme toute compréhensible, me semble-t-il:
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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