DJURADO –1966- Giovanni NARZISI
3 participants
Page 1 sur 1
DJURADO –1966- Giovanni NARZISI
1966
DJURADO – Giovanni NARZISI
Voilà le style de western que j’adore !
La version italienne est bouclée en 73 minutes ! Pas de fioriture, que de l’utile !
Et cerise sur le gâteau, un film de seconds couteaux, mais quels seconds couteaux !
En bref il n’y a rien à jeter !
En 1966 on tourne du western à tout va, et chacun peut avoir sa chance. Pour celui-ci on confie à un chef opérateur Giovanni Narzisi, la réalisation, la mise en scène et l’histoire. Il participera à l’écriture du scénario. Sous le pseudo. de John Farrell, il ne tournera que deux films. L’autre est un gallio peu connu !
Pour incarner le héros, on va aller chercher un jeune comédien, Dante Posani (Montgomery Clark) blond, bronzé à souhait qui est apparu l’année d’avant dans un Maciste. Une vague ressemblance avec Peter Lee Lawrence et c’est parti !
Comme il faut bien des valeurs sûres, Luis Induni va tenir le rôle du notable bien salaud qui tient la ville sous sa coupe ! Il est aidé de Rick Boyd son homme de main !
Et pour les belles, on s’entoure de Margaret Lee et de Scilia Gabel ! Du plaisir pour les yeux !
Le tout est joliment emballé par une musique originale de Gianni Ferrio avec de bons coups de guitare. Gianni Meccia, y interprète la chanson « Solo il vento io Sal » comme le veut son rôle de chanteur de saloon.
L’histoire : simple ! Une ville, deux saloons.
L’un est tenu par le salaud local et ses hommes de mains. Pour gagner plus de fric, ils ont éliminé la concurrence et buté le propriétaire du second. Ne reste que la chanteuse parisienne et son accompagnateur de guitariste. Elle est l’héritière de ce saloon, mais impossible d’ouvrir, le salaud veille et fait fuir les clients !
Débarque le jeunot, yeux bleus, bronzage et sourire, pistolets et jeu de cartes à la main, il reste en arrêt devant la belle et devinez se qui se passe…
Oui ? Vous avez pigez ? C’est ça ! Mais voilà, il y a des rebondissements et des coups fourrés, je ne vous dis que ça !
Pour le voir, ce n’est pas facile ! La version italienne est passée à la TV. Bonne copie numérique, qualité de capture moyenne. Je ne connais rien de la version anglaise. Dans le fond d’une cave il existe une version française.
Tiens un truc amusant et original : une démonstration de tir au pistolet sur lancers de bouteilles, de dos et commandés par un accord de guitare. Pas facile à expliquer, mais c’est pour vous mettre l’eau à la bouche…
Rien de plus simple, que du bonheur !
Amicalement E.
DJURADO – Giovanni NARZISI
Voilà le style de western que j’adore !
La version italienne est bouclée en 73 minutes ! Pas de fioriture, que de l’utile !
Et cerise sur le gâteau, un film de seconds couteaux, mais quels seconds couteaux !
En bref il n’y a rien à jeter !
En 1966 on tourne du western à tout va, et chacun peut avoir sa chance. Pour celui-ci on confie à un chef opérateur Giovanni Narzisi, la réalisation, la mise en scène et l’histoire. Il participera à l’écriture du scénario. Sous le pseudo. de John Farrell, il ne tournera que deux films. L’autre est un gallio peu connu !
Pour incarner le héros, on va aller chercher un jeune comédien, Dante Posani (Montgomery Clark) blond, bronzé à souhait qui est apparu l’année d’avant dans un Maciste. Une vague ressemblance avec Peter Lee Lawrence et c’est parti !
Comme il faut bien des valeurs sûres, Luis Induni va tenir le rôle du notable bien salaud qui tient la ville sous sa coupe ! Il est aidé de Rick Boyd son homme de main !
Et pour les belles, on s’entoure de Margaret Lee et de Scilia Gabel ! Du plaisir pour les yeux !
Le tout est joliment emballé par une musique originale de Gianni Ferrio avec de bons coups de guitare. Gianni Meccia, y interprète la chanson « Solo il vento io Sal » comme le veut son rôle de chanteur de saloon.
L’histoire : simple ! Une ville, deux saloons.
L’un est tenu par le salaud local et ses hommes de mains. Pour gagner plus de fric, ils ont éliminé la concurrence et buté le propriétaire du second. Ne reste que la chanteuse parisienne et son accompagnateur de guitariste. Elle est l’héritière de ce saloon, mais impossible d’ouvrir, le salaud veille et fait fuir les clients !
Débarque le jeunot, yeux bleus, bronzage et sourire, pistolets et jeu de cartes à la main, il reste en arrêt devant la belle et devinez se qui se passe…
Oui ? Vous avez pigez ? C’est ça ! Mais voilà, il y a des rebondissements et des coups fourrés, je ne vous dis que ça !
Pour le voir, ce n’est pas facile ! La version italienne est passée à la TV. Bonne copie numérique, qualité de capture moyenne. Je ne connais rien de la version anglaise. Dans le fond d’une cave il existe une version française.
Tiens un truc amusant et original : une démonstration de tir au pistolet sur lancers de bouteilles, de dos et commandés par un accord de guitare. Pas facile à expliquer, mais c’est pour vous mettre l’eau à la bouche…
Rien de plus simple, que du bonheur !
Amicalement E.
Edocle- Sergio Leone
- Messages : 3743
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 78
Localisation : 92 Spaghetti Ville
Re: DJURADO –1966- Giovanni NARZISI
Une bonne série B. , comme je les aime !!! Une musqiue un peu psyché pour le générique, ce que j'ai trouvé original, la serveuse du saloon française avec son accent à couper au couteau, Djurado bon bagarreur, fin tireur, et le salaud pleins aux as qui règne par la terreur... que du bon, ruez vous dessus !!!
Re: DJURADO –1966- Giovanni NARZISI
Il me semble que ce western n'est pas à prendre au sérieux ...Personnellement , du fait du jeu un peu décalé des acteurs et des cascadeurs qui ne savent pas tomber , je lui ai trouvé un côté parodique du genre :" y a-t-il un shérif pour sauver la ville ? ". Mais j'ai bien aimé cette intrique menée tambour battant ...
Impossible de s'ennuyer une seconde !
Au sujet de Montgomery Clark ( Dante Posani ), il fait indéniablement penser à un certain ...Ringo , dit "Angel Face "...Interprété par Giuliano Gemma , alias Montgomery Wood dans le premier opus ... Et puis , le pseudonyme de Posani nous y invite , non ? Montgomery Clark ...Montgomery Wood . Le producteur s'est peut-être dit : " Tentons le coup , les gens ne feront peut-être pas la différence ! "
Montgomery Clark
Ici , à côté de Mireilla Pamphili.
Scilla Gabel
Margaret Lee
Mary Jordan ( Mariangela Giordano )
Luis Induni
Isarco Ravaioli
Rex Lee- Sergio Leone
- Messages : 6429
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 68
Localisation : 19
Re: DJURADO –1966- Giovanni NARZISI
_________________
Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
- Messages : 6429
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 68
Localisation : 19
Re: DJURADO –1966- Giovanni NARZISI
_________________
Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
- Messages : 6429
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 68
Localisation : 19
Sujets similaires
» Johnny Colt - Starblack - 1966 - Giovanni Grimaldi
» [ Second rôle ] Giovanni Petti
» [Second Rôle] Giovanni Sabbatini
» [ Second rôle ] Giovanni Petrucci
» Los Machos - Uno die piu' all 'inferno - Giovanni Fago - 1969
» [ Second rôle ] Giovanni Petti
» [Second Rôle] Giovanni Sabbatini
» [ Second rôle ] Giovanni Petrucci
» Los Machos - Uno die piu' all 'inferno - Giovanni Fago - 1969
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum