Furia à Bahia pour OSS 117 - 1965 - André Hunebelle

[Personne]

Frederick Stafford ... Hubert Bonnisseur de la Bath
Mylène Demongeot ... Anna-Maria Sulza
Raymond Pellegrin ... Leandro
Perrette Pradier ... Consuela Moroni 1
Annie Anderson ... Consuela Moroni 2 (as Annie Andersson)
Jacques Riberolles ... Miguel Sulza
François Maistre ... Carlos
Yves Furet ... Clark
Guy Delorme ... Karl
Jean-Pierre Janic ... Ludwig
Yvan Chiffre ... Un homme de main

Synopsis mamazone
Une vague de crimes politiques déferle sur l'Amérique de Sud. L'agent OSS 117 est chargé d'éclaircir l'affaire. Malgré moult traquenards, il parvient à se débarrasser des tueurs lancés à ses trousses. Il gagne les forêts d'Amazonie avec l'irrésistible Anna Maria, et découvre une tribu d'indiens, cultivant une plante aux vertus mystérieuses...

Une aventure des plus dépaysantes avec une mise en avant de la baie de Rio absolument magnifique. C'est bien simple on a qu'une seule envie, c'est d'y aller le plus vite possible.
Bon, alors il faut passer quelques dialogues au début du film avec des comédiens pas toujours très pro, je pense à Stafford, un chercheur chimiste Australien, représentant en pharmacie, découvert par Hunebelle lors d'un voyage en Asie, ou une Annie Anderson qui récite ses dialogues ultra platement.
Mais on aura droit à une très belle bagarre au chalumeau et un final très Bondien avec Pellegrin, François Maistre et Guy Delorme en chefs d'un ordre nouveau avec des tas de miliciens...
Final dans les très photogéniques chutes d'Iguazu ou Stafford et Demongeot m'ont fait très peur!

Dans les bonus du DVD on apprend que Pellegrin a eu une crise cardiaque en pleine forêt Amazonienne, que Demongeot aime se ballader pieds nus et qu'elle failli s'en mordre les... orteils.

Au final un film dépaysant, une jolie carte postale pour le Brésil et une aventure des plus sympathique. Merci encore Monsieur Hunebelle.

[Trinita]

Va vraiment falloir que je m'achète ces OSS !!

[Rex Lee]

Frederick Stafford



Perrette Pradier




Guy Delorme





Raymond Pellegrin





Mylène Demongeot

[MARCHAND]

Revu. Pas si mal celui-là, qui me parait avoir bien vieilli malgré quelques défauts, dont la prestation calamiteuse d'Annie Anderson compensée par la présence lumineuse de Mylène  Demongeot, un peu sous-employée. Peu de gadgets mais bien utilisés, le lecteur de cassettes magnétique, par exemple. Le ton de comédie est bien vu pour ce genre de production.

[MARCHAND]

La bande-annonce par contre date...

[Rex Lee]

La Stampa, Turin, 20 octobre 1965.

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