Quand l'heure de la vengeance sonnera - La morte non conta i dollari - Riccardo Freda - 1967
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Quand l'heure de la vengeance sonnera - La morte non conta i dollari - Riccardo Freda - 1967
Attention les aminches ! Alerte au western gothique, au western polar, au petit chef-d’œuvre, bref à la perle à redécouvrir d’urgence.
De quoi-c’est-y qu’il est question au juste ?
Bon, ça commence par l’assaut des bandits contre la propriété opulente, avec carnage et exécution en règle, et sans témoins je vous prie. Saut qu’y en a un, de témoin, ben tiens, sans ça y aurait pas de film. Et le témoin il a le temps de voir Nello Pazzafini qui soulève son foulard pour bien ricaner sur le cadavre du major White, propriétaire de l’exploitation foncière ici pillée. Big mistake, parce que notre témoin, il a à peine eu le temps de se confier au shérif du coin que Nello & Co lui tombent sur le râble et lui coupent la langue.
Si.
Bon, ça se passe hors champ, mais frissons quand même.
Cut. Des années ont passé, et voilà-t-y pas que débarque à Owell Rock, site du massacre perpétré lors du prologue, le fringant Lawrence White (Stephen Forsyth), fils du major occis pendant ledit prologue, qui arrive par la diligence en même temps que Harry Boyd (Mark Damon), une sorte de pistoléro va-nu-pieds qui passe par là.
Mais l’immonde Nello est là, avec sa bande de seconds couteaux (parmi lesquels on remarque Spartaco Conversi et Dino Strano — ‘tain, l’a l’air méchant, le Dino !), et il te me suit ça de près.
Attention ! première surprise : pendant que Lawrence White reconstitue le drame primordial, avec l’assistance de sa sœur devenue fille perdue et chose du shérif félon, Harry Boyd, lui…
J’ose à peine le dire.
Allez, je me lance. Harry Boyd nous la joue Trinita avant l’heure. Passeque les braves habitants d’Owell Rock, y font rien qu’à le contrarier. Ça commence par une partie de billard au saloon qui dégénère vite fait, ça continue par une bagarre générale au General Store (arf, arf) où notre pote Harry exige de payer son tabac à chiquer au juste prix – je vous raconte pas le pugilat qui s’ensuit, mais je peux vous dire qu’il y a du goudron et de la glu –, et ça se finit à l’hôtel où notre aminche Harry piétocute vite-fait bien-fait les parasites qui squattent sa chambre.
On se demande où veut en venir le scénariste, mais on comprend bientôt : impressionné par cette débauche de cascades, Nello embauche notre z’héros dans sa bande et le met au parfum de ses diverses malversations en cours.
Bon, j’arrête là dans le résumé, parce que ça se complique encore, que les fioritures s’ajoutent aux fioritures et que j’ai vu ce film sur un DVD-R en italien avec sous-titres grecs et que j’en ai pas pigé toutes les subtilités. Sans compter que j’ai bien l’impression qu’il manquait un chapitre…
Tout ce que je peux vous dire, c’est qu’il y a une mine d’argent qui excite les convoitises.
Y a aussi un juge corrompu malgré lui et alcoolique, interprété par Luciano Pigozzi, le Peter Lorre du pauvre, un bandido mexicain interprété par Pedro Sanchez, alias Ignazio Spalla, qui nous la joue Tuco dans son bain, y a des changements d’identité (le maître et le valet qui intervertissent leurs rôles — c’est du Marivaux !), y a des batailles rangées au revolver, y a un duel final avec gros plan sur les yeux éberlués des participants…
Brèfle, le pied.
Plus une coloration vraiment gothique à fond la caisse, de quoi donner des frissons à mon pote Sire Cédric, le vampire de ces dames, un vrai travail d’esthète sur la mise en scène, les mouvements de caméra lyriques, la texture des décors et — surtout ! — l’utilisation de la couleur. Bon, faut dire que la mise en scène est signée Riccardo Freda, le maître du gothique et du péplum des années 50 (avec, précise Giré, un assistant réal nommé Yves Boisset !).
Breccio a dit : allez-y voir de plus près.
Comment qu’on fait, tonton Breccio ? Ben, vous vous démerdez. Pas de DVD dans le commerce à ma connaissance. Un DVD-R ou un DivX obtenu par les bonnes grâces d'un aficionado (« In cauda DVDeum ! »), ou une vieille VHS si ça existe, je sais pas, moi — visionnez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens.
Sic transit gloria mundi, amen !
B
De quoi-c’est-y qu’il est question au juste ?
Bon, ça commence par l’assaut des bandits contre la propriété opulente, avec carnage et exécution en règle, et sans témoins je vous prie. Saut qu’y en a un, de témoin, ben tiens, sans ça y aurait pas de film. Et le témoin il a le temps de voir Nello Pazzafini qui soulève son foulard pour bien ricaner sur le cadavre du major White, propriétaire de l’exploitation foncière ici pillée. Big mistake, parce que notre témoin, il a à peine eu le temps de se confier au shérif du coin que Nello & Co lui tombent sur le râble et lui coupent la langue.
Si.
Bon, ça se passe hors champ, mais frissons quand même.
Cut. Des années ont passé, et voilà-t-y pas que débarque à Owell Rock, site du massacre perpétré lors du prologue, le fringant Lawrence White (Stephen Forsyth), fils du major occis pendant ledit prologue, qui arrive par la diligence en même temps que Harry Boyd (Mark Damon), une sorte de pistoléro va-nu-pieds qui passe par là.
Mais l’immonde Nello est là, avec sa bande de seconds couteaux (parmi lesquels on remarque Spartaco Conversi et Dino Strano — ‘tain, l’a l’air méchant, le Dino !), et il te me suit ça de près.
Attention ! première surprise : pendant que Lawrence White reconstitue le drame primordial, avec l’assistance de sa sœur devenue fille perdue et chose du shérif félon, Harry Boyd, lui…
J’ose à peine le dire.
Allez, je me lance. Harry Boyd nous la joue Trinita avant l’heure. Passeque les braves habitants d’Owell Rock, y font rien qu’à le contrarier. Ça commence par une partie de billard au saloon qui dégénère vite fait, ça continue par une bagarre générale au General Store (arf, arf) où notre pote Harry exige de payer son tabac à chiquer au juste prix – je vous raconte pas le pugilat qui s’ensuit, mais je peux vous dire qu’il y a du goudron et de la glu –, et ça se finit à l’hôtel où notre aminche Harry piétocute vite-fait bien-fait les parasites qui squattent sa chambre.
On se demande où veut en venir le scénariste, mais on comprend bientôt : impressionné par cette débauche de cascades, Nello embauche notre z’héros dans sa bande et le met au parfum de ses diverses malversations en cours.
Bon, j’arrête là dans le résumé, parce que ça se complique encore, que les fioritures s’ajoutent aux fioritures et que j’ai vu ce film sur un DVD-R en italien avec sous-titres grecs et que j’en ai pas pigé toutes les subtilités. Sans compter que j’ai bien l’impression qu’il manquait un chapitre…
Tout ce que je peux vous dire, c’est qu’il y a une mine d’argent qui excite les convoitises.
Y a aussi un juge corrompu malgré lui et alcoolique, interprété par Luciano Pigozzi, le Peter Lorre du pauvre, un bandido mexicain interprété par Pedro Sanchez, alias Ignazio Spalla, qui nous la joue Tuco dans son bain, y a des changements d’identité (le maître et le valet qui intervertissent leurs rôles — c’est du Marivaux !), y a des batailles rangées au revolver, y a un duel final avec gros plan sur les yeux éberlués des participants…
Brèfle, le pied.
Plus une coloration vraiment gothique à fond la caisse, de quoi donner des frissons à mon pote Sire Cédric, le vampire de ces dames, un vrai travail d’esthète sur la mise en scène, les mouvements de caméra lyriques, la texture des décors et — surtout ! — l’utilisation de la couleur. Bon, faut dire que la mise en scène est signée Riccardo Freda, le maître du gothique et du péplum des années 50 (avec, précise Giré, un assistant réal nommé Yves Boisset !).
Breccio a dit : allez-y voir de plus près.
Comment qu’on fait, tonton Breccio ? Ben, vous vous démerdez. Pas de DVD dans le commerce à ma connaissance. Un DVD-R ou un DivX obtenu par les bonnes grâces d'un aficionado (« In cauda DVDeum ! »), ou une vieille VHS si ça existe, je sais pas, moi — visionnez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens.
Sic transit gloria mundi, amen !
B
Re: Quand l'heure de la vengeance sonnera - La morte non conta i dollari - Riccardo Freda - 1967
Nello Pazzafini
Mark Damon
stéphane- Michele Lupo
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Re: Quand l'heure de la vengeance sonnera - La morte non conta i dollari - Riccardo Freda - 1967
Je viens de voir le film avec le même DVD-R italien avec sous-titres grecs. L'image est pas dégueu mais apparemment quand même méchamment recadrée.
J'ai pas tout compris à l'histoire mais c'est un film plutôt sympa qui mérite qu'on s'y intéresse.
J'ai pas tout compris à l'histoire mais c'est un film plutôt sympa qui mérite qu'on s'y intéresse.
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Sheb- Joachim Romero Marchent
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Localisation : Nord
Re: Quand l'heure de la vengeance sonnera - La morte non conta i dollari - Riccardo Freda - 1967
Cela donne envie de le voir.
En attendant:
Mark Damon / Pamela Tudor
Spartaco Conversi / Nello Pazzafini
J'ignore de quel enregistrement ou de quelle édition ces captures proviennent. Postées par Jonathan Corbett sur le forum de SWDB.
En attendant:
Mark Damon / Pamela Tudor
Spartaco Conversi / Nello Pazzafini
J'ignore de quel enregistrement ou de quelle édition ces captures proviennent. Postées par Jonathan Corbett sur le forum de SWDB.
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Quand l'heure de la vengeance sonnera - La morte non conta i dollari - Riccardo Freda - 1967
Un western de Freda. Je demande à voir !!
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Mieux vos être mort et cool que mort et pas cool (Mickey Rourke dans Harley Davidson & l'homme aux santiags)
Trinita- Sergio Leone
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Localisation : Angers
Re: Quand l'heure de la vengeance sonnera - La morte non conta i dollari - Riccardo Freda - 1967
Et hop ! je remonte ce fil, parce que le DVD Koch Media (de la série "Django Unchained") sort très prochainement et qu'on aura sûrement l'occasion d'en reparler.
D'ailleurs, je viens de précommander les 10 DVD de ladite série (soyons fous !).
B.
D'ailleurs, je viens de précommander les 10 DVD de ladite série (soyons fous !).
B.
Re: Quand l'heure de la vengeance sonnera - La morte non conta i dollari - Riccardo Freda - 1967
Un western que j'ai vraiment hâte de découvrir ne serait-ce que pour ce morceau magnifique
Je suppose qu'il n'y aura pas de sous titres Vf sur le Dvd Koch media
Je suppose qu'il n'y aura pas de sous titres Vf sur le Dvd Koch media
Horace Pinker- Michele Lupo
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Re: Quand l'heure de la vengeance sonnera - La morte non conta i dollari - Riccardo Freda - 1967
Tu supposes bien. Il n'y en n'a jamais sur les dvd Koch Media. Seulement anglais je crois.
Trinita- Sergio Leone
- Messages : 6641
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Age : 41
Localisation : Angers
Re: Quand l'heure de la vengeance sonnera - La morte non conta i dollari - Riccardo Freda - 1967
DVD Koch Media sorti.
Très belle copie, issue des projections western spaghetti du Festival de Venise 2007, Scope anamorphique. Pistes italienne, anglaise, allemande, sous-titres allemands seuls.
Pas de Yves Boisset, assistant sur le film, dans les Bonus.
(Il existe aussi un DVD grec du film, mais je ne connais pas).
Très belle copie, issue des projections western spaghetti du Festival de Venise 2007, Scope anamorphique. Pistes italienne, anglaise, allemande, sous-titres allemands seuls.
Pas de Yves Boisset, assistant sur le film, dans les Bonus.
(Il existe aussi un DVD grec du film, mais je ne connais pas).
JO- Sergio Leone
- Messages : 4203
Date d'inscription : 10/05/2010
Re: Quand l'heure de la vengeance sonnera - La morte non conta i dollari - Riccardo Freda - 1967
Vu en entier le DVD Koch Media, très belle copie dans son ensemble, même si quelques bleus sont un peu passés (même procédé que Les 4 de l'Ave Maria, italien, ce sont les mêmes couleurs, cela se perçoit bien dans les bruns et les bleus, justement) .
Une excellente photographie de Gabor Pogany (collaborateur coutumier de Freda, et chef-opérateur des 2 Missionnaires ), en dépit de quelques raccords hâtifs et des décors réutilisés pour différents lieux (cela se voit).
Yves Boisset étant bien crédité au générique italien, c'est quand même dommage qu'il n'ait pas été interviewé....
Une excellente photographie de Gabor Pogany (collaborateur coutumier de Freda, et chef-opérateur des 2 Missionnaires ), en dépit de quelques raccords hâtifs et des décors réutilisés pour différents lieux (cela se voit).
Yves Boisset étant bien crédité au générique italien, c'est quand même dommage qu'il n'ait pas été interviewé....
JO- Sergio Leone
- Messages : 4203
Date d'inscription : 10/05/2010
Re: Quand l'heure de la vengeance sonnera - La morte non conta i dollari - Riccardo Freda - 1967
Revu le film grâce au DVD Koch Media. Mieux compris l'intrigue (la soeur du vengeur n'est pas la chose du shérif, ce sont deux personnages différents) et vu plusieurs défauts.
Le plus gros, c'est la surprise révélée aux deux tiers du film, mais, avec le recul, je ne comprends pas pourquoi Lawrence White et Harry Boyd ont imaginé un tel plan. Ou alors, à la rigueur, peut-être parce que l'un d'eux est un homme de loi et qu'il n'aurait pas été libre de ses mouvements autrement...
Je persiste à croire qu'il manque un chapitre -- ou plutôt que le scénario a subi des coupes pour rester dans le temps imparti : certains enchaînements ne me semblent pas logique et les personnages féminins sont sacrifiés.
L'acteur qui joue le shérif est un véritable cabot -- c'est difficilement supportable.
Bilan : un bon film, mais pas un western all'italiana au sens où je le comprends : c'est davantage un film noir transposé dans un contexte de western (peut-être aurait-il mieux valu choisir l'Amérique des années 30, d'ailleurs).
Niveau visuel, on est nettement comblés : composition, éclairages, couleurs, mouvements de caméra -- tout est excellent. Comme le dit JO, l'image présente de légers défauts, mais rien de rédhibitoire.
B.
Le plus gros, c'est la surprise révélée aux deux tiers du film, mais, avec le recul, je ne comprends pas pourquoi Lawrence White et Harry Boyd ont imaginé un tel plan. Ou alors, à la rigueur, peut-être parce que l'un d'eux est un homme de loi et qu'il n'aurait pas été libre de ses mouvements autrement...
Je persiste à croire qu'il manque un chapitre -- ou plutôt que le scénario a subi des coupes pour rester dans le temps imparti : certains enchaînements ne me semblent pas logique et les personnages féminins sont sacrifiés.
L'acteur qui joue le shérif est un véritable cabot -- c'est difficilement supportable.
Bilan : un bon film, mais pas un western all'italiana au sens où je le comprends : c'est davantage un film noir transposé dans un contexte de western (peut-être aurait-il mieux valu choisir l'Amérique des années 30, d'ailleurs).
Niveau visuel, on est nettement comblés : composition, éclairages, couleurs, mouvements de caméra -- tout est excellent. Comme le dit JO, l'image présente de légers défauts, mais rien de rédhibitoire.
B.
Re: Quand l'heure de la vengeance sonnera - La morte non conta i dollari - Riccardo Freda - 1967
Pas mal du tout celui-là. Certes l'intrigue, dévoilée dans le titre, est à nouveau très conventionnelle mais l'inversion des rôles des 2 comparses surprend et relance l'intérêt déjà éveillé, en ce qui me concerne, par une très belle brune. On peut aussi aimer les spaghettis pour ça, si c'en est un ? Très belle copie, ce qui ne gâche rien.
MARCHAND- Sergio Leone
- Messages : 5457
Date d'inscription : 06/04/2010
Re: Quand l'heure de la vengeance sonnera - La morte non conta i dollari - Riccardo Freda - 1967
JO a écrit:DVD Koch Media sorti.
Très belle copie, issue des projections western spaghetti du Festival de Venise 2007, .......
La copie est belle, mais pendant une bonne minute ( à 10 minutes du début, lors de l'arrivée de
la diligence en ville ) la péllicule est légèrement "voilée" sur le coté gauche de l'image !
Rien de rédhibitoire, mais hein la qualité allemande !
Ach ! Nur ein klein Problem !!!
_________________
Edocle- Sergio Leone
- Messages : 3743
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 78
Localisation : 92 Spaghetti Ville
Re: Quand l'heure de la vengeance sonnera - La morte non conta i dollari - Riccardo Freda - 1967
La distribution:
Mark Damon
Stephen Forsyth
Luciana Gilli
Pamela Tudor
Nello Pazzafini
Luciano Pigozzi, alias Alan Collins
Ignazio Spalla, alias Pedro Sanchez
Spartaco Conversi
Aldo Cecconi
Lidia Biondi (Actrice CSC, au générique de Pistolet pour cent croix et encore en activité.)
Mariella Palmich (autre actrice CSC)
Pamela Tudor / Renato Chiantoni
Renzo Pevarello
Dino Strano
Mark Damon
Stephen Forsyth
Luciana Gilli
Pamela Tudor
Nello Pazzafini
Luciano Pigozzi, alias Alan Collins
Ignazio Spalla, alias Pedro Sanchez
Spartaco Conversi
Aldo Cecconi
Lidia Biondi (Actrice CSC, au générique de Pistolet pour cent croix et encore en activité.)
Mariella Palmich (autre actrice CSC)
Pamela Tudor / Renato Chiantoni
Renzo Pevarello
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Rex Lee- Sergio Leone
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Localisation : 19
Re: Quand l'heure de la vengeance sonnera - La morte non conta i dollari - Riccardo Freda - 1967
Vu!
Et bien, on sent qu'on a mis les moyens dans cette production de l'excellent Freda : de la musique aux décors, des figurants aux comédiens, peu a été laissé au hasard, et c'est un super spectacle auquel on assiste.
Comme Breccio, j'ai senti qu'il y avait des ellipses ci et là, ce n'est pas qu'on reste sur sa faim mais on se dit que certains personnages ou aspects de l'intrigue auraient pu être approfondis.
Mis à part ce bémol, un western à voir absolument
Fredge
Et bien, on sent qu'on a mis les moyens dans cette production de l'excellent Freda : de la musique aux décors, des figurants aux comédiens, peu a été laissé au hasard, et c'est un super spectacle auquel on assiste.
Comme Breccio, j'ai senti qu'il y avait des ellipses ci et là, ce n'est pas qu'on reste sur sa faim mais on se dit que certains personnages ou aspects de l'intrigue auraient pu être approfondis.
Mis à part ce bémol, un western à voir absolument
Fredge
Fredge- Michele Lupo
- Messages : 424
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 57
Localisation : Belgium
Re: Quand l'heure de la vengeance sonnera - La morte non conta i dollari - Riccardo Freda - 1967
C'est bizarre que la plupart soient emballés par ce western, pour ma part je me suis un peu ennuyé: pas vraiment de délire, peu de suspens, l'action est assez limité à part au début et à la fin.
Bon sinon, le dvd Koch est sympa, la façon de filmer est pro, les acteurs sont bien mais ça reste une déception pour moi...
De plus la confrontation finale ne m'emballe pas: les deux acolytes de Mark Damon restent planter au milieu de la rue et se mettent à tirer soudainement; puis un coup il n'y a plus de balle dans un revolver, finalement il en restait
Bon sinon, le dvd Koch est sympa, la façon de filmer est pro, les acteurs sont bien mais ça reste une déception pour moi...
De plus la confrontation finale ne m'emballe pas: les deux acolytes de Mark Damon restent planter au milieu de la rue et se mettent à tirer soudainement; puis un coup il n'y a plus de balle dans un revolver, finalement il en restait
Il Ritardario- Sergio Sollima
- Messages : 716
Date d'inscription : 30/07/2010
Re: Quand l'heure de la vengeance sonnera - La morte non conta i dollari - Riccardo Freda - 1967
Horace Pinker a écrit:Un western que j'ai vraiment hâte de découvrir ne serait-ce que pour ce morceau magnifique
Chouette morceau, en effet, mais on l'entend à peine dans le film non ?
On l'entend "en arrière" quand Stephen Forsyth parle avec Luicia Gilli, c'est tout, et c'est de mémoire très court. Sur le DVD Koch Media en tout cas.
Sancho Perez- Sergio Sollima
- Messages : 630
Date d'inscription : 01/04/2012
Re: Quand l'heure de la vengeance sonnera - La morte non conta i dollari - Riccardo Freda - 1967
Il Ritardario a écrit: puis un coup il n'y a plus de balle dans un revolver, finalement il en restait
J'ai reregardé la scène en question et ça se tient. Nello Pazzafini n'a pas compté ses balles et se pointe devant Mark Damon avec son flingue vide. Pazzafini parvient à prendre l'arme de Damon, qui lui dit qu'elle est vide mais là c'est du bluff, puisqu'il se jette sur lui dès qu'il essaye de vérifier.
Par contre, je suis d'accord pour le coup des acolytes qui "restent plantés au milieu de la rue et se mettent à tirer soudainement", on dirait que cette scène a été mal montée et ne se trouve pas au bon endroit (surtout quand on voit Nello Pazzafini qui ricane juste après que ses derniers hommes restants se fassent descendre).
Film sympathique sans pour autant m'avoir emballé plus que ça, mais j'aurais préféré des sous titres anglais plutôt que l'audio anglais, j'ai dû mal à tout assimiler à cause de ma capacité d'écoute limitée.
Par exemple, j'étais persuadé que Stephen Forsyth et Luciana Gilli jouaient frère et soeurs avant de les voir s'embrasser avec passion
Sancho Perez- Sergio Sollima
- Messages : 630
Date d'inscription : 01/04/2012
Re: Quand l'heure de la vengeance sonnera - La morte non conta i dollari - Riccardo Freda - 1967
Dans ses mémoires parues sous le titre "La vie est un choix", Yves Boisset alors assistant de Freda évoque 2 westerns tournés en parallèle par la même équipe. Ce, pour une question de budget et de gain de temps.
Boisset se serait occupé des scènes d'action. Tandis que Freda, pas vraiment intéressé par celles-ci, se serait concentré sur les scènes plus "dialoguées", plus intimistes.
Ma grande question est la suivante:
SI Freda à bien signé 2 westerns, qu'est devenu le second ???
En tout cas, à ma connaissance, nulle part il n'en est fait mention.
Boisset se serait occupé des scènes d'action. Tandis que Freda, pas vraiment intéressé par celles-ci, se serait concentré sur les scènes plus "dialoguées", plus intimistes.
Ma grande question est la suivante:
SI Freda à bien signé 2 westerns, qu'est devenu le second ???
En tout cas, à ma connaissance, nulle part il n'en est fait mention.
Blondin67- Enzo G. Castellari
- Messages : 340
Date d'inscription : 07/04/2017
Localisation : Lyon
Re: Quand l'heure de la vengeance sonnera - La morte non conta i dollari - Riccardo Freda - 1967
Blondin67 a écrit:Dans ses mémoires parues sous le titre "La vie est un choix", Yves Boisset alors assistant de Freda évoque 2 westerns tournés en parallèle par la même équipe. Ce, pour une question de budget et de gain de temps.
Boisset se serait occupé des scènes d'action. Tandis que Freda, pas vraiment intéressé par celles-ci, se serait concentré sur les scènes plus "dialoguées", plus intimistes.
Ma grande question est la suivante:
SI Freda à bien signé 2 westerns, qu'est devenu le second ???
En tout cas, à ma connaissance, nulle part il n'en est fait mention.
Tu as raison, Blondin, Freda n'a réalisé que ce western. Du moins, il n'a signé que celui-ci, et encore, il a pris le pseudonyme de George Lincoln.
Deux deux choses l'une: ou bien Boisset se trompe (ce qui est compréhensible après tout ce temps), ou bien, et je crois que c'est cela, les 2 westerns tournés en parallèle par la même équipe avaient des réalisateurs différents.
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
- Messages : 6431
Date d'inscription : 06/04/2010
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