Zorro le justicier ( E continuavano a Chiamarlo Figlio di… ) –1970- Rafael ROMERO MARCHENT
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Zorro le justicier ( E continuavano a Chiamarlo Figlio di… ) –1970- Rafael ROMERO MARCHENT
Zorro le justicier ( E continuavano a Chiamarlo Figlio di… ) – Rafael ROMERO MARCHENT
Bon j’en vois qui vont dire : « pfff… encore du Zorro !!!»
Ben ouais, mais du comme ça on en voit rarement. C’est du tout bon, du Zorro spaghetti.
Lors de sa sortie en 1970, M.P. un critique de « Il Giorno » écrivait que le « réalisateur avait eu le tord de confondre l’idée que l’on se faisait de Zorro avec une cape et une épée, avec un Zorro armé d’un colt comme on en voit dans l’Ouest made in Rome ».
Pour moi c’est ça qui fait le charme de ce film. Et si Zorro n’utilise pas beaucoup son Colt, je peux vous dire que les autres le font fumer !
De toute façon ce n’est pas du vrai Zorro. En cela le titre italien est correct, c’est le fils de Zorro qui reprend du service pour éviter injustice et spoliation.
Le jeune Fred (Carlos Romero Marchent) débarque dans une ville de l’ouest pour se recueillir sur la tombe de son père. Celui-ci mort et enterré, laisse un immense ranch que le juge et le shérif s’apprêtent à vendre aux enchères. Ce ranch est convoité par deux ordures locales Warmer et son acolyte Buck parce que, dit-on, le tracé du chemin de fer ferait envoler sa valeur marchande. Ils échafaudent donc un plan pour faire accuser Fred de vol et meurtre. Mais voilà Don Diego (Fabio Testi), le fiston de Zorro veille et n’hésite pas à en dosser la vieille tunique de son père pour faire triompher le bon droit !
Mais mon bon monsieur, les temps ont changé et si la cagoule est là, le colt et la winchester ont remplacé l’épée...
Nostalgiques de Walt Disney, passez votre chemin, ici ça défouraille un max. !
Et puis tous les autres sont là. On reconnait la belle Simone Blondel, les gueules de Piero Lulli, Lui Induni, Frank Brana, Eduardo Calvo, Luis Gaspar et tout ce beau monde s’en donne à cœur joie sous la direction de Rafael Romero Marchent.
Chez les Marchent, on sait faire du cinéma et des bons films. On n’hésite pas s’il le faut à se coller au scénario et quand il s’agit de filmer des scènes de bagarre avec un grand nombre de cascadeurs, on n’est pas empoté de la caméra !
Je ne vous raconte pas la bataille finale. Dans le patelin qui avait déjà servi à « une poignée de dollars » les balles volent bas et l’armurier a liquidé son stock de balles à blanc.
On dit que certaines séquences proviennent de chutes d’autres productions, mais je n’en ai pas la preuve…
Musique passe-partout de Lallo Gori, c’est filmé en 35mm scope couleurs Eastmancolor, anamorphose 2.35 et enlevé en 83 minutes durée cinéma !
Pas un chef d’œuvre, mais une œuvre de série qui tient la route et que l’amateur suivra avec plaisir.
Pour voir ce fils de Zorro, il y a un DVD espagnol et un DVD italien avec des sous-titres pour mal entendant. Ce qui veut dire qu’il y a bien une VOSTF quelque part…
Non, pour être plus juste, merci Zorro.
Amicalement E.
Bon j’en vois qui vont dire : « pfff… encore du Zorro !!!»
Ben ouais, mais du comme ça on en voit rarement. C’est du tout bon, du Zorro spaghetti.
Lors de sa sortie en 1970, M.P. un critique de « Il Giorno » écrivait que le « réalisateur avait eu le tord de confondre l’idée que l’on se faisait de Zorro avec une cape et une épée, avec un Zorro armé d’un colt comme on en voit dans l’Ouest made in Rome ».
Pour moi c’est ça qui fait le charme de ce film. Et si Zorro n’utilise pas beaucoup son Colt, je peux vous dire que les autres le font fumer !
De toute façon ce n’est pas du vrai Zorro. En cela le titre italien est correct, c’est le fils de Zorro qui reprend du service pour éviter injustice et spoliation.
Le jeune Fred (Carlos Romero Marchent) débarque dans une ville de l’ouest pour se recueillir sur la tombe de son père. Celui-ci mort et enterré, laisse un immense ranch que le juge et le shérif s’apprêtent à vendre aux enchères. Ce ranch est convoité par deux ordures locales Warmer et son acolyte Buck parce que, dit-on, le tracé du chemin de fer ferait envoler sa valeur marchande. Ils échafaudent donc un plan pour faire accuser Fred de vol et meurtre. Mais voilà Don Diego (Fabio Testi), le fiston de Zorro veille et n’hésite pas à en dosser la vieille tunique de son père pour faire triompher le bon droit !
Mais mon bon monsieur, les temps ont changé et si la cagoule est là, le colt et la winchester ont remplacé l’épée...
Nostalgiques de Walt Disney, passez votre chemin, ici ça défouraille un max. !
Et puis tous les autres sont là. On reconnait la belle Simone Blondel, les gueules de Piero Lulli, Lui Induni, Frank Brana, Eduardo Calvo, Luis Gaspar et tout ce beau monde s’en donne à cœur joie sous la direction de Rafael Romero Marchent.
Chez les Marchent, on sait faire du cinéma et des bons films. On n’hésite pas s’il le faut à se coller au scénario et quand il s’agit de filmer des scènes de bagarre avec un grand nombre de cascadeurs, on n’est pas empoté de la caméra !
Je ne vous raconte pas la bataille finale. Dans le patelin qui avait déjà servi à « une poignée de dollars » les balles volent bas et l’armurier a liquidé son stock de balles à blanc.
On dit que certaines séquences proviennent de chutes d’autres productions, mais je n’en ai pas la preuve…
Musique passe-partout de Lallo Gori, c’est filmé en 35mm scope couleurs Eastmancolor, anamorphose 2.35 et enlevé en 83 minutes durée cinéma !
Pas un chef d’œuvre, mais une œuvre de série qui tient la route et que l’amateur suivra avec plaisir.
Pour voir ce fils de Zorro, il y a un DVD espagnol et un DVD italien avec des sous-titres pour mal entendant. Ce qui veut dire qu’il y a bien une VOSTF quelque part…
Non, pour être plus juste, merci Zorro.
Amicalement E.
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Edocle- Sergio Leone
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Re: Zorro le justicier ( E continuavano a Chiamarlo Figlio di… ) –1970- Rafael ROMERO MARCHENT
MARTIN MOORE = FABIO TESTI
Un western agréable à suivre et pour cause : avec les Romero Marchent , on n'est jamais déçu.
Mais ce film suscite quelques interrogations :
- comment en est-on arrivé à l'association FIDANI ( avec , à ma gauche , Fabio Testi et Simone Blondel ) - /- MARCHENT ( avec, à ma droite ,Carlos R.M. ,Brana , Induni , Mejuto et Lulli ...)?
-Pourquoi les noms du générique italien ( Testi , Blondel , Garrone ...) ne sont-il pas tout à fait les mêmes dans le générique espagnol ,visible sur Youtube ( Martin Moore , Carlos Romero Marchent et , en gros caractères , Francisco Brana ) ? On a l'impression que les Italiens ont voulu gommer le côté espagnol du film .
- R.Garrone et Luis Gaspar passent inaperçus ....N' y aurait-il pas des coupes dans la version italienne ?
-Comme cela a été signalé , certaines images proviennent d'un film plus ancien : c'est bien fait , mais cela se voit un peu : il s'agit des scènes de chevauchées , d'attaques du train et de la dilligence et du combat final . Pourquoi ? Habituellement , Rafael R.Marchent ne recourt pas à ce procédé . Il a bien fallu que quelque chose le justifie ! Mais quoi ? Manque d'argent ? Problème de co-production ?
Bon western et que ces quelques questions ne découragent personne .Mais plutôt qu'elles vous poussent à le voir !
Fabio Testi
Carlos Romero Marchent
Frank Brana / Simone Blondel
Piero Lulli / Miguel de la Riva
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Zorro le justicier ( E continuavano a Chiamarlo Figlio di… ) –1970- Rafael ROMERO MARCHENT
Cette séquence, j'aurais presque pu la mettre sur le sujet " Petit jeu (de l'été )... pour les connaisseurs ".
Regardez bien cette capture, d'après vous est-ce qu'il y a un cavalier sur ce cheval:
Regardez mieux cette séquence avec un dixième de seconde plus tard: il y a une main qui apparait juste au dessus de la selle:
S'il y a une main, c'est qu'il y a un bras au bout et un chapeau pas loin:
Effectivement il y avait bien un cavalier sur le cheval, et en plus c'est Zorro ! Y a pas à dire, il est quand même fort ce Zorro :
Tout ça pour dire que les films de Zorro sont souvent prétexte à des cascades hallucinantes car avec un masque, les cascadeurs s'en donnent à coeur joie avec la possibilité d'avoir des plans un peu plus proches que d'accoutumée.
J'ai été soufflé par ce passage:le cheval n'a pas l'air particulièrement mollasson, ça défile à toute allure.
Regardez bien cette capture, d'après vous est-ce qu'il y a un cavalier sur ce cheval:
Regardez mieux cette séquence avec un dixième de seconde plus tard: il y a une main qui apparait juste au dessus de la selle:
S'il y a une main, c'est qu'il y a un bras au bout et un chapeau pas loin:
Effectivement il y avait bien un cavalier sur le cheval, et en plus c'est Zorro ! Y a pas à dire, il est quand même fort ce Zorro :
Tout ça pour dire que les films de Zorro sont souvent prétexte à des cascades hallucinantes car avec un masque, les cascadeurs s'en donnent à coeur joie avec la possibilité d'avoir des plans un peu plus proches que d'accoutumée.
J'ai été soufflé par ce passage:le cheval n'a pas l'air particulièrement mollasson, ça défile à toute allure.
Il Ritardario- Sergio Sollima
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Date d'inscription : 30/07/2010
Re: Zorro le justicier ( E continuavano a Chiamarlo Figlio di… ) –1970- Rafael ROMERO MARCHENT
J'aime bien ces arrêts sur image qui permettent de saisir des détails qui souvent nous échappent...
Tenez, une autre affiche de ce Zorro:
Tenez, une autre affiche de ce Zorro:
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Zorro le justicier ( E continuavano a Chiamarlo Figlio di… ) –1970- Rafael ROMERO MARCHENT
Ce qu'il y a d'étonnant dans ce film c'est que Django le batard (Anthony Steffen) a dû sévir dans le même secteur que Zorro puisqu'il est recherché - voir la superbe capture ci-dessous prise dans le bureau du shérif
1000 $ mort ou vif, ce n'est pas bien élevé en comparaison du nombre de morts que Django a laissé sur son passage; d'ailleurs il n'ont même pas inscrit son nom !!
D'un autre côté, Zorro (tout fort qu'il est) aura bien du mal à le capturer, parce que pour chopper un spectre, bon courage...
1000 $ mort ou vif, ce n'est pas bien élevé en comparaison du nombre de morts que Django a laissé sur son passage; d'ailleurs il n'ont même pas inscrit son nom !!
D'un autre côté, Zorro (tout fort qu'il est) aura bien du mal à le capturer, parce que pour chopper un spectre, bon courage...
Il Ritardario- Sergio Sollima
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Date d'inscription : 30/07/2010
Re: Zorro le justicier ( E continuavano a Chiamarlo Figlio di… ) –1970- Rafael ROMERO MARCHENT
Bien vu, l'ami!
Avec une telle affiche...(Steffen? Peu importe...)
...on voit tout de suite que ce Zorro-là appartient bien au western européen.
Avec une telle affiche...(Steffen? Peu importe...)
...on voit tout de suite que ce Zorro-là appartient bien au western européen.
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Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Zorro le justicier ( E continuavano a Chiamarlo Figlio di… ) –1970- Rafael ROMERO MARCHENT
Encore une petite capture où le cavalier se cache et fait corps avec son cheval:
La suite révèle la dextérité du tandem homme/animal:
Quand je vous disais qu'il était fort ce Zorro, il fait du cheval à l'envers pour éviter les balles ...
...et pour tirer ? Ben... il fait aussi du cheval à l'envers:
La suite révèle la dextérité du tandem homme/animal:
Quand je vous disais qu'il était fort ce Zorro, il fait du cheval à l'envers pour éviter les balles ...
...et pour tirer ? Ben... il fait aussi du cheval à l'envers:
Il Ritardario- Sergio Sollima
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Date d'inscription : 30/07/2010
Re: Zorro le justicier ( E continuavano a Chiamarlo Figlio di… ) –1970- Rafael ROMERO MARCHENT
A droite: Riccardo Garrone (récemment disparu)
NB: L'origine de ces documents est incertaine...Peut-être s'agit-il de photos de plateau...De plus, cela fait longtemps que je les ai stockées.
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Rex Lee- Sergio Leone
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El zorro justiciero
El film.malisimo.contiene escenas de cabalgando hacia la muerte y de trs hombres buenos.
Fijarse que tan pronto esta la iglesia como no esta de golden city.
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abel haro pulido- Francesco Degli Espinosa
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Date d'inscription : 31/12/2013
Re: Zorro le justicier ( E continuavano a Chiamarlo Figlio di… ) –1970- Rafael ROMERO MARCHENT
ebay
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Rex Lee- Sergio Leone
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