Mon Colt fait la loi - Le pistole non discutono - Mario Caiano - 1963
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Mon Colt fait la loi - Le pistole non discutono - Mario Caiano - 1963
Note liminaire : cette critique est rédigée dans la foulée de celle de Duel au Texas.
Les frères Clanton se sont réfugiés au Mexique tout proche, car ça commence à être chaud pour eux au Texas. George, le cadet (Angel Aranda), a une idée géniale : le shérif Pat Garrett (Rod Cameron) se marie aujourd’hui — profitons-en pour braquer la banque. Billy (Horst Frank) accepte, et voilà nos deux bandits qui se masquent et raflent les dollars. Sauf que le masque de George tombe, et, du coup, Billy abat le banquier et son employé.
Renonçant à son voyage de noces, Pat Garrett réunit une posse et file aux trousses des Clanton. Mais ses hommes ne veulent pas franchir le Rio Grande, et il entre seul au Mexique. Il ne lui faut pas longtemps pour capturer les fugitifs et tous trois repartent pour le Texas.
C’est là que ça se complique, car non seulement ils ont à traverser un désert redoutable, mais en plus le bandido Santero (Mimmo Palmara) veut s’emparer du butin. La suite ? Coups fourrés, poursuites, fusillades… jusqu’à l’heureux dénouement final.
Là encore (cf. Duel au Texas), valeur historique indéniable. Mais avec un plus, et il est de taille : ce film est épatant. Essayons de déterminer pourquoi.
On a affaire à un produit franchement imité de l’américain. La présence de Rod Cameron, massif, buriné, madré, imprime sa marque à l’ensemble. C’est un ersatz de John Wayne et il l’assume sans honte. Du coup, le spectateur est placé dans un état d’esprit tel qu’il se détend et apprécie le film pour ce qu’il est : une œuvre de distraction qui véhicule des valeurs traditionnelles (honneur, loyauté, courage) et qui le fait bien. Le contrat est évident, et il est parfaitement rempli.
Cela dit… on sent néanmoins percer les prémices de la démesure italienne, surtout dans les personnages interprétés par Horst Frank et Mimmo Palmara. Billy Clanton est un véritable salaud, totalement dénué de scrupules, opportuniste. Dans un western américain, il y aurait une petite nuance, une ombre de détail, qui nous le montrerait susceptible de rédemption comme son frère ; ici, non. Santero, quant à lui, est le prototype du bandido mexicain tonitruant et brutal, que Palmara (cascadeur de métier) interprète de façon très physique. Il éclaire le film de sa présence.
Dernier point à souligner : la beauté plastique du film, la façon éblouissante dont sont filmés les paysages chers aux aficionados. C’est de la belle ouvrage.
Un film jubilatoire, vivement conseillé. Pour son astuce (Pat Garrett a TOUJOURS une longueur d’avance sur ses adversaires, ce qui finit par devenir amusant sans que le personnage paraisse ridicule, une prouesse de narration), son alacrité (ça bouge, ça n’arrête pas de bouger !) et son audace dans l’utilisation des clichés les plus rebattus (je vous dis pas la scène finale).
Comment le voir ? Pas de DVD en VF à ma connaissance, mais, là encore – et davantage que pour Duel au Texas –, je vous recommande le DVD italien de Ripley’s Home Video. La restauration de l’image est somptueuse, il y a une piste anglaise et une piste italienne (toujours sans sous-titres), et, en plus, il y a un entretien de 29 minutes avec Mario Caiano (italien avec ST anglais en option) absolument passionnant.
Breccio a dit : allez-y voir de plus près !
Les frères Clanton se sont réfugiés au Mexique tout proche, car ça commence à être chaud pour eux au Texas. George, le cadet (Angel Aranda), a une idée géniale : le shérif Pat Garrett (Rod Cameron) se marie aujourd’hui — profitons-en pour braquer la banque. Billy (Horst Frank) accepte, et voilà nos deux bandits qui se masquent et raflent les dollars. Sauf que le masque de George tombe, et, du coup, Billy abat le banquier et son employé.
Renonçant à son voyage de noces, Pat Garrett réunit une posse et file aux trousses des Clanton. Mais ses hommes ne veulent pas franchir le Rio Grande, et il entre seul au Mexique. Il ne lui faut pas longtemps pour capturer les fugitifs et tous trois repartent pour le Texas.
C’est là que ça se complique, car non seulement ils ont à traverser un désert redoutable, mais en plus le bandido Santero (Mimmo Palmara) veut s’emparer du butin. La suite ? Coups fourrés, poursuites, fusillades… jusqu’à l’heureux dénouement final.
Là encore (cf. Duel au Texas), valeur historique indéniable. Mais avec un plus, et il est de taille : ce film est épatant. Essayons de déterminer pourquoi.
On a affaire à un produit franchement imité de l’américain. La présence de Rod Cameron, massif, buriné, madré, imprime sa marque à l’ensemble. C’est un ersatz de John Wayne et il l’assume sans honte. Du coup, le spectateur est placé dans un état d’esprit tel qu’il se détend et apprécie le film pour ce qu’il est : une œuvre de distraction qui véhicule des valeurs traditionnelles (honneur, loyauté, courage) et qui le fait bien. Le contrat est évident, et il est parfaitement rempli.
Cela dit… on sent néanmoins percer les prémices de la démesure italienne, surtout dans les personnages interprétés par Horst Frank et Mimmo Palmara. Billy Clanton est un véritable salaud, totalement dénué de scrupules, opportuniste. Dans un western américain, il y aurait une petite nuance, une ombre de détail, qui nous le montrerait susceptible de rédemption comme son frère ; ici, non. Santero, quant à lui, est le prototype du bandido mexicain tonitruant et brutal, que Palmara (cascadeur de métier) interprète de façon très physique. Il éclaire le film de sa présence.
Dernier point à souligner : la beauté plastique du film, la façon éblouissante dont sont filmés les paysages chers aux aficionados. C’est de la belle ouvrage.
Un film jubilatoire, vivement conseillé. Pour son astuce (Pat Garrett a TOUJOURS une longueur d’avance sur ses adversaires, ce qui finit par devenir amusant sans que le personnage paraisse ridicule, une prouesse de narration), son alacrité (ça bouge, ça n’arrête pas de bouger !) et son audace dans l’utilisation des clichés les plus rebattus (je vous dis pas la scène finale).
Comment le voir ? Pas de DVD en VF à ma connaissance, mais, là encore – et davantage que pour Duel au Texas –, je vous recommande le DVD italien de Ripley’s Home Video. La restauration de l’image est somptueuse, il y a une piste anglaise et une piste italienne (toujours sans sous-titres), et, en plus, il y a un entretien de 29 minutes avec Mario Caiano (italien avec ST anglais en option) absolument passionnant.
Breccio a dit : allez-y voir de plus près !
Re: Mon Colt fait la loi - Le pistole non discutono - Mario Caiano - 1963
Quel bon western ! Un must ! Breccio a tout dit ...
J'ajoute simplement ceci , puisqu'il a été question de Joe Kamel dans cette rubrique . Le Joe Kamel que l'on a ici et que l'on voit deux minutes à la fin , en capitaine de cavalerie ( faut bien regarder , tout de même ! ) est le Joe Kamel de QUINTO . Rien à voir encore avec Canalejas . Et voici ma déduction : Kamel , avec un K , n'est pas Canalejas . Peut-être dans un ou deux films , Canalejas a-t-il pris le pseudonyme de Camel ( avec un C ) ,mais rien n'est moins sûr . Une erreur d'IMDb , peut-être , répercutée un peu partout , comme cela arrive parfois...Une erreur pouvant provenir d' El Mercenario dans lequel Kamel et Canalejas sont présents .
Vivi Bach
J'ajoute simplement ceci , puisqu'il a été question de Joe Kamel dans cette rubrique . Le Joe Kamel que l'on a ici et que l'on voit deux minutes à la fin , en capitaine de cavalerie ( faut bien regarder , tout de même ! ) est le Joe Kamel de QUINTO . Rien à voir encore avec Canalejas . Et voici ma déduction : Kamel , avec un K , n'est pas Canalejas . Peut-être dans un ou deux films , Canalejas a-t-il pris le pseudonyme de Camel ( avec un C ) ,mais rien n'est moins sûr . Une erreur d'IMDb , peut-être , répercutée un peu partout , comme cela arrive parfois...Une erreur pouvant provenir d' El Mercenario dans lequel Kamel et Canalejas sont présents .
Vivi Bach
Dernière édition par Rex Lee le Ven 22 Juil - 6:42, édité 1 fois
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Mon Colt fait la loi - Le pistole non discutono - Mario Caiano - 1963
Encore une bonne surprise!C'est bien construit,bien mené par le tandem Rod Cameron,Horst Frank,des paysages variés et en plus on comprend l'italien grâce à Gator!
MARCHAND- Sergio Leone
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Re: Mon Colt fait la loi - Le pistole non discutono - Mario Caiano - 1963
Très bonne surprise. On est clairement dans de la très bonne copie de western ricain. On ne s'ennui pas une seconde, les paysages sont superbe. Cameron est impec, Frank est détestable à souhait et je vais regarder de près la filmo de ce Mimmo Palmara.
Les petits détails: On voit les coups venir, les trucs de Garrett, la fin. Pendant la poursuite dans le canyon on distingue les traces laissés par les pneus. Le serpent n'est pas raccord, celui qui s'échappe de la couverture n'est pas le même que celui tué par Cameron dans le sable(sans doute un stock shot d'un film US.)
En tous cas ne pas bouder son plaisir devant ce film. Qui sera sans doute méprisé par les americanos pur et dur, parceque tournage en Europe, casting hispanique... et peut-être même boudé par les spaghetti maniacs qui ne retrouveront peut-être pas la démesure qu'ils attendent.
Pour moi, en ce qui me concerne, je le conseille vivement, d'autant plus que la copie est vraiment très belle.
Merci E.
Les petits détails: On voit les coups venir, les trucs de Garrett, la fin. Pendant la poursuite dans le canyon on distingue les traces laissés par les pneus. Le serpent n'est pas raccord, celui qui s'échappe de la couverture n'est pas le même que celui tué par Cameron dans le sable(sans doute un stock shot d'un film US.)
En tous cas ne pas bouder son plaisir devant ce film. Qui sera sans doute méprisé par les americanos pur et dur, parceque tournage en Europe, casting hispanique... et peut-être même boudé par les spaghetti maniacs qui ne retrouveront peut-être pas la démesure qu'ils attendent.
Pour moi, en ce qui me concerne, je le conseille vivement, d'autant plus que la copie est vraiment très belle.
Merci E.
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Personne- Sergio Leone
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Re: Mon Colt fait la loi - Le pistole non discutono - Mario Caiano - 1963
Quelques photos du film! La dernière ne me dis rien, enfin je veux dire je ne vois pas quand la belle à côté d'Angel Aranda sortirait son flingue sur le chariot? Photo promo ou scène inédite?
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Personne- Sergio Leone
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Personne- Sergio Leone
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Re: Mon Colt fait la loi - Le pistole non discutono - Mario Caiano - 1963
Merci pour ces photos Personne. En plus j'adore Horst Frank depuis que je l'ai vu dans les Tontons Flingueurs.
Trinita- Sergio Leone
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Personne- Sergio Leone
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Re: Mon Colt fait la loi - Le pistole non discutono - Mario Caiano - 1963
Pas vu non plus . Je pense à une photo de promotion...
ANGEL ARANDA et VIVI BACH .
( La photo est très belle ...Je me permets de la récupérer pour la mettre dans la section " Acteurs )
ANGEL ARANDA et VIVI BACH .
( La photo est très belle ...Je me permets de la récupérer pour la mettre dans la section " Acteurs )
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Mon Colt fait la loi - Le pistole non discutono - Mario Caiano - 1963
C'est dépoussiéré !!!
et il faut reconnaitre que c'est un sacré bon film !
Rod Cameron, nous la fait effectivement John Wayne
et ce n'est pas mal du tout !
Cette dernière photo, ne figure pas dans le film, je peux vous le garantir....
Amicalement E.
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Edocle- Sergio Leone
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Re: Mon Colt fait la loi - Le pistole non discutono - Mario Caiano - 1963
Tout à fait, ça doit être une photo promotionnelle.
Quant à Rod Cameron, il m'a fait penser à James Garner plutôt qu'à John Wayne mais bon.
Sinon, tout à été dit. C'est un bon film avec un Horst Frank bien salaud comme j'aime et on peu voir également au côté de Palmara, Jose Luis Martin en bras droit de Santero.
De toute manière avec Caiano on ne peut pas être déçu car il a toujours fait de bon film de série et c'est bien dommage qu'il ne soit pas assez reconnu pour avoir droit à des sorties françaises en dvd.
Bref, c'est un bon film très plaisant à suivre malgré un côté prévisible surtout vers la fin.
Quant à Rod Cameron, il m'a fait penser à James Garner plutôt qu'à John Wayne mais bon.
Sinon, tout à été dit. C'est un bon film avec un Horst Frank bien salaud comme j'aime et on peu voir également au côté de Palmara, Jose Luis Martin en bras droit de Santero.
De toute manière avec Caiano on ne peut pas être déçu car il a toujours fait de bon film de série et c'est bien dommage qu'il ne soit pas assez reconnu pour avoir droit à des sorties françaises en dvd.
Bref, c'est un bon film très plaisant à suivre malgré un côté prévisible surtout vers la fin.
Trinita- Sergio Leone
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Re: Mon Colt fait la loi - Le pistole non discutono - Mario Caiano - 1963
Hallucinante (dés)information, non vérifiée par les éditions DVD ni autre source , dans le livre de Gianni di Claudio, Directed by Sergio Leone, 1990, (page 43) comme quoi le film aurait été tourné, suite à un désaccord entre le metteur en scène et le chef opérateur, en 2.35 et dans un format moins large... provoquant dans les salles un mal de mer irrépressible, du fait du rétrécissement et de l'élargissement alternatifs du cadre
JO- Sergio Leone
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Re: Mon Colt fait la loi - Le pistole non discutono - Mario Caiano - 1963
Je n'ai rien remarqué!
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Personne- Sergio Leone
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Re: Mon Colt fait la loi - Le pistole non discutono - Mario Caiano - 1963
Vu ce soir même; Breccio a tout dit: c'est hyper-classique et pourtant formidable. Je dis cela en m'étonnant moi-même car les premiers western italiens un peu trop sages, trop "imitation US" (le dollar troué, furie au Missouri) se laissent voir mais ne m'enthousiasment pas d'habitude. Mais là c'est différent.
Parce qu' il n'y a pas de temps morts, parce que l'histoire est intéressante et bien menée et aussi que les décors sont extrêmement variés, de sorte que c'est un enchantement sur le plan visuel. Impression d'avoir vu une très bonne série B, du genre des films avec Randolph Scott,dans le genre héros quinquagénaire malin comme un singe et qui assure toujours dans les coups durs !
La musique est excellente, même si ce n'est pas la meilleure partition de Morricone, loin s'en faut, mais c'est encore meilleur que 80% des B.O. de spaghs qu'on pourra entendre par la suite avec les Ortolani, Baccalov et autres à qui le talent mélodique et surtout le sens de l'orchestration de maestro font défaut (c'est mon opinion personnelle, inutile de m'envoyer des tonnes de messages de protestations!).
Pourtant on est encore dans l'influence US d'où une sorte d'imitation du style Tiomkin avec chanson bien virile au début et à la fin; seulement entre les deux, dans les scènes de suspense, d'action, pendant la traversée du désert, on entend des choses autrement plus originales - qu'on ne trouve nulle part dans le cinéma US à l'époque. Un génie est en pleine éclosion, sous nos yeux.. il ne lui reste plus qu'à rencontrer le cinéaste qui lui proposera la matière et l'espace propices à accoucher de lui-même et le reste appartient à l'histoire!
Bref, un film à recommander très chaudement. maintenant qu'il est disponible, il faut tous en profiter !
(visionné en anglais sans sous-titres, mais c'est très facile à suivre, vocabulaire assez simple, prononciation très claire)
Parce qu' il n'y a pas de temps morts, parce que l'histoire est intéressante et bien menée et aussi que les décors sont extrêmement variés, de sorte que c'est un enchantement sur le plan visuel. Impression d'avoir vu une très bonne série B, du genre des films avec Randolph Scott,dans le genre héros quinquagénaire malin comme un singe et qui assure toujours dans les coups durs !
La musique est excellente, même si ce n'est pas la meilleure partition de Morricone, loin s'en faut, mais c'est encore meilleur que 80% des B.O. de spaghs qu'on pourra entendre par la suite avec les Ortolani, Baccalov et autres à qui le talent mélodique et surtout le sens de l'orchestration de maestro font défaut (c'est mon opinion personnelle, inutile de m'envoyer des tonnes de messages de protestations!).
Pourtant on est encore dans l'influence US d'où une sorte d'imitation du style Tiomkin avec chanson bien virile au début et à la fin; seulement entre les deux, dans les scènes de suspense, d'action, pendant la traversée du désert, on entend des choses autrement plus originales - qu'on ne trouve nulle part dans le cinéma US à l'époque. Un génie est en pleine éclosion, sous nos yeux.. il ne lui reste plus qu'à rencontrer le cinéaste qui lui proposera la matière et l'espace propices à accoucher de lui-même et le reste appartient à l'histoire!
Bref, un film à recommander très chaudement. maintenant qu'il est disponible, il faut tous en profiter !
(visionné en anglais sans sous-titres, mais c'est très facile à suivre, vocabulaire assez simple, prononciation très claire)
old timer- Sergio Leone
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Date d'inscription : 20/05/2010
Re: Mon Colt fait la loi - Le pistole non discutono - Mario Caiano - 1963
Un film qui fait l'unanimité!!!!
_________________
Personne- Sergio Leone
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Re: Mon Colt fait la loi - Le pistole non discutono - Mario Caiano - 1963
Ángel Aranda et Rod Cameron
Horst Frank
Mimmo Palmara
stéphane- Michele Lupo
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Date d'inscription : 14/04/2010
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Localisation : Côte d'Ivoire
Re: Mon Colt fait la loi - Le pistole non discutono - Mario Caiano - 1963
Tequila et bière et pas d'autre choix?...
...Si, de l'Eau en abondance
stéphane- Michele Lupo
- Messages : 498
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Localisation : Côte d'Ivoire
Re: Mon Colt fait la loi - Le pistole non discutono - Mario Caiano - 1963
la musique est signé MORICCONE..me semble il non..
keomatouko- Enzo G. Castellari
- Messages : 269
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Re: Mon Colt fait la loi - Le pistole non discutono - Mario Caiano - 1963
keomatouko a écrit:la musique est signé MORICCONE..me semble il non..
Tout à fait!
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Personne- Sergio Leone
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Re: Mon Colt fait la loi - Le pistole non discutono - Mario Caiano - 1963
Comme le DVD italien, le DVD allemand de chez Koch est hors pair !
Le film, lui, toujours aussi excellent, avec un art consommé, virtuose même, du cadre, des lumières, du paysage et du montage.
On aurait souhaité que les Leone, les Trinita et les Génies de tout poil soient montrés avec autant d'attention passionnée... qui ne prête à aucune discussion : tout y est déjà parfait.
Note amusante : sur les crédits allemands, Caiano devient Manfred Rieger (Mike Perkins en Italie) et Morricone.... Emil Morrik !
Le film, lui, toujours aussi excellent, avec un art consommé, virtuose même, du cadre, des lumières, du paysage et du montage.
On aurait souhaité que les Leone, les Trinita et les Génies de tout poil soient montrés avec autant d'attention passionnée... qui ne prête à aucune discussion : tout y est déjà parfait.
Note amusante : sur les crédits allemands, Caiano devient Manfred Rieger (Mike Perkins en Italie) et Morricone.... Emil Morrik !
JO- Sergio Leone
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Re: Mon Colt fait la loi - Le pistole non discutono - Mario Caiano - 1963
Poblado del Oeste Lega y Michelena, Colmenar (Madrid), Main Street, vers mai 1964 : à quelques centaines de mètres de la route Colmenar-Guadalix de la Sierra, Pâturages municipaux, lieu-dit La Dehesa de Navalvillar.
La Main Street est construite pour La Furia del Ley de Leon Klimovsky, 1962, et devient un des principaux villages de l'Ouest en Espagne.
En 1958 existait déjà conçu par la même entreprise Lega y Michelena un Poblado del Oeste , au même endroit, mais démontable (La blonde et le Sheriff, Raoul Walsh).
L'ensemble est détruit en 1973. Rien ne subsiste, le projet de transférer un peu plus loin le village est abandonné, exception faite d'un Saloon, détruit aussi maintenant.
JO- Sergio Leone
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Date d'inscription : 10/05/2010
Re: Mon Colt fait la loi - Le pistole non discutono - Mario Caiano - 1963
Il y a une scène où Rod Cameron abat son cheval et qui n'est pas été doublée en Italien (Version italienne dvd RHV), est-ce une scène qui a été supprimée et puis réintégrée?
Ronald- Michele Lupo
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Re: Mon Colt fait la loi - Le pistole non discutono - Mario Caiano - 1963
Lucainena de Las Torres, Sierra Alhamilla (Almeria), printemps 1964.
Un Mexique idyllique.
JO- Sergio Leone
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Re: Mon Colt fait la loi - Le pistole non discutono - Mario Caiano - 1963
Set de Golden City, Hoyo de Manzanares (Madrid), printemps 1964.
Un village propret du Far-West. Pourtant c'est exactement le même que la bourgade désolée de Pour une poignée de Dollars, tourné conjointement.
Au fond, l'église devenue une façade de bois bordée d'une tour ( qui masque le clocher), la célèbre maison des Baxter du film de Sergio Leone.
JO- Sergio Leone
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Ronald- Michele Lupo
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