[ Vedette ] George Ardisson
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[ Vedette ] George Ardisson
Né en Italie, en 1931 .
Il est dans:
ZORRO L'INTREPIDE
MASSACRE AU GRAND CANYON
ZORRO LE RENARD
DEMANDE PARDON A DIEU , PAS A MOI (capture ci-dessus)
O TUTTO O NIENTE
DJANGO DEFIE SARTANA
CHAPAGUA
Massacre au Grand Canyon
O tutto o niente
Django défie Sartana
Chapagua
Hors western:
Le dernier des Vikings (1961)
Cléopâtre, une reine pour César (1962) avec Pascale Petit.
Agent 3 S 3 massacre au soleil (1966)
Hercule contre les vampires
Rex Lee- Sergio Leone
- Messages : 6429
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 68
Localisation : 19
Re: [ Vedette ] George Ardisson
Vient de paraître en Angleterre: Giorgio Ardisson: The Italian James Bond, par Matt Blake.
Je l'ai commandé. J'en reparlerai quand je l'aurai lu.
B.
Je l'ai commandé. J'en reparlerai quand je l'aurai lu.
B.
Re: [ Vedette ] George Ardisson
Reçu à l'instant. Joli livre de format 24x16, noir et blanc avec deux cahiers couleur. Intro, filmographie détaillée et touffue, quelques entretiens. A vue de nez, du travail de fan solide et documenté. J'y reviendrai sans doute après lecture approfondie, mais ça a l'air intéressant.Breccio a écrit:Vient de paraître en Angleterre: Giorgio Ardisson: The Italian James Bond, par Matt Blake.
B.
Re: [ Vedette ] George Ardisson
Dans "un joli corps qu'il faut tuer" (1970), un Giallo de Alfonso Brescia.
Giallo ou Giorgio Ardisson traverse plusieurs pays avec dans sa valise les morceaux de sa défunte femme.
Horace Pinker- Michele Lupo
- Messages : 545
Date d'inscription : 15/11/2010
Age : 47
Localisation : Seine et marne
Re: [ Vedette ] George Ardisson
pour moi juste un blondinet sans saveur
cyberpunk- Sergio Leone
- Messages : 2979
Date d'inscription : 15/04/2010
Age : 58
Re: [ Vedette ] George Ardisson
Bon, fini le livre ou quasiment. "Du travail de fan solide et documenté", disais-je. Oui, mais avec des nuances.
La documentation est là, ce qui étaye les notules de chaque film. Mais il manque une vision d'ensemble et, surtout, un portrait de l'homme Giorgio Ardisson, qui est à peine entrevu.
Comme l'écrit Matt Blake dans sa préface, le parcours d'Ardisson est représentatif de l'évolution (ou de la dévolution) du cinéma populaire italien du début des années 60 à celui des années 90, et c'est un peu le récit de cette évolution qui sert de fil rouge au film; mais, en même temps, l'auteur a accumulé une telle documentation qu'il se sent obligé d'en ressortir les moindres détails dans le cadre de la notule d'un film qui, ainsi qu'il le reconnaît, n'en vaut vraiment pas la peine.
Si Ardisson a eu quelques rôles intéressants dans le péplum, il a explosé dans le cinéma d'espionnage à l'italienne, puis il est passé à côté du western, du policier et presque du giallo, terminant sa carrière par des pantalonades et des films sexys totalement nuls.
Au final, le livre me laisse une impression mitigée. Peut-être n'était-ce pas le bon sujet, ou alors la bonne façon de l'aborder.
Bilan: réservé aux complétistes anglophones.
B.
PS: très fanique aussi, hélas, l'abondance des coquilles, la plus belle étant carrément sur le dos du livre, qui annonce GIORGIO ARDISSON, THE ITAIAN JAMES BOND. Faut l'faire!
La documentation est là, ce qui étaye les notules de chaque film. Mais il manque une vision d'ensemble et, surtout, un portrait de l'homme Giorgio Ardisson, qui est à peine entrevu.
Comme l'écrit Matt Blake dans sa préface, le parcours d'Ardisson est représentatif de l'évolution (ou de la dévolution) du cinéma populaire italien du début des années 60 à celui des années 90, et c'est un peu le récit de cette évolution qui sert de fil rouge au film; mais, en même temps, l'auteur a accumulé une telle documentation qu'il se sent obligé d'en ressortir les moindres détails dans le cadre de la notule d'un film qui, ainsi qu'il le reconnaît, n'en vaut vraiment pas la peine.
Si Ardisson a eu quelques rôles intéressants dans le péplum, il a explosé dans le cinéma d'espionnage à l'italienne, puis il est passé à côté du western, du policier et presque du giallo, terminant sa carrière par des pantalonades et des films sexys totalement nuls.
Au final, le livre me laisse une impression mitigée. Peut-être n'était-ce pas le bon sujet, ou alors la bonne façon de l'aborder.
Bilan: réservé aux complétistes anglophones.
B.
PS: très fanique aussi, hélas, l'abondance des coquilles, la plus belle étant carrément sur le dos du livre, qui annonce GIORGIO ARDISSON, THE ITAIAN JAMES BOND. Faut l'faire!
Re: [ Vedette ] George Ardisson
Je viens de l'apprendre par le plus grand des hasards: Giorgio Ardisson est décédé en décembre 2014.
_________________
Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
- Messages : 6429
Date d'inscription : 06/04/2010
Age : 68
Localisation : 19
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