Opération Fric ( 7 Volte 7 ) – 1968 – Michele LUPO

[Edocle]

Opération Fric ( 7 Volte 7 ) – 1968 – Michele LUPO

Bon voilà encore un excellent film qui est bien sorti en France et
qui a ce jour est complétement disparu....

Pour tout savoir sur ce film voir  ICI

mais je vous ajoute ici les acteurs :


Gastone Moschin... Benjamin Burton
Lionel Stander ... Sam
Raimondo Vianello... Bodoni
Gordon Mitchell ... Big Ben
Paolo Gozlino ... Bingo (as Paul Stevens)
Nazzareno Zamperla... Bananas (as Neno Zamperla)
Teodoro Corrà ... Briggs (as Theodor Corrá)
Erika Blanc ... Mildred
Terry-Thomas ... Police Inspector
Turi Ferro ... Bernard
Adolfo Celi ... Warden
Ray Lovelock ... Mildred's Lover
Gladys Dawson ... Miss Higgins
Neil McCarthy ... Mr. Docherty
Ennio Antonelli ... Hospitalized Prisoner (uncredited)
John Bartha ... Coal-Mining Prisoner (uncredited)
Bruno Bertocci ... Prison Guard (uncredited)
Charles Borromel ... Officer Issuing Prison Uniforms (uncredited)
Geoffrey Copleston ... Chief Inspector (uncredited)
Pupo De Luca ... TV Journalist (uncredited)
Fulvio Mingozzi ... Jones - Prison Guard (uncredited)
Romano Puppo ... Prisoner Carrying Garbage Can (uncredited)

et un petit résumé :


Sept détenus s'évadent d'une prison londonienne, lors de la diffusion d'un match de football,
fabriquent de la fausse monnaie et parviennent à rejoindre leurs cellules, sans se faire remarquer .....

quelques affiches françaises...




Pour le voir , ben pas 36 solutions...
Je recommande le DVD japonnais, il a la bande son italienne, mais pas de sous-titre....
Pour les impatients que l'italien ne rebute pas, ils pourront le voir ci-dessous
c'est une capture de la TV italienne...


Pour les autres, il suffit de donner du temps au temps... 

[Edocle]

Et comme toujours, je fais vous faire le générique en images...





à suivre...

[Rex Lee]

Merci pour cette rareté, Edocle.
Pour ma part, j'en ignorais complètement l'existence...

[Edocle]

Merci pour cette rareté, Edocle.
Pour ma part, j'en ignorais complètement l'existence...

Je ne suis que le bras armé de son dico, le découvreur est NAZARIN   

[nazarin]

Je ne suis que l'un des humbles tamis
du grand chercheur de pépites Edocle.

Mine de rien, ce dvd japonais n'a pas été facile
à acheter. En effet, je l'ai trouvé sur un site qui
ne vendais pas en dehors du japon.

Je suis passé par un site itermédiaire qui a fait l'achat
pour moi et me l'a ensuite envoyé.

Le site s'appelle Buy Nippon.
À conseiller à tous les amateurs de nipponeries.

[JO]

Pris il y a quelques années déjà sur amazon.co.jp, sortis chez SPO et/ou Imagica, je ne sais plus, qui avaient  édité toute la série de 7... (hommes, à la suite de ceux de Marco Vicario) , effectivement en Italien mais sans sous-titres aucun.

Hormis la collection de 70 western italiens, des essais avaient été faits par SPO pour ces films policiers, , les films de guerre, les films de maffia.... mais sans le même succès, ni les mêmes Bonus et sous-titrages, réservés aux seules premières fournées de western (c'est le moment de rappeler que cette collection SPO, Macaroni Western Bible, est encore absolument indispensable pour toutes sortes de raison.... )

[nazarin]

J'ai acheté 2 de ces fameux SPO, pensant qu'ils offraient les meilleurs
masters possibles.
Il s'agit d'El precio de un hombre / Les tueurs de l'ouest (1967 Eugenio Martin) et
Faccia a faccia / Le dernier face à face (1967 Sergio Sollima).

Eh bien j'ai été très déçu de constater qu'ils étaient
fait à partir des mêmes masters que les éditions européennes
que j'avais achetées beaucoup moins cher (pour Faccia a faccia j'ai comparé avec l'édition Seven 7; pour El precio de un hombre j'ai comparé avec l'édition allemande de Marketing film).

Le problème avec ces éditions japonaises est que l'on ne dispose d'aucune information
sur la qualité du dvd. Aucun site n'en fourni des captures ou des critiques
détaillées (les fameux dvd review des sites anglo-saxons).

Depuis, je n'achète les dvd japonais qu'en dernier recours.
Pour 7 volte 7, c'était la seule édition existante.

[JO]

Ces DVD ont déjà 11, 10 ans....

Le Seven 7 était sorti bien après, avec une image très supérieure au SPO.

Pour le Marketing, il me semble, de mémoire, que l' image du SPO est plus précise (quoique non anamorphique).

Certains SPO sont encore supérieurs aux autres éditions (Le dernier des salauds, colorimétrie) , parfois avec des versions qu'on ne trouve plus intégrales (Django porte sa croix), et des Bonus irremplaçables (Baldi, par exemple...)

Je le garde tous -comme les Koch- très précieusement, même les tout à fait ratés techniques (Le Grand Silence, Mon Nom est Personne, 2002) refaits par la suite mais sans les Bonus...

Tout ceci avait été commenté en son temps sur d'autres forums, moins actifs maintenant (SWWB). Le temps passe....

[Edocle]

Tout ça c'est bien beau, mais revenons au film...





à suivre...

[Edocle]

Et encore...





à suivre...

[Edocle]

En attendant le Tour
en voilà d'autres...

[Edocle]

Hier c'était le Ventoux...

Aujourd'hui c'est repos, alors reprenons...




à suivre...

[Edocle]

Séquence érotique...







à suivre...

[Edocle]

Les anglais...





à suivre...

[Edocle]

Et au détour d'un plan, paf, voilà la Queen !!!



... et en plus je crois que c'est la vrai ! Mais rien de moins sûr !
Avec ses Italiens tout est possible, mais cette séquence à l'air tirée
d'un reportage d'actualités comme tout le match de foot d'ailleurs.  

[MARCHAND]

Au mieux, c'est sa petite soeur Margaret, la reine se réserve pour James Bond et saute en parachute pour les jeux olympiques.

[Edocle]

Quand y'en a plus,
y'en a encore...





à suivre...

[Edocle]

Bien, ici le scénario entre complètement dans l'intrigue du film...



Et là, c'est juste la minute du poète....  

[nazarin]

Dieu inventa les différentes langues du monde
pour empêcher les hommes de se comprendre entre
eux, cela afin qu'ils ne puissent pas terminer
la tour de Babel qui menaçait d'atteindre le cieux.

Plusieurs siècles plus tard, Edocle, un humain, inventa un système rétablissant  une compréhension universelle partielle afin de permettre aux hommes de langue française
de comprendre les westerns spaghetti et certains autres films italiens.

Considérablement affaibli par l'âge, Dieu n'eut pas la force de se manifester cette fois.
Il faut dire que l'homme avait depuis longtemps dépassé les cieux.

[Edocle]

[Rex Lee]

Un coup parfait, un coup génial que celui réalisé par les sept prisonniers.
Un film très sympathique avec pas mal de trouvailles, comme l'enregistrement audio de la visite de la Banque d'Angleterre qui permet de comprendre ce que font les malfrats...
Il y a aussi des personnages savoureux, comme le boulet joué par Lionel Stander, le directeur de la prison, Adolfo Celi et la petite vieille à qui on ne la fait pas.

[MARCHAND]

Une bonne surprise que ce polar à tendance comédie un peu bavard à certains moments mais dont le scénario est astucieux. Un remake américain en vue ? Comme on dit sur Imdb, je ne regrette pas mon billet. Merci au découvreur et à l'adaptateur pour ce bon moment de détente, parfait pour la saison.

[nazarin]

C'est vraiment un bon divertissement.
Très bien écrit. Très bien réalisé. Très bien interprété.
Les personnages manquent un peu d'épaisseur,
mais ça n'est pas gênant: le film est tellement rythmé et inventif qu'on n'a pas le temps de cogiter sur ses éventuels défauts.

Le producteur est Marco Vicario.
Dans ce film, il reprend la formule qui lui apporta déjà par 2 fois le succès (7 uomini d'oro (1966) et Il grande colpo dei 7 uomini d'oro (1967)). La formule est la suivante: 7 hommes commettent un casse de haute volée, sous la direction d'un cerveau génial, le tout enrobé d'une musique sixties très "chabadabada".

Contrairement aux 2 précédents films qu'il produisit et réalisa lui-même selon cette formule, Marco Vicario confie pour "7 volte 7" la réalisation à Michele Lupo (un réalisateur toujours très habile dans le rythme, et excellent directeur d'acteurs) et le scénario à Sergio Donati (scénariste de Pour quelques dollars de plus, Le dernier face à face, Colorado, Il était une fois dans l'ouest, Il était une fois la révolution).

Alors que "7 volte 7" est nettement supérieur aux deux précédents films de la formule "7 uomini", il est pourtant le moins connu des trois films produits par Vicario.

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