Re: [Second Rôle] Antonio Palombi alias Dirty Joe dans "Mon Nom est Personne" (figurant anonyme).

[Tom Betts]

Great job OJ we will keep our fingers crossed.

[JO]

Thanks ! Merci !

[Breccio]

Il ne faut jamais désespérer.
Dans un tout autre domaine, que je connais bien, il aura fallu attendre les années 1960 pour découvrir que l'écrivain anglais Richard Marsh (1857-1915), un des best-sellers du thriller victorien, s'appelait en fait Bernard Heldmann et qu'il avait eu sous son vrai nom une très brève carrière d'auteur de livres pour enfants, avant de disparaître de la circulation pendant quelques années et de renaître sous pseudonyme.
Et il aura fallu attendre l'année dernière pour qu'un érudit anglais, à force de fouiller les archives des journaux locaux (tout n'est pas sur internet !) découvre que Bernard Heldmann, condamné pour grivèlerie, avait eu droit à dix-huit mois de travaux forcés avant de devenir Richard Marsh !
Qui sait ? Dirty Joe sera peut-être identifié par un fan espagnol curieux...
B.

[JO]

La réponse si elle vient sera celle d' une recherche généalogique, centrée sur Almeria et la colonie anglaise.

Mais la réponse de Tonino Valerii laisse peu de doute possible sur une probable identification. Ces anglais étaient payés probablement en commun , au profit de leur communauté. La description que fait T. Valerii de leur situation est très cocasse.

J'avais aussi pensé à Stefano Rolla, assistant metteur en scène, mais je ne sais pas comment le contacter. L'assistant peut être plus directement en contact que le metteur en scène avec ses acteurs, hors vedettes.

Tous ceux qui ont fait de la figuration dans ces années là (c'est mon cas, à un niveau très modeste, mais sur un très gros budget, le plus élévé du cinéma français en 81) savent que le régisseur et les assistants ont un rôle primordial; le paiement en liquide pour les figurants était chose courante (enveloppes) , je ne sais si cela a changé. Donc en Espagne, en 1973...

Cette réponse confirmerait, par contre, que dans Per il gusto di Uccidere, Graham Sooty soit le vrai nom de l'acteur anglais (de la colonie ?) qui interprète le vieillard ami de Craig Hill.

Je rajoute que les almerienses ont écrit sur les figurants locaux, mais toujours espagnols. Excepté les informations de Tonino Valerii et une petite allusion d' Eli Wallach à leur présence dans ses mémoires, , il n'existe rien d'accessible au public sur cette présence au cinéma des anglais d'Almeria.

Bon, cette réponse venant directement du metteur en scène du film, via son scénariste, est de toute façon, pour moi un vrai Noël. Cela tombe bien, Mon Nom est Personne (qui est sûrement ce que je préfère au cinéma) est sorti pour Noël 73 .

[Tom Betts]

Thank you for the inormation on Graham Sooty. I did not know was his real name. I have information directly from a decendant of Al Mulloch. His real last name is Alfred Rogers. His grandfather on his mother's side was named Mulloch and was the first Post Master General of Canada and so he took the famous last name. I'm also guessing he may be buried in Almeria after his death. I could not find out any information that his body was returned to England or Canada. The hunt continues.

[JO]

La réponse de Tonino Valerii :

Tonino Valerii identifie l'acteur inconnu à partir du photogramme de Per il Gusto di Uccidere que Ernesto Gastaldi lui a transmis.


(Deuxième joueur en partant de la gauche).

Il certifie qu'il est le même acteur jouant le rôle de Dirty Joe dans Mon Nom est Personne

Il croit bien n'avoir jamais connu le nom de cet homme aussi bien pendant le tournage de Per il Gusto di Uccidere que celui de Mon Nom est Personne.

La fameuse colonie des retraités des postes ( "famosa colonia di pensionati delle poste inglesi "dans le DVD StudioCanal, ce sont des retraités des chemins de fer) anglais qu'ils utilisaient toujours dans leurs films étaient engagés tous ensemble, parcequ' ils coûtaient peu et qu'ils étaient toujours utilisables dans quelque petit rôle.
Mais les noms étaient indistincts et souvent les appeler créait un petit problème.

"celui avec une pipe, celui sans une dent..."

Ils vivaient dans une résidence construite sur la plage d'Almeria, locataires d'un soi-disant baron lui aussi anglais, qui avait la réputation d'être un espion anglais, mais Tonino Valerii ne sait pas bien si c'était une feinte (non si sa bene se delle delle barbe finte) ou quelqu'un de la brigade des stupéfiants en charge de surveiller le port d'Almeria.

Tonino Valerii pense que les noms sont sûrement indiqués dans les génériques d'ouverture, mais les identifier nominalement lui est impossible.


Réponse apportée par Tonino Valerii, via Ernesto Gastladi. Je les remercie chaleureusement tous les deux de leur attention à ma question et de leur réponse généreuse.

JO

L'ombre retombe donc pour un moment probablement très long sur ce personnage anonyme.

[JO]

L'ombre retombe donc pour un moment probablement très long sur ce personnage anonyme.

Peut-être pas si vite et si longtemps que cela, à suivre si le ciel nous aide un peu...

[JO]

Je remercie Personne d'avoir remonté le fil en post-it: la recherche pourrait rebondir directement à partir d' Almeria.

Hasta Luego , Dirty Joe...

JO

[Breccio]

Un nouvel indice.
Tom Betts sur son blog (entrée du 12/12/2010) se fait l'écho de la vente aux enchères de la bague de Tuco.
Il précise :

Eli Wallach gifted this ring to the current owner's mother-in-law [Maria Gillinson] when he stayed at her house in Almeria, Spain while filming "The Good, The Bad and The Ugly." Clint Eastwood also stayed at this same house as did John Lennon a year later when he was filming his 1967 film, "How I Won the War;" all three men signed Baron Ricky Gillinson's [Maria's husband] autograph book which is being offered in LOT 7176.

Trad: Eli Wallach a offert cette bague à Maria Gillinson, la belle-mère de son propriétaire actuel, lorsqu'il logeait chez elle à Almeria durant le tournage du Bon, la Brute et le Truand. Clint Eastwood logeait dans la même maison, tout comme John Lennon un an plus tard lorsqu'il tournait Comment j'ai gagné la guerre ; tous trois ont signé le livre d'or du Baron Ricky Gillinson, l'époux de Maria, qui est proposé dans la même vente (lot 7176).

Le fameux "Baron", évoqué ci-dessus, s'appelait donc Ricky Gillinson.
Il ne s'agit PAS du nom de "Dirty Joe", mais c'est peut-être une piste pour de futures recherches...
B.

[JO]

L' hôte commun de Eli Wallach, Clint Eastwood, Lee van Cleef porte un autre nom dans les souvenirs publiés de Eli Wallach. Tuco Tours (Londres-Almeria) devait se pencher sur le problème, mais aucune réponse apportée encore. Le nom donné par Wallach est celui de Max Sloan.

On peut donc penser qu'ils furent un temps les "co-locataires" ou proches voisins de palier de Dirty Joe, qui fait un rôle parlant sur Le bon la brute et le truand (Sergent Sudiste). Max Sloan n'est donc pas un nom à tout à fait écarter pour Dirty Joe.

Le Baron Gillinson (?) devait être effectivement le propriétaire de l'ensemble de la résidence anglaise.

John Lennon tourne le film de Richard Lester, à peine le tournage de Leone terminé (septembre 1966) et pendant le tournage de Colorado, pas l'année suivante. Il semblerait qu'il ait occupé une villa particulière, comme Tonino Valerii sur le tournage de Une raison pour vivre.... avait occupé la villa du "Baron" (commentaire audio de Mon nom est Personne, DVD StudioCanal).


Mon contact français sur Almeria ne s'est pas manifesté de nouveau. C'est effectivement, je pense, vers une source familiale qu'il faut s'orienter.

A moins qu'une prochaine publication almeriense ne fasse le point sur cette particularité locale (il en sort régulièrement pour les différents Festivals).

Merci en tout cas de ces précisions...


(Sur John Lennon à Almeria, voir youtube, je crois avoir donné le lien sur un topic à côté.)

[JO]

Tom Betts relaye une information donnée par Cinéma Rétro, elle-même venue de l'étude chargée de la vente, Los Angeles, le 13 décembre 2010 :

Le lien original :

http://www.bonhams.com/cgi-bin/public.sh/pubweb/publicSite.r?sContinent=USA&screen=lotdetailsNoFlash&iSaleItemNo=4743539&iSaleNo=18410&iSaleSectionNo=1#

On trouve une photographie d'Eli Wallach :



Eli Wallach et inconnu (Baron Alexander Guillinson ?) , Almeria, vers mai-juin 1966.

Le livre d'or du Baron semble aussi mis en vente...

Pour mémoire, je copie-colle la description originale et fautive (Lenon n'est pas à Almeria en 1967, mais en 1966).
Sale 18410 - Entertainment Memorabilia including Animation Art, 13 Dec 2010
7601 W. Sunset Boulevard, Los Angeles


Back to catalogue

Place Bid or Track Lot

Lot No: 7086

An Eli Wallach ring from "The Good, the Bad and the Ugly"
United Artists, 1967. A sterling silver men's ring designed with a image of a Roman soldier's profile in the center; worn by the actor on his ring finger throughout the entire film as he portrayed 'The Ugly' "Tuco." Included is a photocopy of an autograph from the actor reading "For Ricky / With fond memories of Almería / Eli Wallach."


Estimate: $800 - 1,200
Request Condition Report

Footnote:
PROVENANCE:
Eli Wallach gifted this ring to the current owner's mother-in-law [Maria Gillinson] when he stayed at her house in Almeria, Spain while filming "The Good, The Bad and The Ugly." Clint Eastwood also stayed at this same house as did John Lennon a year later when he was filming his 1967 film, "How I Won the War;" all three men signed Baron Ricky Gillinson's [Maria's husband] autograph book which is being offered in LOT 7176.




Contact the Specialist to discuss this lot or selling in a future sale
Email: Margaret Barrett
Tel: +1 323 436 5467


To subscribe to or order a Printed Catalogue quote ref: 18410
Tel: +1 800 223 2854 ext 3550

[JO]

Sale 18410 - Entertainment Memorabilia including Animation Art, 13 Dec 2010
7601 W. Sunset Boulevard, Los Angeles


Back to catalogue

Place Bid or Track Lot

Lot No: 7176

A John Lennon signature in an autograph book, 1967
Penned in black felt-tip ink; reading in full "To Ricky / good lavens (word illegible) from / John Lennon;" other autographs in book include Eli Wallach, Clint Eastwood, and Alain Delon to name a few. [See LOT 7086]
4 1/2 x 5 1/2in

Estimate: $800 - 1,200
Request Condition Report


Contact the Specialist to discuss this lot or selling in a future sale
Email: Margaret Barrett
Tel: +1 323 436 5467


To subscribe to or order a Printed Catalogue quote ref: 18410
Tel: +1 800 223 2854 ext 3550


(Je ne suis pas renchérisseur.... Delon a aussi signé le livre d'or du Baron, on doit en trouver plein d'autres....)

[JO]

Le documentaire devant la villa occupée par Lenon à Almeria en septembre-octobre 1966, où il compose Strawberry Fields, mais le nom du propriétaire est bien espagnol. (Le journaliste explique que Sam Spiegel, durant le tournage de Lawrence d'Arabie l'a occupée.)

Ce n'est donc pas cette villa du Baron (?) Gillinson habitée plus tard par Tonino Valerii...







Devant la résidence de nos amis anglais ? La maison à terrasse semi-circulaire, donnant sur la plage, est le Delfin Verde, maison du Baron Alexander Guillinson où Lennon a résidé un temps.

Ah, si j'avais su, en 1980.... quand j'y bronzais

[JO]

Margaret Barrett, chargée de la vente du livre d'or du Baron Gillinson (Los Angeles) , et que je remercie ici très vivement de l'intérêt porté à ma question , me répond qu'il n' y aucune signature de Max Sloan sur l'album d'autographes de Ricky Gillinson, ni donc de traces potentielles de Dirty Joe (photographies jointes à ma demande) ...

[Personne]

LES " PETITS VIEUX " :



??? ??? ( Dirty Joe dans Mon nom est personne , ici dans Il était une fois dans l'Ouest .)

[JO]

Il existe un Alexander Guillinson (sic) répertorié comme loueur d'appartements, Almeria, bord de mer, sur le Guide Everest, Almeria, 1967 (édition française).

Disparu dans l'édition 1970, dans le répertoire des hôtels, pensions et locations saisonnières....


Quelques problèmes de connexion Internet me font être très bref ce soir , je scanne éventuellement la page si possible plus tard...

[JO]

Le Baron est bien Alexander Guillinson (ce n'est pas une coquille du Giua Everest de Almeria, 1967).

Je cite un article du blog de Martinez Soler, que je remercie de ces précieux renseignements à disposition du public :

http://blogs.20minutos.es/martinezsoler/2006/07/23/yo-estuve-alli-acon-john-lennon/

"Al ver la página 40 de El País de hoy me dí cuenta, una vez más, de que me voy haciendo mayor.

Hace 40 años, yo estuve allí… con John Lennon. Lo recuerdo muy bien.

¿Quién podría olvidar haber conocido personalmente a este Mozart de nuestro tiempo. Trabajé de extra en un película muy rara dirigida por Richard Lester (un calvo con pelo largo que le salía apenas del cogote) que se llamaba “Cómo gané la guerra”.

Al leer la crónica de J.A. Aunión me han brotado multitud de recuerdos juveniles. Y he buscado, como loco, unas fotos que me hicieron durante el rodaje, en pleno desierto de Almería. Sin éxito.

Llevaba yo entonces uniforme de sargento británico color caqui, casi beige claro, con pantalón corto y una pequeña porra.

Encontré, cambio, las fotos de mi pandilla en aquel verano del 66 en que conocimos a Lennon. No las puedo escanear en casa pero algún día lo haré. En ellas están conmigo (y con Marie France, una amiga francesa),Steve y Rick Guillinson, hijos de Alexander Guillinson (a quien llamabamos “barón”), en cuya casa se hospedó John Lennon hasta que se pudo trasladar a una casa para él sólo por el Zapillo.

En la ultima planta de los Guillinson, a la orilla del mar (entre Las Conchas y el Zapillo), había una habitación con piano y sofá que daba a una gran terraza sobre la playa.

Allí hacíamos los guateques veraniegos casi a diario y, desde la terraza, veíamos llegar a Lenon en un cochazo enorme con cristales opacos.

Estaba anocheciendo cuando una tarde se abrió la puerta y, al calor del piano y, quizás, del Dúo Dinámico a todo volumen, apareció entre nosotros el mismísmo John Lennon, con pelo corto y gafas grandes. Le ofrecimos una especie de sagría (que entonces llamábamos “caps”) y bajamos el volumen del pik-up. Solo aquellos que entendían inglés pudieron hablar con él. Yo entonces había elegido el francés y no entendí ni una palabra de lo que nos dijo. Pero le di la mano. “Para contarlo algún día”, le dije. Y ahora estoy cumpliendo aquella promesa."



Ricky Guillinson est son fils.

Donc, nous avons le nom maintenant exact du propriétaire de Dirty Joe, probablement son adresse potentielle aussi ( les appartements à louer en 1966-67, à venir ici).... mais toujours pas son nom !

Dommage que la famille Guillinson, qui a (très probablement) mis en vente le livret d'autographe ne m'ait pas contacté -ils ont mes coordonnées- .

Peut-être les générations concernées ne savent-elles pas ?

Va falloir mettre une annonce dans La Voz de Almeria ....

[JO]

Les locations d'Alexander Guillinson, dit Le Baron , page 4 des Renseignements pratiques, Almeria, Guia Everest, 1967, (Espagne), édition française.
Informations données par la Délégation Provinciale de l'Information et du Tourisme, mise à jour du 30 novembre 1966.

Ce guide est sur mes étagères depuis quelques années, j'aurais dû y penser plus tôt.


L'adresse donnée , Plage de Villagracia, ne fait aucun doute comparée aux informations données par Tonino Valerii. C'est dans ces immeubles (ou cet immeuble) que résidaient à la fois les retraités anglais, les vedettes de cinéma (Wallach, Van Cleef, Eastwood, hébergés là dans l'appartement de Max Sloan, dixit Wallach) .... Dirty Joe et tous les touristes qui l'y ont croisé le temps d'un séjour chez Guillinson.

Si le vieux sergent sudiste de Le Bon la Brute et le Truand, alias Dirty Joe, celui là même qui indique leur route à Eastwood et Wallach , était Max Sloan, nous serions à la fin de l'enquête et dans un beau private joke cher à Sergio Leone.


sur Google Earth, on voit très bien la maison de Guillinson, Garcia Canas, en son état et environnement actuel, photographiée comme "Casa de John Lennon et Clint Eastwood" ou Delfin Verde (Dauphin Vert ). Belle terrasse sur la plage.


L'orthographe Guillinson est confirmée par l'article de La Vanguardia, du 28 août 1964, rapportant les résultats d'un rallye automobile local, où Alexander Guillinson gagne le titre du plus rapide .... reproduit ici :

http://hemeroteca.lavanguardia.es/preview/1964/08/28/pagina-26/32685829/pdf.html

[JO]

John Lennon, Delfin Verde -Appartements Alexander Guillinson- , Almeria, début de l'automne 1966.

On peut imaginer Eastwood, Van Cleef ou Wallach à la place de Lennon, puisqu'ils ont logé aussi ici.

Avec ou sans Dirty Joe ?


Le Delfin Verde est toujours le même, un hotel, 16 appartements. Le bord de mer, lui, a un peu changé.

La photographie montrée dans un post ci-dessus, avec Eli Wallach et Alexander Guillinson (?) a dû être prise sur la terrasse en haut du Delfin Verde.

[JO]

Marie Versini était à Almeria au printemps 1965 pour tourner sous la direction de F.J. Gottlieb avec Lex barker, deux fort beaux films d'aventures situés au Kurdistan (dans la fiction) : Durchs Wilde Kurdistan et Im Reiche des Sielbernen Löwen.








Je lui ai donc posé la question de la présence des retraités anglais, et particulièrement de Dirty Joe sur les plateaux de cinéma. Elle m'a fort gentiment répondu.

Les journées de tournages dans le désert d'Almeria étaient fort longues, et l'équipe rentrait, épuisée, tout de suite à l'hotel, après les prises de vues.
Marie Versini n'a eu sur ce tournage de seuls contacts qu' avec l'équipe de son film. Elle n'était même pas au courant, alors, qu'on tournait à Almeria d'autres films en même temps (Tonino Valerii y préparait Et Pour quelques Dollars de Plus) et ignorait en 1965 le nom de Sergio Leone. Elle ne connaît donc pas l'identité de notre acteur mystérieux.

Elle rappelle que Sergio Leone a pensé ses westens après le succès des Winnetou et que le producteur de la série, Horst Wendlandt " a commis la grande faute" de ne pas vouloir produire Sergio Leone qui s'était adressé à lui.

J'ai invité Marie Versini à participer à ce forum, j'espère qu'elle nous honorera de sa présence et de son savoir sur ce qui nous intéresse et réunit.

Je la remercie chaleureusement de sa réponse.


Le détail des tournages de la série des Winnetou et des films cités ci-dessus ont fait l'objet de forts beaux livres de Michael Petzel et Marie Versni a aussi écrit des mémoires : tout ceci est publié en Allemagne.

https://western-maniac.forum-pro.fr/t2508-sur-les-traces-de-winnetou

En attendant des éditions françaises de ce matériel documentaire et des films...


La piste qui mène à Dirty Joe est donc toujours ouverte...

[JO]

On est vraiment passé tout à côté :

Sur cet article :

"La historia del cine en Almería viaja por el mundo y no sólo como películas míticas. Si hace más de un siglo el lujoso patio del Castillo de los Fajardo de Vélez Blanco fue vendido y trasladado hasta los Estados Unidos, hoy pequeños fragmentos de aquel sueño colectivo de celuloide están diseminados por el mundo. Uno de ellos, bastante importante para reconstruir aquella historia, es una pieza que el pasado lunes se puso a la venta en lacasa de subastas Bonhams. Se trata de un libro de firmas que durante los años del “boom” de los rodajes estuvo llevando, como si de un albacea de la fama se tratara, un ‘almeriense’ de adopción, Richard Gillinson, el hijo del barón, famoso británico del entorno de Villagarcía, que comenzó a alquilar sus viviendas del Zapillo a los colonos del celuloide que llegaron a esta tierra.

El valor del libro subastado en Bohams reside, además de en los autógrafos sueltos de sus mitos universales, en su categoría de prueba pericial de que por ese edificio que hoy acoge en parte el Hostal y Bar El Delfín Verde han habitado los célebres personajes que, en gran parte, se sabía ya que vivieron allí por testigos. Además, es de entender que las firmas se recogieron por orden cronológico, otro dato que sirve para el cotejo de los expertos en el cine almeriense. El libro recoge más de diez firmas, pero sólo cuatro son legibles e indentificables por los peritos de esta prestigiosa casa de subastas internacional: Eli Wallach, Clint Eastwood, John Lennon y Alain Delon. Las otras firmas serían facilmente reconocibles si se pudiera tener acceso a ellas. Por esta casa pasaron desde Sergio Leone a Lex Barker junto a Tita Cervera, por citar a algunos conocidos. A todos ellos, el pequeño de los Gillinson tenía acceso garantizado y privilegiado.

Un inglés entre almerienses

Richard Gillinson era uno de los dos hijos del barón, el que se codeaba con los almerienses de su edad, como el periodista José Antonio Martínez Soler o con mayores como el antiguo comisario de Policía Antonio Martín, por citar a algunos.

Richard Gillinson se fue hace años a Estados Unidos, desde donde tenía contacto por email con un periodista local conocido por sus investigaciones sobre la estancia de John Lennon. No sólo le anticipó a este la existencia del libro sino de fotos de Lennon en Almería. Además, le transmitió hechos y detalles no publicados hasta ahora, como que John le pidió a Rick el poder ocupar su habitación, en la planta de arriba, donde Rick tenía un piano, después de que este volviera a Inglaterra para continuar los estudios. El valor de este libro queda acrecentado más aún por la carencia de vestigios materiales en nuestra provincia de aquellos rodajes. Aun cuando en algunos casos se hubieran generado por jóvenes de entonces, como los hermanos Cano, vecinos de la colindante Villa Pepita. En su caso, sólo sobreviven apenas unas pocas rúbricas de Ringo Starr de las muchas fotos y discos dedicados por los Beatles y otras celebridades a estos hermanos, niños en los años 60. No era costumbre entre los almerieneses el pedir autógrafos a los astros con los que se cruzaban por la calle, compartían tabernas o trabajaban en los sets de rodaje. Con el paso del tiempo, esto se convirtió en ritual en restaurantes como el Rincón de Juan Pedro o el Imperial.

Finalmente el libro no se ha vendido. Sí en cambio el anillo que luce Tuco en ‘El bueno, el feo y el malo’. Su nuevo y desconocido propietario pagó 3.904 dólares por él. De esta forma, una pieza muy atractiva de esta legendaria historia del cine hecho en Almería seguirá viajando por el mundo. Una más de las cientos de piezas, cartas, papeles, postales y fotos que no vuelven a Almería."

venu du lien :

http://www.lavozdealmeria.es/vernoticia.asp?IdNoticia=4677&IdSeccion=5

et reproduit aussi ici :

https://www.facebook.com/photo.php?fbid=1491660094645&set=o.290583830778&pid=1089805&id=1328295432

... il est bien confirmé que le livre d'or du Baron Guillinson a été mis en vente par son fils, Richard (Ricky) Guillinson; celui ci ne s'est pas vendu, et Richard Guillinson, qui a mes coordonnées, ne m'a pas contacté (encore ?) . Chose curieuse aussi, la signature de Lex Barker figure sur le livre d'or... (un tournage à Almeria, avec Marie Versini).


La photographie du numéro de La Voz de Almeria, par le groupe Facebook, peut-être le nom (et les informations sur les retraités anglais) viendront de là ?





La groupe annonce aussi la venue de Dan Van Husen à Almeria ce mois d'avril 2011.

[Tom Betts]

My friend actor Dan van Husen was in Almeria last week for a number of days. He attended conferences at the new Film Museum in Almeria and went on several tours to shooting sights. He mentioned that they drove by the community once populated by the British retiries. He told me few live their anymore and the homes have been sold to Spaniards. I asked if he would e-mail Antonio Ruiz who played the young boy Fernando in FOR A FEW DOLLARS MORE to see if he might be able to find out who our mystery actor might be. I will keep you posted when I receive a reply.

[Personne]

Thank you very much Tom! We hope to give a name to that actor, one day.

[Tom Betts]

I've contacted Danny Garcia who is an organizer of the 2011 Almeria Film Festival to be held in September. He will work with Antonio Ruiz and ask if anyone knows the identity of Dirty Joe.

[Tom Betts]

I've mailed copies of several pictures of Dirty Joe to Dan van Husen who will take them to Almeria for the Almeria Film Festival September 8-11 to show to anyone there who might recognize and identify our mystery actor. I will report back when I hear from Dan. Keep your fingers crossed.

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