[Second rôle] Riccardo Pizzuti

[Rex Lee]

Acteur italien né en 1934.
A l'affiche de très nombreux westerns:


Deguejo
Les longs jours de la vengeance
Trois cavaliers pour Fort Yuma
Django tire le premier
Arizona Colt
Wanted
Les sept écossais explosent
Le magnifique Texan
Sugar Colt
Je vais, je tire et je reviens
Deux pistolets pour un lâche
Zorro le renard
Giarrettiera Colt
Ciel de plomb
Les 4 de l'ave maria
Demande pardon à Dieu, pas à moi
Quintana
Le spécialiste
Texas
Dieu pardonne à mon pistolet
Un homme nommé Apocalypse Joe
On l'appelle Trinita
Le jour du jugement
Viva Django
On continue à l'appeler Trinita
Amigo, mon colt a 2 mots à te dire
Les vengeurs de l'ave maria
El Magnifico
Keoma





Arizona Colt





Demande pardon à Dieu, pas à moi






Dieu pardonne à mon pistolet

[JO]

Deux DVD donnent chacun, en Bonus, un entretien fourni avec Riccardo Pizzuti, qui doit vivre du côté de Toulouse.


One + One, France.




Koch Media, Allemagne.


L'homme, à force d'avoir reçu tant de claques de lui probablement , semble, maintenant, particulièrement détester Terence Hill.

[Breccio]

...Riccardo Pizzuti, qui doit vivre du côté de Toulouse.

Je viens de vérifier dans les Pages blanches : il y a bien un Riccardo Pizzuti demeurant à L'Union (proche banlieue nord-est de Toulouse). Si ça se trouve, je l'ai croisé en me baladant en ville.
B.

[JO]

Le plus récent des entretiens, pour Koch Media, est enregistré à Toulouse. Il parle italien ou anglais, ou les deux alternativement. Dans l' interview faite pour One+One il parle fort bien le français.

Une carrière de stuntman très longue, anonyme, comme dans Arizona Colt de Michele Lupo, mais des rôles d'antogonistes assez dévelopés par le suite : El Magnifico de Barboni ou On m'appelle Malabar de Michele Lupo, avec lequel il a beaucoup travaillé.

Une mémoire.

[Breccio]

Le plus récent des entretiens, pour Koch Media, est enregistré à Toulouse. Il parle italien ou anglais, ou les deux alternativement.

Visionné à l'instant. En fait, il parle exclusivement italien -- une phrase en anglais, citant les jurons de son pote Dan Vadis, et, en français, un "je crois" et le mot "amertume", dont il a oublié l'équivalent italien, ce qui est éloquent.
Je n'ai pas tout compris, mais, apparemment, ce qui l'a rendu amer, c'est qu'il s'est retrouvé mêlé dans les années 1980 à une histoire de drogue où la mafia napolitaine était impliquée et que tous ses amis ou presque l'ont laissé tomber (sauf Enzo Barboni envers lequel il a une grande reconnaissance). Le chiffre de "trois ans et demi" revient souvent, et peut-être est-ce la durée de son séjour en prison (je ne parle pas assez bien l'italien pour trancher).
Il raconte notamment une anecdote : lors d'un séjour à Rome, Robert De Niro s'est fait arrêter pour possession de cocaïne, et Bud Spencer a versé sans sourciller les quelques millions de lires pour qu'il soit libéré sous caution ; or, quand c'était lui qui avait besoin de fric dans un cas semblable, Bud Spencer n'a pas levé le petit doigt pour l'aider. Idem pour Terence Hill.
Et, apparemment, ça fait une paye qu'il s'est exilé en France.
Bon, tout ceci demande sans doute à être corrigé par quelqu'un qui maîtrise bien l'italien.
B.

[JO]

Il y a effectivement une histoire très compliquée, (je n'ai pas tout compris) et qui ne concerne pas vraiment le cinéma. Dans le DVD One+ One, il ne semble pas porter grande estime professionnelle à Terence Hill (en français), dont il pense la renommée injustifée, si j'en ai bonne mémoire.

amertume = amarezza.

[JO]

Riccardo Pizzuti, tout à droite, avec Farley Granger, Villagio Western de Magliana, Cava de Breccia, été 1970.

On l'appelle Trinita, Enzo Barboni (1970).

[Sartana]

Si quelqu'un veut bien me prêter les interviews de Pizzutti je veux bien essayer de voir ce que je peux en tirer

[Sancho Perez]

Les Colts de la violence


Django tire le premier


Les 7 Ecossais explosent


Texas


Un tueur nommé Luke


On m'appelle Malabar

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