[Second rôle] Rick Boyd aka Federico Boido

[Rex Lee]

Federico Boido est né en Italie en 1938 et on peut le voir dans:

Samson et le trésor des Incas
El Djurado
Chacun pour soi
Le dernier face à face
Les 2 pistolets de Cjamango
Bang Bang Kid
7 winchester pour un massacre
Django le taciture (Bill il taciturno)
3 salopards, une poignée d'or
Clayton l'implacable
Les 4 de l'Ave Maria
Ciel de Plomb
Saludos hombre
Le fossoyeur
Django défie Sartana
Adios Sabata
Bonnes funérailles, amis...Sartana paiera
Django arrive...préparez vos cercueils
Sartana dans la vallée des vautours
Chapagua
Roy Colt et Winchester Jack
Le jour du jugement
Acquasanta Joe
On l'appelle Spirito Santo
On m'appelle Alléluia
On m'appelle King
Sabata règle ses comptes
Quand les colts fument...on l'appelle Cimetière
Tire, Joe et amen
On m'appelle Vérita
Deux frères appelés Trinita
Miss Dynamite
Amico mio, frega tu...che frego io
Shanghai Joe
Il ritorno di Shanghai Joe
Une fille nommée Apache

Un challenge porte son nom .




7 winchester pour un massacre






Django défie Sartana







Son rôle le plus important : Ciel de plomb.

[Fredge]

Je viens de revoir "Chacun pour soi". C'est un tout petit rôle qu'il y tient, mais rien que sa présence apporte une atmosphère particulière. Il y a des gueules comme ça...

Fredge

[Breccio]

Un oubli dans la filmographie : Le Vent d'est, de Godard, Cohn-Bendit et cie.
B.

[Fredge]

Un oubli dans la filmographie : Le Vent d'est, de Godard, Cohn-Bendit et cie.
B.

Je n'ai jamais vu cet eastern...

fredge

[Il Ritardario]

J'aime bien cet acteur avec sa sale gueule taillée à la serpe. Je me souviens du tout début de "Ciel de plomb" où il attend calmement à cheval en haut d'une colline avec toute une bande d'affreux: scène très inquiétante (mais génialement filmée) qui fait froid dans le dos
Tel un félin qui guette sa proie.

[Fredge]

J'aime bien cet acteur avec sa sale gueule taillée à la serpe. Je me souviens du tout début de "Ciel de plomb" où il attend calmement à cheval en haut d'une colline avec toute une bande d'affreux: scène très inquiétante (mais génialement filmée) qui fait froid dans le dos
Tel un félin qui guette sa proie.

C'est exactement ça, tu traduis ce que je voulais dire! Dans mes bras (Comme dirait Obélix )

Fredge

[Sancho Perez]

Le retour de Sabata


Django arrive, préparez vos cercueils


Bonnes funérailles, amis, Sartana paiera


On l'appelle Spirito Santo


Quand les colts fument... on l'appelle Cimetière


Pile je te tue, face tu es mort, on m'appelle Alléluia


Ci risiamo, vero Provvidenza?

[Rex Lee]

Par contre, on ne le voit pas dans On m'appelle Providence.

Ooops! J'ai confondu les deux "Providence"!
C'est corrigé.
Merci Sancho!



Et le voici dans:




Les 4 de l'Avé Maria






Les 2 pistolets de Cjamango







Hors western:



Thrilling (Lizzani, 1965): partie de cartes avec Sylva Koscina.

[Breccio]

Tom Betts annonce le décès de Rick Boyd.
Salut, l'artiste!
B.

[Rex Lee]

Tom Betts annonce le décès de Rick Boyd.
Salut, l'artiste!
B.

RIP





Ce coup-ci, c'est pour de bon...    

[Edocle]

Ben merde... Une des tronches du western spaghetti qui fiche le camp...
Tu m'as fait rêver Mec, Adieu !

[Richards]

Ben merde... Une des tronches du western spaghetti qui fiche le camp...
Tu m'as fait rêver Mec, Adieu !

+1

À l'époque, avec les copains, on ignorait son nom.
Mais on s'attendait toujours à le voir débarquer dans la rue ou dans un saloon pour provoquer le héros en duel. Il était systématiquement descendu. Pour nous, c'était tout simplement le blond à la longue mèche. Et quelle surprise de le voir dans "histoires extraordinaires". Je crois bien que c'était dans le sketch de Fellini. Je n'ai pas eu l'occasion de revoir ce film depuis sa sortie au cinéma...

[Rex Lee]

Un exemple pour illustrer la remarque de Richards:  Rick Boyd dans Saludos Hombre:

[Richards]

Oui, c'est tout à fait ça.

Une figure incontournable du western italien qu'on sera toujours heureux de revoir au gré de ses nombreux films.


Une chose m'étonne: le peu de réactions suscitées par ce décès. Nous ne sommes donc que 4  à avoir  réagi...
Eh, les amis, Rick Boyd tout de même! 

[Fredge]

Oh, j'adorais cet acteur...
RIP,

Fred

[Il Ritardario]

Oui, c'est tout à fait ça.
Une chose m'étonne: le peu de réactions suscitées par ce décès. Nous ne sommes donc que 4  à avoir  réagi...
Eh, les amis, Rick Boyd tout de même! 

Triste nouvelle effectivement. J'ai déjà évoqué plus haut tout le bien que cet acteur pouvait amener au genre.
Une chose est sûre, quand il apparaissait à l'écran, on était certain de ne pas s'ennuyer. Pire on commençait même à trembler

Je fais ce post un peu tardivement car je ne viens quasiment jamais dans cet item du Forum. Mais lorsque j'ai vu qu'il y avait plusieurs nouveaux messages, je me doutais qu'il se passait quelque chose...

[Fredge]

Oui, énorme second couteau.
Son regard, son faciès, son abnégation dans les rôles de crapule...
Quand je regarde des SW dans lesquels il figure, j'attends toujours avec impatience sa première apparition.

Fredge

[Rex Lee]

7 Winchester pour un massacre

[Rex Lee]

Histoires extraordinaires (1968)

[Personne]

Dans Merveilleuse Angélique.

Capture de Shorty Larson

[Rex Lee]

Danger: Diabolik! (1968)

[Tom Betts]

Italian character actor, stuntman Federico Boido known to moviegoers as Rick Boyd has died. I received word from Marco Giusti today that Rick died October 7, 2014, he was 74. Boyd was born on January 8, 1940 in Novi Ligure, Alessandria, Piedmont, Italy. Along with Lucio Rossi he was one of the best-known Italian villains of the Spaghetti western genre. Both Rossi and Boyd usually played psychos and crazy henchmen to the lead villain. Boyd’s biggest roll was as outlaw Roger Pratt the lead villain in And for a Roof a Sky Full of Stars (1968) starring Giuliano Gemma and Mario Adorf. Other well know roles were Six-Finger Sykes in “The Bang Bang Kid” (1967), the Sheriff of Purgatory City in “Face to Face” (1967), Fred Calhoun in “Payment in Blood” (1967), Hal Brady in “The Ruthless Four” (1967), Bill Cochran “Sartana the Gravedigger” (1969), Slim Douglas “Ballad of Death Valley” (1970), Duke Slocum “Guns for Dollars” (1971), Blondie “Jesse and Lester in a Place Called Trinity” (1972), Slim “Shanghai Joe” (1973). His dying scenes were always a highlight of any film he was in.

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