Django - 1966 - Sergio Corbucci
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Django - 1966 - Sergio Corbucci
DJANGO est un film mythique .
Tourné à Rome, aux studios Elios en décembre 1965 / Janvier 1966 avec un tout petit budget, il est sorti sur les écrans français le 9 novembre 1966 .
Et j'ai eu la chance de le voir à ce moment-là, dans une petite salle de quartier. J'y suis allé sans avoir la moindre idée de ce que j'allais voir, sans connaitre le réalisateur, ni les acteurs. Sans avoir vu "Le bon ,la brute et truand " ( il ne sortirait qu'en mars 68 ) , ce qui revient à dire, pour moi, que j'ai vu DJANGO sans savoir que c'était un western italien ....( qu'on n'appelait pas encore "Spaghetti !" )
Evidemment, j'ai adoré !
TOUT A ETE DIT SUR CE WESTERN et son succès a été mondial ! Et non démenti depuis lors: pour preuve, le reçent "Django" à la sauce asiatique ou un peu plus ancien , l'hommage rendu en 72 dans le film rasta THE HARDER THEY COME .
Un film qu'on ne peut ignorer !
Dernière édition par Rex Lee le Lun 24 Déc - 7:24, édité 1 fois
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Django - 1966 - Sergio Corbucci
Revu ce film ce soir et c'est toujours autant le pied.
La musique de Bacalov est géniale, Nero est efficace et sobre, Loredana est jolie, José Bodalo et Fajardo sont très bons en méchant et l'histoire est toujours très agréable à suivre. J'adore de plus en plus le coup de la gatling.
Ah et dans le challenge Rick Boyd la mention va pour Luciano Rossi qui apparait à peine 5 minutes et ce fait dézinguer aussi vite fait par Django.
Bref, a mon goût c'est pas le meilleur Corbucci mais j'aime toujours le voir de temps en temps pour passer un bon moment devant cette hécatombe de cadavre et de voir Nero serré les dents.
Edith me dit que j'ai oublié de cité Barboni qui est à la photo ce que je n'avais jamais remarqué jusqu'à lors.
La musique de Bacalov est géniale, Nero est efficace et sobre, Loredana est jolie, José Bodalo et Fajardo sont très bons en méchant et l'histoire est toujours très agréable à suivre. J'adore de plus en plus le coup de la gatling.
Ah et dans le challenge Rick Boyd la mention va pour Luciano Rossi qui apparait à peine 5 minutes et ce fait dézinguer aussi vite fait par Django.
Bref, a mon goût c'est pas le meilleur Corbucci mais j'aime toujours le voir de temps en temps pour passer un bon moment devant cette hécatombe de cadavre et de voir Nero serré les dents.
Edith me dit que j'ai oublié de cité Barboni qui est à la photo ce que je n'avais jamais remarqué jusqu'à lors.
Trinita- Sergio Leone
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Re: Django - 1966 - Sergio Corbucci
rex lee a écrit:DJANGO est un film mythique .
Tourné à Rome , aux studios Elios en décembre 1965 / Janvier 1966 avec un tout petit budget ,il est sorti sur les écrans français le 9 novembre 1966 .
Et j'ai eu la chance de le voir à ce moment-là , dans une petite salle de quartier . J'y suis allé sans avoir la moindre idée de ce que j'allais voir , sans connaitre le réalisateur , ni les acteurs .
Je suis de ceux-là aussi ! 14 ième arrondissement, une salle disparue qui donnait dans le western.
La semaine précédente on avait revu "l'homme aux colts d'or".
T'imagines la claque.
Nous avions enfin trouvé un vrai héros, bien crade sur lui, dans la boue et la poussière, qui en prend
plein la tronche, et qui triomphe, mais de quelle façon... :applaudis_6:
On était loin des deux héros gominés et bien propres sur eux, on pouvait se moquer
allègrement de Queen et de ses fringues bleu marine bien propres...
Que voulez-vous 68 approchait, on était déjà un peu rebelle, rock et blousons noirs...
Ce Django nous allait comme un gant, une seconde nature, le western qu'on attendait.
On avait basculé d'un seul coup dans une autre univers. Le western devenait vrai...
Depuis on a pris un sacré coup de vieux et chaque vision de ce film reste pour moi une découverte!
Tiens avant d'aller plus loin, je vais m'en remettre un coup histoire de voir si je n'ai rien oublié...
Pour tous ceux qui l'aurait oublié et pour mesurer l'impact de ce film, je rappelle qu'une
copie de "Django" est conservée au Musée d'Art Moderne de New-York !
Une référence, non?
Quand au nom de Django, Corbucci a toujours affirmé que c'est un hommage à Django Reinhart !
Amicalement E.
P.S.: avant de me faire tirer dessus à boulet rouge, je tiens à vous dire, qu'avec le temps
" l'homme aux colts d'or " est pour moi un grand film... N'y voir ici qu'un souvenir de jeunesse
d'un qui a été élevé aux westerns US et qui tombe dans ce qui deviendra le western spaghetti
ce qui correspondra mieux à ses goûts...
Re P.S.: j'ai importé ce post du précédent forum, et je m'aperçois que le P.S. n'a plus lieu d'être...
Mais je le laisse pour le souvenir ....
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Edocle- Sergio Leone
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Re: Django - 1966 - Sergio Corbucci
La Bande Dessinée est une source d'inspiration visuelle pour S. Corbucci, selon sa veuve Nori.
Mais je persiste à penser que le cercueil traîné et pas mal d'autres choses c'est aussi du Bunuel que Corbucci, Leone et Tessari et probablement beaucoup d'autres ont beaucoup vu et aimé. L'importance de Don Luis n'est pas à sous-estimer, je crois que Staig et Williams en parlent déjà dans leur livre.
(d'ailleurs ces jours ci, doit sortir chez Montparnasse La Mort en ce Jardin, avec Georges Marchal, dont le rôle, comme l'ambiance du film, fait beaucoup penser à tous les Sans Nom, Ringo et autres Django.
Mais je persiste à penser que le cercueil traîné et pas mal d'autres choses c'est aussi du Bunuel que Corbucci, Leone et Tessari et probablement beaucoup d'autres ont beaucoup vu et aimé. L'importance de Don Luis n'est pas à sous-estimer, je crois que Staig et Williams en parlent déjà dans leur livre.
(d'ailleurs ces jours ci, doit sortir chez Montparnasse La Mort en ce Jardin, avec Georges Marchal, dont le rôle, comme l'ambiance du film, fait beaucoup penser à tous les Sans Nom, Ringo et autres Django.
JO- Sergio Leone
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Re: Django - 1966 - Sergio Corbucci
Et Django entra dans la légende...
Loredana Nusciak
A droite : Ivan Scratuglia
...............................................Jose Bodalo
Rafael Albaicin / Simon Arriaga
Angel Alvarez , jouant du violon et Silvana Bacci , assise , jambes écartées...
Luciano Rossi / Eduardo Fajardo
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Django - 1966 - Sergio Corbucci
Django : 7.5/10 = Bon
Scénario : 6/10
Réalisation : 8/10
Acteurs : 7.5/10
Musique : 7/10
Décors et paysages : 7/10
Le premier grand chef d'oeuvre de Sergio Corbucci, qui est devenu un film culte dans sa cinématographie et dans le western italien.
Le scénario est assez transparent. Django est à l'époque une sorte de Blondin à l'italienne, le scénario avance donc en même temps que Django, c'est à dire très lentement. La première partie du film est lente mais est également la plus savoureuse, imposant d'emblée le style du film, noir et lugubre. Le reste du film prend un parti politique et le côté indépendant et solitaire de Django est laissé de côté et c'est bien dommage car ça casse l'image du personnage. La fin reprend la même ambiance que celle du début, de la bout partout et aucuns dialogues, revenant à un Django comme on le connaît. Le final est surprenant et la touche macabre et d'une réflexion sur la vie étonnante rend cette scène inoubliable.
La réalisation est presque parfaite. La boue est omniprésente, et c'est sans doute pour ça qu'on aime le film, pour son style si particulier. Cette boue se retrouve même dans la rivière, montrant donc dans quel pays se situe l'action. Le célèbre cercueil de Django est une excellente idée et innove sur l'artillerie des cowboys de l'époque. Les cagoules rouges est un coup de génie (non dû à Corbucci mais à l'assistant réalisateur) et donne un petit côté kitsch dans toute cette boue grise qui sont ressemblantes aux cagoules des bourreaux anciens. Le reste du film est tout aussi réussi, le cimetière en particulier, vallonné, sale là où l'on se débarrasse des morts encombrants. C'est cette impression que j'ai eu. Les costumes enfin sont tous excellents, allant dans le petit détail, notamment ceux des mexicains.
Les acteurs sont tous très crédibles, Franco Nero a le même doublage français que Clint Eastwood ainsi que le même caractère mais bon, il laisse sa patte. Hugo le chef révolutionnaire est très bon et n'en fais pas trop. Le major Jackson est un méchant réussi mais un peu effacé, sans doute à cause de la partie révolutionnaire du film, assez longue. Les autres personnages sont assez réussis mais sans rôle majeur, et assez effacés, à part Nathaniel.
La musique est réussie, surtout celle du début, avec la chanson, le reste est assez lugubre sauf celle de l'arrivée des mexicains, donnant un aire de fête pas très adéquat au film, malgré les couleurs vives de leurs habits
Le décor doit beaucoup à la boue omniprésente du film, et son style dégradé. Il n' y a qu'à voir la ville sans entretien, brisée par la guerre. Le pont sur les sables mouvants est également peu recommandable pour traverser. Le soleil du Far West est totalement absent, le film ayant été tourné en hiver, sans doute normal mais ça colle bien au film. Et pour le paysage, ça reste du décor à l'italienne, beaucoup de verdure et de grands rochers grisâtres. J'ai du mal à m'habituer à ce genre de paysage pour le Far West.
Un film réussi d'une originalité exquise mais qui souffre aussi de longueurs et de quelques imperfections dans la construction du scénario malgré une très bonne réalisation. Django reste une valeur sûre dans le monde du western européen et une alternative des plus honnêtes aux films de Leone, même s'il n'est pas l'extraordinaire film que j'attendais.
Je rajoute :
Points forts :
- Une multitude de détails visuels et artistiques originaux.
- Un réalisation efficace.
- Un côté mystérieux du personnage amplifié par ses vêtements sombres et son cercueil.
- Une boue omniprésente qui fait la force du film.
- Des ennemis aux cagoules superbes, les costumes sont réussis.
- Un excellent final.
Points faibles :
- Le film perd son ambiance mystérieuse quand Django prend un parti politique à l'arrivée des mexicains.
- Le ton du film change radicalement à cause des scènes avec les mexicains.
- Un scénario sans grande consistance.
- L'ensemble est assez lent.
Conclusion :
Django n'est pas le meilleur western spaghetti que je connaisse mais est sans doute le meilleur film traitant du personnage culte créé. Le film innove dans le western made in Cinecitta grâce à une réalisation unique et une ambiance assez spéciale. Pas le meilleur Corbucci mais très bon western très supérieur à beaucoup d'autres westerns de l'époque.
Petite révélation sur les cagoules rouges de la bande de Jackson : L'assistant réalisateur Ruggero Deodato a eu l'idée de ses cagoules car les figurants qui devaient jouer les hommes de Jackson étaient trop laids !
Scénario : 6/10
Réalisation : 8/10
Acteurs : 7.5/10
Musique : 7/10
Décors et paysages : 7/10
Le premier grand chef d'oeuvre de Sergio Corbucci, qui est devenu un film culte dans sa cinématographie et dans le western italien.
Le scénario est assez transparent. Django est à l'époque une sorte de Blondin à l'italienne, le scénario avance donc en même temps que Django, c'est à dire très lentement. La première partie du film est lente mais est également la plus savoureuse, imposant d'emblée le style du film, noir et lugubre. Le reste du film prend un parti politique et le côté indépendant et solitaire de Django est laissé de côté et c'est bien dommage car ça casse l'image du personnage. La fin reprend la même ambiance que celle du début, de la bout partout et aucuns dialogues, revenant à un Django comme on le connaît. Le final est surprenant et la touche macabre et d'une réflexion sur la vie étonnante rend cette scène inoubliable.
La réalisation est presque parfaite. La boue est omniprésente, et c'est sans doute pour ça qu'on aime le film, pour son style si particulier. Cette boue se retrouve même dans la rivière, montrant donc dans quel pays se situe l'action. Le célèbre cercueil de Django est une excellente idée et innove sur l'artillerie des cowboys de l'époque. Les cagoules rouges est un coup de génie (non dû à Corbucci mais à l'assistant réalisateur) et donne un petit côté kitsch dans toute cette boue grise qui sont ressemblantes aux cagoules des bourreaux anciens. Le reste du film est tout aussi réussi, le cimetière en particulier, vallonné, sale là où l'on se débarrasse des morts encombrants. C'est cette impression que j'ai eu. Les costumes enfin sont tous excellents, allant dans le petit détail, notamment ceux des mexicains.
Les acteurs sont tous très crédibles, Franco Nero a le même doublage français que Clint Eastwood ainsi que le même caractère mais bon, il laisse sa patte. Hugo le chef révolutionnaire est très bon et n'en fais pas trop. Le major Jackson est un méchant réussi mais un peu effacé, sans doute à cause de la partie révolutionnaire du film, assez longue. Les autres personnages sont assez réussis mais sans rôle majeur, et assez effacés, à part Nathaniel.
La musique est réussie, surtout celle du début, avec la chanson, le reste est assez lugubre sauf celle de l'arrivée des mexicains, donnant un aire de fête pas très adéquat au film, malgré les couleurs vives de leurs habits
Le décor doit beaucoup à la boue omniprésente du film, et son style dégradé. Il n' y a qu'à voir la ville sans entretien, brisée par la guerre. Le pont sur les sables mouvants est également peu recommandable pour traverser. Le soleil du Far West est totalement absent, le film ayant été tourné en hiver, sans doute normal mais ça colle bien au film. Et pour le paysage, ça reste du décor à l'italienne, beaucoup de verdure et de grands rochers grisâtres. J'ai du mal à m'habituer à ce genre de paysage pour le Far West.
Un film réussi d'une originalité exquise mais qui souffre aussi de longueurs et de quelques imperfections dans la construction du scénario malgré une très bonne réalisation. Django reste une valeur sûre dans le monde du western européen et une alternative des plus honnêtes aux films de Leone, même s'il n'est pas l'extraordinaire film que j'attendais.
Je rajoute :
Points forts :
- Une multitude de détails visuels et artistiques originaux.
- Un réalisation efficace.
- Un côté mystérieux du personnage amplifié par ses vêtements sombres et son cercueil.
- Une boue omniprésente qui fait la force du film.
- Des ennemis aux cagoules superbes, les costumes sont réussis.
- Un excellent final.
Points faibles :
- Le film perd son ambiance mystérieuse quand Django prend un parti politique à l'arrivée des mexicains.
- Le ton du film change radicalement à cause des scènes avec les mexicains.
- Un scénario sans grande consistance.
- L'ensemble est assez lent.
Conclusion :
Django n'est pas le meilleur western spaghetti que je connaisse mais est sans doute le meilleur film traitant du personnage culte créé. Le film innove dans le western made in Cinecitta grâce à une réalisation unique et une ambiance assez spéciale. Pas le meilleur Corbucci mais très bon western très supérieur à beaucoup d'autres westerns de l'époque.
Petite révélation sur les cagoules rouges de la bande de Jackson : L'assistant réalisateur Ruggero Deodato a eu l'idée de ses cagoules car les figurants qui devaient jouer les hommes de Jackson étaient trop laids !
Cimetière- Léon Klimosky
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Re: Django - 1966 - Sergio Corbucci
Franco Nero
stéphane- Michele Lupo
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Re: Django - 1966 - Sergio Corbucci
bonjour,
j'ai raconté le tournage de "Django" sur mon site internet ("Histoires de tournages") il y a déjà quelque temps.
Pour ceux que cela intéresse :
http://www.devildead.com/histoiresdetournages/index.php?idart=67
j'ai raconté le tournage de "Django" sur mon site internet ("Histoires de tournages") il y a déjà quelque temps.
Pour ceux que cela intéresse :
http://www.devildead.com/histoiresdetournages/index.php?idart=67
Re: Django - 1966 - Sergio Corbucci
Tres bon site. Je crois que je l´avais deja cite pour Dr Justice.
Bienvenue en tous cas.
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Personne- Sergio Leone
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Re: Django - 1966 - Sergio Corbucci
Merci ! Je ne connaissais pas ce forum, que je découvre avec grand intérêt !!
Re: Django - 1966 - Sergio Corbucci
colonel mortimer a écrit:bonjour,
j'ai raconté le tournage de "Django" sur mon site internet ("Histoires de tournages") il y a déjà quelque temps.
Pour ceux que cela intéresse :
http://www.devildead.com/histoiresdetournages/index.php?idart=67
Le site est très bien, félicitation. Mais quel est l'acteur de western spaghetti dont tu parles et qui s 'est fait viré du tournage de Barbarella?
hugues- Enzo G. Castellari
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Re: Django - 1966 - Sergio Corbucci
merci.
Eh bien... je n'en sais rien !!!! Pas d'info sur cet acteur, malheureusement...
".... Mais ce n’était rien en comparaison de la scène de six minutes que Jane avait tournée avec un bel acteur italien musculeux, vedette de westerns spaghetti, qui incarnait Dildano, le jeune révolutionnaire qui sauve la vie de Barbarella. Elle lui propose de faire l’amour, ce qui implique qu’ils prennent chacun une dragée de transfert d’émotions et qu’ils se touchent le bout de doigts en fermant les yeux jusqu’au «rapport maximum». Pas si évident. Et notre Italien a joué toute la scène en adressant des regards suggestifs, en bandant ses muscles et en serrant la mâchoire. «Et c’était la meilleure des cinq prises», me dit Vadim assis à côté de moi dans l’obscurité. En fait, la scène était assez drôle mais pour de mauvaises raisons ».
Eh bien... je n'en sais rien !!!! Pas d'info sur cet acteur, malheureusement...
".... Mais ce n’était rien en comparaison de la scène de six minutes que Jane avait tournée avec un bel acteur italien musculeux, vedette de westerns spaghetti, qui incarnait Dildano, le jeune révolutionnaire qui sauve la vie de Barbarella. Elle lui propose de faire l’amour, ce qui implique qu’ils prennent chacun une dragée de transfert d’émotions et qu’ils se touchent le bout de doigts en fermant les yeux jusqu’au «rapport maximum». Pas si évident. Et notre Italien a joué toute la scène en adressant des regards suggestifs, en bandant ses muscles et en serrant la mâchoire. «Et c’était la meilleure des cinq prises», me dit Vadim assis à côté de moi dans l’obscurité. En fait, la scène était assez drôle mais pour de mauvaises raisons ».
Re: Django - 1966 - Sergio Corbucci
colonel mortimer a écrit:merci.
Eh bien... je n'en sais rien !!!! Pas d'info sur cet acteur, malheureusement...
".... Mais ce n’était rien en comparaison de la scène de six minutes que Jane avait tournée avec un bel acteur italien musculeux, vedette de westerns spaghetti, qui incarnait Dildano, le jeune révolutionnaire qui sauve la vie de Barbarella. Elle lui propose de faire l’amour, ce qui implique qu’ils prennent chacun une dragée de transfert d’émotions et qu’ils se touchent le bout de doigts en fermant les yeux jusqu’au «rapport maximum». Pas si évident. Et notre Italien a joué toute la scène en adressant des regards suggestifs, en bandant ses muscles et en serrant la mâchoire. «Et c’était la meilleure des cinq prises», me dit Vadim assis à côté de moi dans l’obscurité. En fait, la scène était assez drôle mais pour de mauvaises raisons ».
J'ai trouvé: C'est Antonio Sabato !
http://blackholereviews.blogspot.com/2010/04/barbarella-1968-ultimate-guide-part-4.html
hugues- Enzo G. Castellari
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Re: Django - 1966 - Sergio Corbucci
Voici une bande annonce en français que j'ai numérisé sur une de mes vieilles Vhs.
Je ne saurai dire si c'est la bande annonce cinéma ou si c'est une bande annonce réalisé spécialement pour le marché vidéo.
Désolé pour la qualité mais la K7 à souffert
Je ne saurai dire si c'est la bande annonce cinéma ou si c'est une bande annonce réalisé spécialement pour le marché vidéo.
Désolé pour la qualité mais la K7 à souffert
Horace Pinker- Michele Lupo
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Re: Django - 1966 - Sergio Corbucci
"Un film d'un genre nouveau, apre, violent, où sont réunis des artistes d'une classe exceptionnelle" toute une époque...
DJANGO
la petite crique sur se film,au dos de la jaquette du dvd widsid,est tout a fait representatif de l'histoire du film,et de son immense influence sur la suite du western sbaghettie.tout comme estwood qui à cotribué à la réussite des films de leone, nero franco y est aussi pour quelques choses dans se film.sa presence charismatique est indeniable.meme si, sur quelques passage ont plus au moins veillie.
par contre il ya quelques choses que je voudrait souligné,pour les amateurs de captures d'images.
c'est tout de suite aprés que le mexicain est coupé l'oreille à l'un des bandit du major jakson ,et que la victime avance en se tenant l'oreille avec sa main droite,juste avant de tomber il jette un regard amusé à l'asistance.
il est claire que cette image de nos jours aurait eté plus etulisé en making of.
joyeux noel..AMIGOS,GRINGOSSE, MOUSHASHOSSE..
par contre il ya quelques choses que je voudrait souligné,pour les amateurs de captures d'images.
c'est tout de suite aprés que le mexicain est coupé l'oreille à l'un des bandit du major jakson ,et que la victime avance en se tenant l'oreille avec sa main droite,juste avant de tomber il jette un regard amusé à l'asistance.
il est claire que cette image de nos jours aurait eté plus etulisé en making of.
joyeux noel..AMIGOS,GRINGOSSE, MOUSHASHOSSE..
keomatouko- Enzo G. Castellari
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Re: Django - 1966 - Sergio Corbucci
J'en remets une couche...
Angel Alvarez / Gino Pernice
Rafael Vaquero
Guillermo Mendez / Jose Terron
Remo de Angelis / Rafael Albaicin
Jose Canalejas
Simon Arriaga / Jose Bodalo / Gino Pernice
Silvana Bacci
Doit-on encore les présenter?
Angel Alvarez / Gino Pernice
Rafael Vaquero
Guillermo Mendez / Jose Terron
Remo de Angelis / Rafael Albaicin
Jose Canalejas
Simon Arriaga / Jose Bodalo / Gino Pernice
Silvana Bacci
Doit-on encore les présenter?
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Dis-donc, toi, tu sais que tu as la tête de quelqu’un qui vaut 2000 dollars?
Rex Lee- Sergio Leone
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Re: Django - 1966 - Sergio Corbucci
Revu hier soir et je me suis réconcilier avec ce film!
Lors de mon premier visionnage, il y a plus d'un an, j'avais tellement entendu parlé de ce film, je m'attendais à un pur chef d'oeuvre, un peu trop peut-être car j'ai été déçu, le film me rappelé un peu trop Pour une poignée de dollars avec une bande de mexicains et une bande d'américains qui s'affrontent dans un village frontalier. Certaines séquences m'avaient paru un peu "grosse ficelle", Django qui arrive sans que personne ne s'en rende compte à pénétrer dans la salle où il y a l'or puis à s'enfuir un peu trop facilement.
Hier, les défauts cités précédemment ne m'ont plus dérangés, j'ai pris beaucoup de plaisir à revoir ce film, je n'ai plus trouvé tant de ressemblance avec Pour une poignée de dollars que ça. De plus, j'avais zappé pas mal d'éléments lors de mon premier visionnage: Django qui avait perdu sa femme, j'avais complètement oublié.
Comme d'habitude, le côté antihéros me plaît toujours: Django qui trahit Hugo en lui piquant tout l'or.
La séquence d'ouverture de même que celle de fin est particulièrement belle.
Finalement, Django est bel et bien un chef d'oeuvre.
Lors de mon premier visionnage, il y a plus d'un an, j'avais tellement entendu parlé de ce film, je m'attendais à un pur chef d'oeuvre, un peu trop peut-être car j'ai été déçu, le film me rappelé un peu trop Pour une poignée de dollars avec une bande de mexicains et une bande d'américains qui s'affrontent dans un village frontalier. Certaines séquences m'avaient paru un peu "grosse ficelle", Django qui arrive sans que personne ne s'en rende compte à pénétrer dans la salle où il y a l'or puis à s'enfuir un peu trop facilement.
Hier, les défauts cités précédemment ne m'ont plus dérangés, j'ai pris beaucoup de plaisir à revoir ce film, je n'ai plus trouvé tant de ressemblance avec Pour une poignée de dollars que ça. De plus, j'avais zappé pas mal d'éléments lors de mon premier visionnage: Django qui avait perdu sa femme, j'avais complètement oublié.
Comme d'habitude, le côté antihéros me plaît toujours: Django qui trahit Hugo en lui piquant tout l'or.
La séquence d'ouverture de même que celle de fin est particulièrement belle.
Finalement, Django est bel et bien un chef d'oeuvre.
Sancho Perez- Sergio Sollima
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Re: Django - 1966 - Sergio Corbucci
projection du film.. django de corbucci au cinema (le nouveau latin ..20 rue du temple paris 75004
ce samedi 12 janvier à 22hoo..séance présentée par laurent aknin..
et en VO ..moi sa m'arrange pas trop..mais enfin!!
ce samedi 12 janvier à 22hoo..séance présentée par laurent aknin..
et en VO ..moi sa m'arrange pas trop..mais enfin!!
keomatouko- Enzo G. Castellari
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Re: Django - 1966 - Sergio Corbucci
Ba y aura des sous titres et de toute façon c'est pas un film très bavard!
Avec le Tarantino, ce film risque heureusement de sortir de l'oubli pour la nouvelle génération!
Avec le Tarantino, ce film risque heureusement de sortir de l'oubli pour la nouvelle génération!
Sancho Perez- Sergio Sollima
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Re: Django - 1966 - Sergio Corbucci
revu sur grand ecran samedi soir au cinéma le nouveau latin(paris) ou il sera à l'affiche à partir du 23 janvier.
avec la présence de laurent aknin journaliste et critique du cinéma,ou avant le debut du film nous à gratifier d'un historique du film ,et du western italien.
que nous étions en 1966,et que sergio leone à déja revolutionné le western,et donc corbucci arrive avec ce film pour y aller encore plus loin dans la démesure.
et je doit dire que ce fut une bonne soiréé avec beaucoup de monde.voir django sur grand ecran,c'etait tout simplement impéssionnant.. vraiment!!
avec la présence de laurent aknin journaliste et critique du cinéma,ou avant le debut du film nous à gratifier d'un historique du film ,et du western italien.
que nous étions en 1966,et que sergio leone à déja revolutionné le western,et donc corbucci arrive avec ce film pour y aller encore plus loin dans la démesure.
et je doit dire que ce fut une bonne soiréé avec beaucoup de monde.voir django sur grand ecran,c'etait tout simplement impéssionnant.. vraiment!!
keomatouko- Enzo G. Castellari
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Re: Django - 1966 - Sergio Corbucci
Revu hier soir en dvd, et je confirme comme tant d'autres, c'est vraiment un bon film . Juste avant en début de soirée c' etait django unchained au cinoche. J'ai voulu finir en beauté ensuite...
Petite question, je cherche a savoir ou peut t' on trouver ces bandes annonces françaises svp comme celle de django, présentée ici https://www.youtube.com/watch?v=sDL5ukfA59k. Il y'a bien eu cette vhs sorti dans les années 80, mais ce trouve t' elle vraiment dessus ? . Quelqu'un peut t' il confirmer ?
ou bien sur celle ci réné chateau ?
Car souvent les bandes annonces ne sont pas forcement présentée avec le film dessus. Donc je demande ou trouver des bandes annonces françaises d'époque (Western) comme celle-ci voir d'autres qui ne sont pas sortie sur support dvd ou bluray ensuite. Merci d'avance
Petite question, je cherche a savoir ou peut t' on trouver ces bandes annonces françaises svp comme celle de django, présentée ici https://www.youtube.com/watch?v=sDL5ukfA59k. Il y'a bien eu cette vhs sorti dans les années 80, mais ce trouve t' elle vraiment dessus ? . Quelqu'un peut t' il confirmer ?
ou bien sur celle ci réné chateau ?
Car souvent les bandes annonces ne sont pas forcement présentée avec le film dessus. Donc je demande ou trouver des bandes annonces françaises d'époque (Western) comme celle-ci voir d'autres qui ne sont pas sortie sur support dvd ou bluray ensuite. Merci d'avance
joyan- Léon Klimosky
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Re: Django - 1966 - Sergio Corbucci
Effet tarantino, depuis que j'ai vu le django unchained, la chanson tourne en boucle dans la tête, du coup je ressors mon coffret "django/Les 4 de l'apocalypse" et je met la galette. Quel régal de revoir ce film, bizarrement plus je le voie, plus j'aime, j'avoue la première fois j'ai été déçu comme nombre de nos camarades... trop entendu parler de celui-ci (et gêné de voir des chevaux qui courent devant une sulfateuse et qui ne se font pas toucher), à l'époque j'avais acheté d'emblée les coffrets django et keoma parut chez wildside, enfin bref.
Un très bon film, qui a pas mal marqué (voir le nombre de sous-django et jusqu'en 2013) par son style, et son côté gothique à souhait, il est vrai que j'aurais préféré qu'on reste dans le ton lugubre de la première partie et la dernière, mais finalement le passage avec les mexicains et tout de même très bon, et grâce à ça y en a un qui se fait couper aussi l'oreille dans reservoir dogs ! J'ai encore vu un petit défaut(mais tout petit), lors de la bagarre dans le saloon entre django et le mexicain qui a failli tuer Hugo, on voit furtivement derrière le bar un caméraman !
En tout cas un film culte malgré ses petits défauts, un must have pour sa dvdthèque !
Un très bon film, qui a pas mal marqué (voir le nombre de sous-django et jusqu'en 2013) par son style, et son côté gothique à souhait, il est vrai que j'aurais préféré qu'on reste dans le ton lugubre de la première partie et la dernière, mais finalement le passage avec les mexicains et tout de même très bon, et grâce à ça y en a un qui se fait couper aussi l'oreille dans reservoir dogs ! J'ai encore vu un petit défaut(mais tout petit), lors de la bagarre dans le saloon entre django et le mexicain qui a failli tuer Hugo, on voit furtivement derrière le bar un caméraman !
En tout cas un film culte malgré ses petits défauts, un must have pour sa dvdthèque !
Re: Django - 1966 - Sergio Corbucci
dans la vhs de René Chateau il n'y a pas la scène de l'oreille coupée
cyberpunk- Sergio Leone
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Date d'inscription : 15/04/2010
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