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Mallory, ‘M’ comme la mort ( Il mio nome è Mallory… M come morte ) –1971- Mario MORONI

Sam 10 Avr - 14:24 par Edocle

Mallory, ‘M’ comme la mort ( Il moi nome è Mallory… M come morte ) – Mario MORONI

Pour faire comme tout le monde, on monte une boite de production vite fait et on va se faire de fric en réalisant une western. La Cervo Film voit le jour à Rome avec des capitaux italiens. Le reste viendra de la vente à l’étranger. On fait appel a un vétéran de la série « B », pas trop cher et pas trop mauvais. Mario Moroni scénariste et réalisateur de films ayant rapporté pas mal de lires dans la série des Macistes et des Agent X17, va s’attaquer à son premier et seul western.
Peu de temps, peu d’argent :tout sera tourné en studio, que ce soit en plateau à Cinecitta ou dans le village western Ellios. Pour les très rares extérieurs, un morceau de prairie filmée en plan lointain fera l’affaire, les coups de zoom feront le restant.
Un acteur américain Robert Wood pour faire sérieux et c’est parti. Mario Moroni est un bon professionnel et sans casser le box-office, le film est bon et fera une carrière honorable. Le scénario  est simple, mais son traitement est original, et lors de sa sortie à Paris, il nous avait surpris agréablement.

L’ histoire : Fin de la guerre de sécession, le colonel nordiste Topp Hasper ( Renato Baldini ) rentre au pays à la tête d’un troupeau. Son but est de récupérer son ranch qui a été réquisitionné au début des hostilités. Il est accompagné par un camarade de combat Larry Mallory ( Robert Wood ). Le propriétaire actuel du ranch est prêt à la vente, mais contraint et forcé il le cède à Bart Ambler ( Teodoro Corrà ) et à sa sœur Cora Ambler ( Gabriella Giorgelli ). Avec son homme de main Block Stone ( Aldo Berti ) , Bart fera tout pour conserver le ranch. Mallory de son côté fera tout pour faire triompher le bon droit !

Le film : c’est effectivement dans le traitement de cette banale histoire que réside la force de ce western. Mallory n’est pas le héros invincible, sans nom et sans peur. Bien au contraire il en prend plein la tronche et s’il tire vite, il rate aussi, ce qui permet à d’autre de lui en mettre une dans la peau. Il passe du temps chez le toubib ( Renato Malavasi ) soit sur la table de soins , soit dans un lit avec un bon bouquin à se remettre d’une blessure au bras. Sa force réside dans son intelligence à monter les uns contre les autres, et bien sûr parfois il y a des bavures. Violente : le colonel en fait les frais, inattendue et tendre :Cora tombe amoureuse du héros.
Moment spectaculaire du film, le duel final n’oppose pas le héros au méchant, mais les méchants entre eux. Au terme d’entourloupes monstrueuses, Block désarmé s’oppose à Bart en pleine rue. Bart tire. Block avance. 5 fois. Block réussit à atteindre son adversaire et commence à l’étrangler. Et là, le réalisateur choisi d’intercaler des arrêts sur images :baroque et superbe. Le duel prend une autre dimension. Un dernier coup de feu. Les deux tombent à genoux. Arrêt sur image. Morts, les deux !
Mallory triomphe, ses adversaires sont morts, le colonel est vengé. Mallory emmène sa douce Cora dans le ranch qu’il vient de récupérer. FINE.
De ce duel, de son traitement, on en a parlé des années durant dans notre bande de fanas!
Comme de cette musique de Roberto Pregadio qui se fredonne facilement !

Pour le voir : il existe une VF de 90 minutes alors que la version italienne est de 107 minutes. On trouve une superbe VHS canadienne de la VO, mais le film y a été recadré en 1.77. Le version française conserve le format d’origine 1.33, mais les coupes nuisent de beaucoup à la qualité de l’intrigue. Producteurs de DVD allez-y, c’est du bon !

Bien mal acquis …
Amicalement E.
pirat  pirat

Commentaires: 27

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